CHERCHEZ DANS CE BLOG

mercredi 21 mai 2008

UN GROS POISSON QUI DEFIE LES POLICES

Le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, a salué mercredi 21 mai "la prise d'un gros poisson !"
Je n'ai pas tout de suite compris !
Uno, en quoi Zapatero peut-il s'occuper de la pêche ? Ne peut-il pas confier ce genre de félicitation à son ministre attaché aux affaires halieutiques ?
Secundo, j'ai cru que le poisson avait été pêché dans les eaux françaises, près de Bordeaux. D'où ma surprise : les pêcheurs font grève, bloquent les ports et ne vont plus en mer car le carburant qui fait tourner les chalutiers est hors de prix !
Heureusement, un second flash d'information m'a permis de comprendre qu'il s'agissait d'une métaphore ! Le gros poisson était l'un des "chefs historiques" de l'ETA, "impliqué dans des attentats en Espagne" !
Je comprends mieux !
Javier Lopez Pena, alias "Thierry", a été arrêté à Bordeaux en compagnie de trois autres membres présumés de l'organisation séparatiste basque.
Il a donc été pris dans le filet des polices françaises et espagnoles qui ont travaillé en commun.
Il devra être condamné car il a beaucoup péché.
Il tue et la vie l'ôte. Il est auteur d'écarts laids sur bien des sols.
Sa voix violente ne baisse pas d'un ton et pour lui quel attrait la mort eut !
Pas spécialement maquereau mais truand et exécuteur.
Sa femme Sarah ne le supporte plus : Sarah s'casse !
Il assassine un député trop vif, puis un maire lent !
Il mérite dans ce cas billot !
Mais plus de peine de mort. Alors, en tous lieux, il perpétue le crime...
Jusqu'à ce jour...