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jeudi 30 avril 2015

DES DEPENSES COLOSAAL



Agnès Saal était présidente de l’INA (Institut National de l’Audiovisuel) ; elle ne l’est plus depuis qu’on lui a demandé de faire ses valises !

La raison ? Mme Saal était trop bonne cliente des taxis parisiens et a dépensé quelque 40.000 € dans ce type de déplacement, dont  6.700 au compteur de son fils ; ceci en dix mois, dis moi !

Jo le Taxi, un de ses principaux prestataires a avoué : le taxi c’est sa vie mais, combien dites-vous ? 40.000 € ! Je n’étais pas seul à la conduire ! Je ne savais pas qu’elle utilisait le blé d’INA, j’en reste bouche bée, bée !

Fleur Pellerin, Ministre de la Culture (et du culturisme depuis les Molières) vite mise au courant a tancé Agnès :

-      Taxi heures pour faire tes valises ! Va Saal !

Et oui une Fleur, ayant pris la poudre, envoya Saal paître hier !

On obéit au suzerain quitte à s’avaler rapide une Suze-reine pour faire passer l’amertume. On quitte l’INA, la tête basse. Qui a  bien pu la dénoncer au conseil d’administration ? Qui a bien pu adresser une lettre anonyme qui a gardé son corps beau et ameuté la presse et les administrateurs ? Qui ? Qu’a l’INA pour ne plus la câliner ?

Autant de question qui trottent dans la tête de l’Agnès qu’un vilain ton tond sans la tante d’un préavis !

-      Dehors Saal, hop, lui lança même un stagiaire de Paris II qui l’Assas-INA !

Le fait qu’on ait soufflé tant d’argent pour des frais personnels déconcerte INA !  D’autant plus que la dame avait un chauffeur personnel :

-      C’est la faute à Martine Aubry et ses 35 heures, se défend Agnès. Mon chauffeur avait cette quotité d’heures et donc je devais me tourner vers les taxis tôt le matin, tard le soir et également le week-end ! En plus je n’ai pas le permis ! Je l’ai raté 10,5 fois (12 selon la police). Comment pouvais-je faire autrement ?

Des petits malins se sont amusés à calculer qu’avec un tel budget Agnès Saal aurait passé 1h12mn par jour dans un taxi, sept jours sur sept sur Paris intra muros. Il faut ajouter 52 mn par jour en proche banlieue, selon les mêmes considérations, pour la période des 10 mois !

Oui, le taxi, c’était vraiment sa vie à défaut de faire appel au car INA (ocarina ?) qui n’existe toujours pas au grand dam de Mr Macron ! L’usagère avait-elle conscience de la gabegie ? Il eût fallu former Saal aux prix des kilomètres...à particules fines !

A présent elle prendra le métro, chute abyssale après l’abus sale ! Mais sa démission n’est qu’une façade ! Les soucis sots nés de l’infortune sont charcutés car Saal a mis le bout d’un nez dans une autre administration qui l’accueillera à bras ouverts ! Je n'imagine pas la petite étoile perdue dans l'univers de pôle emploi, que Saal erre cosmique (que salaire qu'au Smic !)


Les fonctionnaires sont de purs produits recyclables ! C'est ce que des personnages haut placés lui ont signifié ; et Saal s'y fit !

mercredi 29 avril 2015

LES DURS CHEMINS DE KATMANDOU



Cinq jours après le séisme dévastateur qui a fait plus de 5 000 morts au Népal, les secouristes tentent, en ce mercredi 29 avril, d’accéder aux régions les plus reculées du petit pays himalayen peuplé de quelque 28 millions d’habitants.

Katmandou, la capitale, a été durement touché. Le séisme a également provoqué des avalanches qui ont enseveli les camps des alpinistes et de leur sherpa, de fragiles tentes bien peu aguerries à ce genre de cataclysme !

Les secours s’intensifient. Ils viennent du monde entier, de Chine, d’Inde, d’Europe, du Pakistan. La solidarité internationale est palpable mais elle se heurte aux difficultés titanesques : intempéries, infrastructures routières altérées, manque de moyens des autochtones.

La peur de répliques s’installe durablement chez les habitants d’une ville qui fut, dans les années d’insouciance, le rendez-vous des hippies. On dort dans un parc, loin des immeubles à deux pas de s’écrouler. On brûle au plus vite les cadavres par peur des épidémies.

Le chaos règne au pied de l’Himalaya.

L’urgence s’active dans cette course contre la montre.

Le petit pays se retrouve face à un Everest de difficultés que les deuils encensent au fil des macabres découvertes extirpées des gravats.


Notre âme pleure pour  ce pays de rêve si durement touché.           


Les tréfonds de la terre comme saoulés d’opiacés
Se sont mis à danser sur des plaques rebelles
Et les ondulations d’une transe effrénée
Ont déhanché soudain Katmandou l’éternelle.

La tour de Dharara dans ce grand tourbillon
S’est effondrée, cernée de maisons chancelantes
La ville grabataire aux poussiéreux moignons
Craint encore les répliques d'une danse sanglante.

Ils implorent Shiva dont les bras semblent vides
Face aux amples gravats qui tapissent un néant
Les campeurs de fortune au visage livide
N’attendent que secours comme indéfiniment

Le ballet ravageur jusqu’au plus haut des cimes
Impose l’envolée de ses trépidations
De sa blancheur létale l’avalanche décime
Les campements fragiles des rois de l’ascension.

Le Népal agonise dans ses hameaux perdus
Et en sa capitale aux temples apeurés
Le pied d’Himalaya de crevasses perclus
Saigne sous mille larmes d’un grand ciel ravagé.

Hôpitaux débordés, secouristes éreintés
Dans l’odeur crématoire des bûchers alentour
Le chaos s’enracine  comme un arbre damné
Loin des fleurs de Bouddha aux encens de velours.

Tragédie sans pareille dans l’effroi du séisme
Qui replace l’humain dans sa fragilité
Sublimant tout autant l’énergique altruisme
L’étendard  généreux de la fraternité 

mercredi 22 avril 2015

LA MER EST LEUR TOMBEAU


La mer Méditerranée est leur cimetière. Des centaines de migrants sont morts dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 avril après le naufrage de leur embarcation au large de Misrata en Libye. La Libye, pays de chaos depuis la chute de Kadhafi et face à l’incurie d’une révolution de jasmin frelaté, devient le point de départ des désespérés de la vie.
Ils embarquent sur des rafiots vétustes, entassés aux bons soins de passeurs mafieux qui les spolient. Beaucoup ne savent pas nager ! Ils périssent en mer avant que d’avoir atteint l’Europe, cette terre promise dont on leur a vanté l’hospitalité en leur cachant bien qu’elle ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde.
Le nouveau drame survenu dimanche porte à plus de 1500 le nombre de morts en Méditerranée en 2015. La Méditerranée est devenue « la route la plus mortelle du monde » avec le décès d’au moins 3 400 migrants en mer en 2014, selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR).
En Sicile on attend les survivants mais aussi le corps des défunts. Ils devraient débarquer sur le port de Catane.Le gouverneur de la Région, Rosario Crocetta, demande que l’Europe passe « de l’inertie aux faits ».
« Après cette énième tragédie, il faut une réunion urgente des chefs d’État de l’UE en Sicile, pour une nouvelle convention sur l’immigration et sur le droit des réfugiés.»
À Rome le président de la Commission affaires Étrangères du Sénat Pier Ferdinando Casini estime qu’il faut avant tout « soutenir le travail chef de la Mission d’appui des Nations Unies en Libye, Bernardino Leone, pour tenter de stabiliser le pays et si cela n’était pas possible, obtenir l’autorisation d’un blocus naval via une délibération de l’Onu afin de stopper le trafic d’êtres humains en Libye.»
Toute l’Europe, à travers l’Italie, se sent concerné par ce drame humain. La stabilisation du pays libyen n’est qu’une partie des solutions. La reprise du programme italien Mare Nostrum en serait une autre. Ce programme, certes coûteux, permettait à la marine italienne d’intervenir jusqu’aux côtes libyennes. En un an elle avait permis de secourir plus de 150.000 personnes et d’arrêter 351 passeurs ! Mais le coût mensuel de 9 millions €, par ces temps d’austérité, n’avait pas permis de pérenniser cette initiative louable.
L’opération Triton, qui l’a remplacée, est moins coûteuse mais aussi plus limitée ! On est passé à 3 millions € par mois ! Avec un tel budget on ne peut que se limiter aux eaux territoriales européennes pour…constater les dégâts !
Oui, l’Europe est face au défi des flux migratoires maritimes. Elle est devant ses responsabilités pour accueillir des peuples abandonnés par le chaos hérité d’une intervention européenne (chute de Kadhafi en Libye) ou d’une non intervention (Bachar conserve les mains libres en Syrie et se voit même reconnu comme un rempart pour éviter l’hégémonie de Daech).

L’Europe ne peut pas accueillir toute la misère du monde, certes ! Mais elle peut absorber une partie de la main d’œuvre tant il faudra, dans un avenir proche, pallier le vieillissement des populations et l’insuffisance de natalité (c’est vrai en Allemagne). Pour l’autre partie il s’agira de lui proposer un avenir meilleur dans son pays d’origine. Une telle orientation suppose un effort sans relâche dans l’aide au développement et dans la lutte contre les mouvances islamistes obscurantistes.

La mer est leur tombeau
Au loin de Misrata
Mille vagues et rouleaux
Ont mis fin au combat

Le trop vieux chalutier
A chaviré de bord
Des corps précipités
Ont coulé dans la mort

Les gestes du nageur
Ils ne maîtrisaient pas
Les flots ont pris des cœurs
Aux salins du trépas

D’autres coincés en cale
Auront cessé d’humer
Les fragrances fécales
De leurs corps entassés.

La mer est leur tombeau
Au seuil du Paradis
Cette Europe aux tons beaux
En leurs yeux embellis

Nus de tout, mus de peur
Mais priant l’espérance
Ils ont cru les passeurs
Qui flouaient leur confiance.

Ils se sont embarqués
Pour Cythère incertain
Mais sans rien espérer
De leur pays sanguin

Las des guerres, du chaos
Ils auront fui l’enfer
Sur le premier rafiot
Aux reflets salutaires.

La mer est leur tombeau
Au soleil dévasté
D’une Europe en lambeaux
Rognés d’austérité.

Décès sans épitaphe
Cimetière marin
La camarde paraphe
Des contrats clandestins

Tragédie maritime
Qui peint notre impuissance
Sur les sombres victimes
Et leurs années d’errance

L’avenir incertain
Tout au long de nos côtes
La douleur des embruns
Et le poids de nos fautes…


mardi 21 avril 2015

LE PEN TORPILLÉ PAR SA MARINE

Marine Le Pen vient de tuer son père, symboliquement et médiatiquement, sur le plateau de Tf1 et devant Mr Bouleau journaliste branché qui aime prendre racine sur les affaires de famille. C’était le 8 avril 2015 au JT du 20 H.

Parce qu’elle veut donner un élan jeune, soft, à son parti, la fille ne supporte plus les coups d’éclats tonitruants de son géniteur. Le vieil homme que les neurones abandonnent clame à l’envi son amour pour le pétainisme et persiste à voir dans les chambres à gaz un détail de l’histoire !

Ces dérapages intempestifs ont fini par ulcérer la blonde égérie du FN. Et, bien qu’il fût son père, elle ne pouvait, une fois encore, passer l’éponge quand bien même celle-ci s’impose dans la cervelle (spongiforme) du récidiviste orateur !

Donc Marine tue son père hors du cadre familial en faisant participer toute la communauté internationale. Du Spiegel on Line au Times en passant par La libre Belgique toute la presse européenne s’est délectée de ce scénario parricide !

Parricide la sortie, clame Marine à son père !

Tu quoque, filiam meam, a répondu le géronte ainsi qu’un César face à un Brutus en jupe et talons aiguille !

Oui, papa Le Pen va passer devant le conseil de discipline du FN et ne briguera pas la région PACA (Provence Alpes Cotes d’Azur) pour les régionales de Décembre !

Une sorte d’euthanasie pour un homme qui a toujours admiré l’état Nazi !

Cela dit rien ne change vraiment dans le logiciel du FN. L’atavisme règne. La fille hérite des idées paternelles : préférence nationale, indépendance monétaire, sortie de l’Europe…

Le FN reste le FN, l’emballage rajeuni et enjolivé (en joli V ?) ne doit pas nous leurrer !

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samedi 18 avril 2015

POUR QUI COURAIT KORIR ?


Un pays, le Kenya, a été meurtri dans sa chair : 148 personnes, dont 142 étudiants, ont été assassinées, le temps d’un soupir, par un commando djihadiste, jeudi 10 avril 2015, à Garissa, dans la province nord-est du pays.

L’université de Garissa, symbole de l’élévation culturelle pour un avenir meilleur, a  été visée par ceux qui refusent de voir la raison et l’intelligence l’emporter. Les obscurantistes shebabs (insurgés somaliens) auront frappé au cœur de l’excellence intellectuelle, sapant la vie de ceux qui seraient un jour les bâtisseurs d’un monde plus juste. Ils ont tué par représailles, pour punir le Kenya d’envoyer ses troupes en Somalie ; ses armées expédiées pour contrôler la région et interdire les mouvances islamistes à reprendre Mogadiscio et la bande côtière ! En récupérant de tels lieux stratégiques les Shebabs pourraient réinstaurer leurs activités préférées : piratage, racket et taxation des populations locales.

Ils ont tué l’étudiant chrétien et préservé le musulman en profanant le lieu du multi confessionnalisme. L’incommensurable peine trempe ses racines dans le fait que le Kenya est un pays tout entier tourné vers l’éducation. Les parents se privent de tout pour financer les études des enfants et les faire sortir d’une condition de paysan.

Garissa, qui appartenaient jadis à la Somalie (les Britanniques avaient tracé arbitrairement une ligne entre Somalie et Kenya), pleure ses étudiants dans le fracas du monde.

Ailleurs l’émotion ne perle que sporadiquement. Le Pape François a, certes, attiré l’attention sur l’indifférence face au massacre mais l’esprit de Charlie ne souffle plus. Aucune grande marche pour communier dans la compassion.

Les réseaux sociaux s’enflamment par velléités notoires mais insuffisantes. Le sang des 142 étudiants a déjà séché dans l’histoire que d’autres rendez-vous malmènent (les drames de migrants en Méditerranée) !

Du Kenya on n’évoquera que son champion, Mark Korir, vainqueur du dernier marathon de Paris en 2 h 5mn et 48 secondes.      


Le long des 42,195 km Korir aura-t-il eu, dans la constante de son effort, une pensée pour ses compatriotes sacrifiés sur l’autel de la monstruosité ?


Le safari sanglant sur les terres kényanes
Par les chasseurs shebabs de Somalie surgis
Transforma Garissa en morbide savane
Jonché de pauvres corps dans leur jeunesse pris.

On immola l'agneau en ces tueries pascales
Qui portait les promesses d’un brillant avenir
En nourrissant  ses jours de vie professorale
On tua l’étudiant  jusqu’à s’en étourdir.

Le terrorisme pris dans son vol salafiste
A fondu, serres tendues, sur l’esprit cultivé
Déchiquetant l’écho des propos scientistes
Comme on tue la raison dont on craint la beauté.  

On immola l’agneau dans l’éclat du silence
Qu’assombrit, juste un temps, la prière papale
Puis la pugnace nuit en sa luminescence
Couvrit de son halo les veillées lacrymales.

Loin semblait le Paris d’un janvier recueilli
Où s’invitait le Monde au fil des compassions
Pour les dessins brisés par les armes en folie
Loin sembla, cette fois, l’esprit des communions.

On sacrifia l’agneau au nom de représailles
Pour châtier le Kenya, l’ennemi désigné
Qui de Mogadiscio par soldats et mitrailles
Phagocyte la prise si longtemps convoitée.

Garissa, la bannie, l’ancienne somalienne
A revu ses enfants sous les traits du démon
Aveuglés par le sang et l’horreur tragédienne
Jusqu’à briser l’élan de toute érudition.

Peine disséminée par la cybernétique
Quelques voix élevées sur les réseaux sociaux
Charlie se fait silence en cette ère dramatique
On ne marchera pas le cœur dans ses sanglots.

Et Korir accourant vers la ligne finale
Au cœur du marathon de ce printemps fleuri
Aura-t-il un instant, en ses foulées géniales
Sentit battre son cœur pour son pauvre pays ?
          
On sacrifia l’agneau, la Pâque s’est tuée
Sur l’autel avili de feux obscurantistes
Où vacille, impuissante, la frêle chrétienté
Flamme sous l’éteignoir des grands vents intégristes.

lundi 13 avril 2015

DANS MON MUSEE



                                 SOUFFLET DANS LE BALLON

RETOUR SUR LES DEPARTEMENTALES

Les élections départementales du mois de mars ont permis au parti du petit Nicolas, (le parti du ni ni) de prendre plusieurs places fortes à la rose flétrie (dont la Corrèze, le fief de F. Hollande, le Nord de Martine Aubry !). Le FN, s'en avoir gagné le moindre département, savoure l'augmentation du nombre de ses élus. Le PS, par la voie de Mr Valls, avoue avoir bien résisté d'autant plus qu'il gagne la Lozère (qui vire à gauche pour la première fois).
Finalement tout le monde a gagné !
Ou on fait comme si !



Dans le camp de la rose flétrie le pire est né, hâte l’antique tableau d’une gauche divisée qui a perdu son pari ! Valls bout intérieurement ; il est vile haine même s’il cherche à faire bonne figure en relativisant la montée du FN.

-         Je ne pense pas que cela se corse ! On nous crie gare mais l’heure est au sang-froid  et Marine Le Pen, quoi qu’on dise erre (couac con d’Isère) puisqu’elle n’a pas décroché le moindre département et en narre dèche !

Une militante PS, quelque peu gironde, abondait dans ce sens :

Vienne que pourra, le gouvernement gère en se faisant le héraut de l’équilibre des comptes publics afin que ne se creusent les déficits. Il dit aux ministères : vendez ! On liquide les bijoux de famille !

A l’aube d’un léger frémissement de croissance Hollande ne veut plus que ça cale, va, adosse un plan d’investissement à la reprise qui sonne et loue art de la croissance. Flamby veut faire entendre sa voix et même se faire des alliés chez les verts ! Bref, ne plus faire le mort, bille en tête, hue (Morbihan têtu ?) !

En perdant son fief de Tulle, ô Landes, l’hôte de l’Elysée a quand même trouvé une consolation grâce à la Lozère qui s’étale aux aires de roses et dément donc l’adage selon laquelle Flamby n’arrête pas de caler !

Au FN on fait comme si la victoire était belle.  En réalité Marine, lionne a la bouche dure honorée (bouches du Rhône aux rets ?) par l’âme aux zèles ! Oui, elle l’a mauvaise et crache un peu dans la soupe où marne la grimace ! Elle jette dans ce jus ras : ras le bol de son père qui se prend encore aise pour déraper verbalement et qui darde haine, ras le bol de ces candidats qui, un bas rhin, font les yeux doux à la nostalgie pétainiste et tissent maille par maille haine sur haine ! Nous la verrons bientôt tuer le père quand allégresse (Cantal et Grèce ?) nazie réinvestira le cerveau malade du géniteur !

A l’UMP, la victoire est éclatante, dit l’un à l’issue de la seconde manche !

Tim et Marie, récemment encartés ont félicité Nicolas ! Il le trouve rassembleur ! Mais attention, sur le sort des départements il s’étale peu, Marie, Tim ! Sa posture n’est pas très saine, Marie, Tim tant on le voit rouant le désintéressement ! Le petit caporal si haut de scène (talons aidant) ne voient ces élections que comme tremplin vers les présidentielles de 2017 ! D’ailleurs le petit homme n’a pas que des éloges qui l’ornent. Il a reçu la critique d’une femme (Rachida Dati qui se demande pourquoi  l’ex Président a évoqué les menus de substitution dans les cantines !) et puis deux d’hommes : Jupé et Estrosi, pour des raisons différentes…

Yves, Line, deux vieux briscards du système Bigmalion craignent que le petit Nicolas ne se reprenne la grosse tête et qu’il perde le nord :

-         Tout ce qu’il évoque l’use, dit Line ! Il s’autodétruit en somme ! Il s’enlise en noise en la jouant perso et en se persuadant indispensable lors des réunions ! C’est vrai que sa cote dore au soleil mais gare à ne pas leurrer loirs qui sommeillent !

Marthe, une vétérante qui a bénéficié d’emplois fictifs à la sauce chiraquienne redoute aussi que finisse terre sarkozienne sous la lune jupéiste ! Le Maire de Bordeaux, par sa loi rêche erre dans les mouvances du centrisme d’arrière-garde et loi raie le cher projet lepéniste du petit qui braconne sur des terres marinières…

Marthe s’écrie : Jupé est l’homme du passé, qu’il parte et sonne ailleurs, chez les socialos !

On peut trouver Marthe inique mais peut-être a-t-elle l’âme heurtée, maux aux ailes de vieille chouette qui fait scène, scinde nid : les Sarkozistes d’un côté, les Jupéistes de l’autre ! Le camp de droite en attrape mal au rein et redoute que là, dégoût à deux loupe le coach pour les futures échéances électorales.

Oui, la droite la plus bête du monde aiguille âne qui se demande : dans la discipline politicienne quel art-y ai-je ? Problème de Foix, de repaire, panne d’idées ! Les moutons qui suivent Nicolas bêlent fort en lui voyant perdre haineux-Rhône, heu, les neurones et ressortir des vieilles recettes qu’on essarte depuis des lunes ! Oui l’âne y est vrillant (la Nièvre, hi han) de contorsions multiples : rotation vers le FN, orientation vers le centre, une vraie girouette orne- orme qui prend racine ! Tout cela termine pour mesurettes, et si (Meuse eut rétréci ?) digne d’une pièce de boulevard (debout le Var !).

En résumé, un PS  s’élève au  jeu du «donnons !» (c’est  les Vosges du Donon ?) sans avoir les moyens de ses ambitions par obéissance à l’austérité de l’Europe qui est, de fait, harnais gare aune de la croissance à un niveau 0, ne lui permettant pas de prendre haute sa voie ! Il se fait bousculer par la division blindée d’UMPistes dont les chars hantent la rue de Solférino.  Le FN, quant à lui, fêté à aire-haine (fait TARN ?) compte les points et se prépare pour les prochaines joutes !


Je ne saurais proposer un bon mot de la fin pour cette chronique. Mais je suis sûr que le 1° pape et le chef des "pierres qui roulent" sauraient me dépanner : St Pierre et Mick l’ont !