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mercredi 8 octobre 2014

LA VIE LEE



Né en 1807, Robert Edward Lee doit s’accommoder d’une famille virginienne car on ne choisit pas ! Il est fils d’un héros de la guerre d’indépendance (un des paons danse en sa basse cour) mais lui ne profite guère d’indépendance car une servante, Maya (prénom dû à ses origines précolombiennes) lui sert de nourrice agréée et ne le lâche plus d’une semelle. Elle le surveille sans arrêt ce qui étonne la mère laxiste ! L'abeille rode !

-      Qu’a Lee ? Caca, Lee ? Caca Lee ?
-      Qu’a Maya ?

Oui la mère se rit de ses boutons et ne se préoccupe plus de sa servante trop maternant que de son rejeton. 

Le petit est souvent fatigué. La nourrice lui propose une nourriture sans son. Cette gastronomie sans son aida Lee las.

La mère imaginerait bien son petit Lee maçon car c’est happer vite un diplôme qui permet l’éloge (maçonnique) et du boulot. Mais Lee lit, dans une revue, que la carrière militaire désarme par un presse tige qui fait jaillir la gloire. Oui, il sera soldat !

Il se rend au point Ouest (West Point) d’un pas leste en gardant son âme de Sudiste qui ne perd pas le Nord. En 1829 il sort second de sa promotion et le whisky pour fêter tout ça ! Puis il est affecté dans le corps d’Eugénie (amour de jeunesse) et de génie avec le grade de lieux-tenant car il campe sur ses positions ! Il fait alors partie des gradés comme sa tignasse qu’a loupée une jeune coiffeuse en contrat de calife et qui parle arabe.

En 1831, il se marie à Mary Custis, arrière-petite-fille de Martha Custis, épouse de George Washington. Lee mène l’amour où lit mène l’amour : l’hymen !

Mary est jolie. Pourquoi l’ai-je au lit, dit Lee, tout étonné de cette conquête tant il est vrai que Lee quête femme depuis 10 ans et lâche mise au premier revers de veste. Sept ans plus tard (sept ans beaux, Lee) eu égard à ses excellents états de serre-vices, il est promu capitaine. Promotion au grand dam d’un concurrent qui, par dépit, sent Lee incapable de mettre à flot raison ! Mais Lee corne les jaloux, peu lui chaut.

Après avoir été employé aux fortifications côtières, qu’au tiers de son temps, il se distingue lors de la guerre contre le Mexique (1846-1848), où il trucide de sombres héros avec la santé qu’il a, sans téquila ! Au cours de cette sauterie martiale il devient l’aide de camp du général Scott, commandant en chef des troupes fédérales illustrant des faits d’héros défaits des râles. Comme Lee a des talents de ma sœur (non ceux de mon frère) il masse Scott ! Oui, Lee masse ! Mais sans aller jusqu’à l’escarre gommer (l’escargot, mais ??).  Soldat dans lame (blanche) ce disciple de Napoléon (le numéro 1 pas le 3) dit, en bonne aparté (que Bonaparte hait), qu’il aime l’Aigle entier, celui d’avant Waterloo, date funeste qui l’ABBA… Lee ne cesse de s’attirer les éloges de ses supérieurs.

-      Quel homme est Lee, lance un Général qui sert mots nés de son admiration ! Il vaut bien une messe. Même s’il semble en faire fi, l’athée Lee, très affranchi !

Sa science militaire que mille itèrent (par mimétisme) fait l’admiration de tous.  La paix revenue, il est nommé directeur de West Point en 1853. De la gloire, en somme, a Lee. Puis on le nomme lieutenant-colonel du 2e régiment de cavalerie qui ne manque pas de selle et où tout son être y est. En octobre 1859, alors qu’il est rentré en permission en Virginie (l’Etat, pas la femme), il commande un détachement d’un air détaché ce qui ne l’empêche guerre de capturer l’abolitionniste (qui travaille au noir)  John Brown (devenu marron de par sa capture) à Harper’s Ferry.

En avril 1861, le début de la guerre civile fait ses sessions troublées. Elle provoque chez lui un cas de conscience.  Lourds sont les tourments et nul ne s’avance à dire que la guerre grise Lee. Tenu pour le meilleur officier de l’armée américaine, il refuse le commandement des troupes de l’Union que le président Lincoln lui offre sur un plateau calcaire par des craies. Le choix de la Virginie tait un autre qui va, geint  en ses abysses. Oui, il choisit  son État natal ! Nommé général de brigade dans l’armée du Sud, Lee perd bol !  Sa première campagne dans l’ouest de la Virginie s’avère veine, preuve qu’il n’a pas la science infuse. Alors qu’il vient d’être élevé au rang de général de division, il est rabaissé par les Nordistes qui lui bottent les fesses : c’est caca, Lee pige qu’il est vulnérable  et devient la cible de diatribes. Tu as beau faire « fi » on sent chez toi légère honte au « fi » Lee !,

Le 1er juin 1862, tandis que les Bleus de l’Union ont envahi la Virginie, Lee prend le commandement, comme en demande, à la tête de l’armée de Virginie du Nord. Le « renard gris », comme ses adversaires le surnomment, se montre un rasé rusé arasant les risées ! La vertu de l’assaut Lee cite ! Il harangue de sa voie avec une gorge de l’art, Lee ! Les soldats suivent  ce Lee-là, en odeur de sainteté.

Le soir, en tripot Lee boit en ayant l’alibi du travail accompli. Lee, sans scier la discipline, permet à ses hommes de fêter en mode Bacchus. Requinqués mais pas requins cons,  ses soldats déclenchent des séries de contre-offensives  qui sauvent la  ville de Richmond ! Cette agglomération, qui, sans eux, risquait de se prendre une raclette. Lee permet trop pique grise de tailler à vue la croupière des Bleus, lesquels doivent se replier !

Pendant trois années consécutives, le général Lee, cœur aux deux vies (civile et militaire)  tiendra en échec les armées nordistes lancées à sa poursuite. Le mythe de l’hallali scella là Lee !

Certains de ses succès, comme la seconde bataille de Bull Run (29-30 août 1861), Fredericksburg (13 décembre 1862) sont considérés comme des chefs-d’œuvre militaires qui font crépiter salves d’hordes, ah Lee !

À deux reprises (oui, Lee coud sous le harnais)  il essaie d’envahir le Nord, mais pour essuyer des revers avec de vieux draps (les beaux draps de Lee).  A Gettysburg il est manche et se prend une veste à la suite de plusieurs impairs (1er-3 juillet 1863). En mai 1864, il trouve un adversaire à sa mesure en la personne du général  Grant, avec lequel il se livre à un duel de titans en Virginie, mais juste un petit temps. Lee note tant d’avaries et des dégâts rit Grant !

Malgré une belle résistance (se mesurant en hommes), ses forces sont bientôt amoindries et ne crient plus : ce qu’a fait Lee est joie, en buvant un petit noir !

Lee lit l’innée inévitable dans un des marcs de ce dernier.  Le 9 avril 1865, après une ultime hésitation, Lee signe l’acte de capitulation à Appomattox Court House (Appomatox hein : ah, pomme à tocsin !)

Alors s’ébranle Lee et doux art…de la guerre ! Oui, elle est un peu téléphonée celle-là !

Rentré à Richmond, il accepte de collaborer avec les instances fédérales ! Lee mage rit de la réconciliation !  A vouloir garder rancœur on serait con, si, Lee !

Ruiné, il accepte le poste de directeur de Washington College, à Lexington, où il forme du beau linge. Victime d’une commotion célèbre hâle (tant bis pour lui), il s’éteint le 12 octobre 1870. Le voilà hors Lee, en vol vers ailleurs.


Dans le cercueil on met Lee : mélo ! Oui mélodrame sous les psaumes et des vers de gris. Ces gris qu’il aura longtemps guidés, ces gris nés pour garder le cap mais qu’in fine, n’aura pas su dorer Lee (fit Lee petit ?)