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mardi 6 mai 2008

POLIE POLITIQUE

Pour la pêche il prenait en général deux gaules
Les voix prenaient à l’hameçon d’une auréole
Qui le coiffait depuis le jour « dix-huit Juin »
Pour un appel à étrangler l’essaim germain.
Mais le fil de l’épée de bonne constitution
Coupa pile de l’effet dedans sa dimension
Un mois de mai brûlant et sans quartier l’atteint
Un vrai coup de massue pour ce républicain.

Il sent qu’il n’est plus à la messe : merdeux braient
MESSMER, DEBRE :
- C’est la chianlie qui se dresse, par dépit je m’en vais
A Baden, Baden bouder !


Il avait fait Vichy mais en eut vite cure
Car dans l’homme inné râle s’érigea en stature
On le vit résistant, méritant mais tyran
Sa vie bien mal à droite lui fit las corps déviant
Godillant sur la gauche pour gagner le sommet
Il buta sur un moche état qui le sommait
De cesser ses sessions de censeur insensé
Il finit ses mandats et s’en vint décéder

J’arnaque c’est son mot ; quand il crée son mot roi
CRESSON MAUROY
Il sait qu’en mini stères on n’y voit que du bois
Machiavel quoi !

Ah mais quelle drôle de vie que mène un politique !
La veste retournée dans une bien pâle éthique
Lassant est son pouvoir, passant est son vouloir.
C’est l’usure sous l’azur qu’il ne peut même voir.
« Si j’obère on me crie « sus à l’amende ! » est-ce France
Qui pour de l’or vocifère, me met en vacances ?
Ah quel dilemme dit l’homme élu dont l’âme est mal
Placée entre le coeur et la raison vénale.

Et s’il faut vraiment qu’il agisse car destin l’y invite
Il sort les mythes !
Trop tard le mal empire, le voilà empirique :
On le crie !
On le critique !

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