Guillon s’était moqué d’Eric Besson en pointant «ses yeux de fouine et son menton fuyant». Le président du groupe justifie sa réaction :
- Je suis choqué et faut-il s’excuser d’être profondément choqué de ce qu’on entend sur une station dont on est responsable?
Jean-Luc revient sur les principes fondamentaux de la démocratie et «des valeurs morales qui scellent le pacte républicain. Il établit un rapprochement entre la chronique de Stéphane Guillon et les préjugés antisémites de la seconde guerre mondiale.
- Nous avons une histoire. Qui nous enseigne que l’attaque de la personne, fait partie de ces valeurs infranchissables !!
Il poursuit, en pointant «les années sombres, les références tellement amusantes aux yeux de fouine et aux doigts crochus, sont là pour nous le rappeler».
Puis le Président de RF conclut sur son droit de trouver drôle ou non l’un des membres du personnel. Mais jusqu’où pourra-t-il s’immiscer pour moraliser les propos d’un humoriste qu’il emploie ?
Il semble dire, Hees, qu’un ton peut esquinter !
En même temps une chronique guillonesque n’est pas la fin du monde dit Hees, catho…logique !!
Devra-t-il relire le pamphlet avant mise sur les ondes ? Dans ce cas Hees : qu’âme ôte l’escamotable !!
Où positionner le curseur dans l’ascenseur de la censure ? Vaste question pour laquelle, jusqu'à ce jour, Hees cale !
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