Double cliquer (si besoin est)A quelques jours de l'ouverture du Festival de la bande dessinée d'Angoulême qui aura lieu du 28 au 31 janvier, le monde de la BD porte le deuil : Jacques Martin, l'un de ses derniers "monstres sacrés" et l'un de ses auteurs les plus prolixes, est décédé ce jeudi 21 janvier, à son domicile de Bousval, en Brabant Wallon.
Je suis peiné de la disparition de ce grand monsieur qui nous a laissé tant de chefs-d'oeuvre : ses héros Alix et Lefranc, son esthétisme pictural, ses scénarios bien ficelés et imprégnés de vérités historiques.
Je suis peiné de la disparition de ce grand monsieur qui nous a laissé tant de chefs-d'oeuvre : ses héros Alix et Lefranc, son esthétisme pictural, ses scénarios bien ficelés et imprégnés de vérités historiques.
Jacques Martin n'était pas, comme son homonyme français, un amuseur public n° 1. Il n'a jamais épousé la future femme d'un Président ni fait le guignol devant les caméras de télévision en faisant croire à des enfants qu'ils chantaient juste rien que pour flatter l'égo des parents qui, dans l'assistance, filmaient à l'envi leur progéniture pour conserver des souvenirs impérissables !
Non, le Jacques Martin belge était un historien de la BD, un maniaque du détail historique et un merveilleux dessinateur ! Un homme discret aussi qui commença sa carrière dans l'ombre d'un géant de la vignette à bulles : Hergé !
Ca me donne envie de relire quelques bons albums : Alix l'intrépide, les légions perdues, le mystère Borg...
Replonger dans mon enfance, en souvenir d'un grand monsieur qui l'a nourrie, en partie...
Salut l'artiste ! Merci encore !
Je me suis permis de modifier une de tes planches en hommage à ton grand talent et à ma si piteuse inspiration...
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