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jeudi 29 mai 2008

ELLE CRAINT LA JUSTICE MAIS SON MENSONGE L'Y MENE !

C'est la nuit de noces. Yallah bibi..fricote un peu ! Nuit de noces pour musulmans sour le croissant de lune, pas loin de Maubeuge...c'est le Nord !
Ils sont deux et sont musulmans français.
Elle veut rester anonyme mais Annick (c'est son prénom) aime X et X lui pose la question :
- Tu m'aimes encore Annick ?
- Oui, je t'aime et te dirai toujours ces mots là !
C'est la nuit de noces ! Il va tomber sur un os ..nocif !
X découvre que Annick..
Non, en fait elle ne s'appelle pas Annick. C'était pour le calembour (voir ligne 5).
Elle s'appelle Y. Non pas I grecque car elle est française ! Vous suivez oui ou non ?
Donc X, comme le veut la tradition musulmane, va ôter la virginité de Y. Car Y est considérée comme vierge sinon elle serait impure.
Il est persuadé qu'elle a toujours été célibataire et chaste.
- Je suis célibataire, lui a-t-elle déclaré.
- Et chaste ?
- Oui vers la chasteté ma religion y mène !
C’est ce que croit aussi toute sa famille. Le mariage se fait en grande pompe : on utilise des babouches taille 42, 43 voire plus ! On mange du couscous en n'imaginant guère les futurs "coups-secousses" ! On n'échafaude pas de conjectures sur une fausse virginité : c'est tabou et même un tabou laid !
Comme chez les chrétiens on lance du riz : c'est la noce !
Le repas consommé, il faut consommer le mariage.
On touche à la fin du tryptique : riz, noce...Eros !
Et là ! Patatras !
La nuit de noces, le marié (je rappelle que c'est X) découvre que son épouse (donc Y) a menti.
Elle n'est pas vierge. La suite nous dira qu'elle est capricorne ascendant verseau recto verso.
Au bout de quelques heures, il fait irruption au milieu des invités qui sirotent un jus d'oranges non génétiquement modifiées.
Il n’a pas de drap taché de sang à exhiber ainsi que le commandent les rites dont héritent les musulmans.
Y (sa promise) lui avait pourtant dit :
- Mets-y du jus de tomate. On n'y verra que du feu !
Pas moyen de trouver du jus de tomates !
Le père ramène manu militari Y, sa belle-fille, chez ses parents.
Ca pue le déshonneur à plein tube !
Dès le lendemain, l’époux cherche à faire annuler son mariage.
Il s’agit d’une nullité relative, réclamée par celui qui s’estime victime d’une erreur.
- Errare humanum est, lui dit son avocat, cela dit je vais plaider pour vous.
Mais c’est une procédure rare.
Y (la femme) a très vite reconnu avoir déjà eu des rapports sexuels auparavant.
Elle a eut des amants dans le petit bois de St Amand : c'est le Nord !
Elle ne voulait pas l'avouer de peur de ne pas être mariée !
Devant le tribunal, la jeune femme a reconnu une fois de plus sa dissimulation.
X, lui, voulait non seulement rompre, mais surtout effacer cette union. «Faire comme s’il n’y avait jamais rien eu.» Les juges lui ont donné raison. Ils ont estimé que le mariage avait été conclu «sous l’emprise d’une erreur objective» mais aussi qu’une telle erreur était «déterminante dans le consentement».
Des jugements précédents ont déjà retenu cet article de loi (le 180 du code civil)
Ce jugement va-t-il servir de menaces au profit des fiancés musulmans ?
Ce serait alors la dictature d'une religion qui mettrait en exergue le "pas de ça avant les noces !"
On peut craindre aussi, comme le dit Mme Badinter (la Y de Mr X l'ancien Garde des Seaux) que cet évènement accroisse le chiffre d'affaire de certains chirurgiens spécialistes du "recousu main" ?
Car c'est c'est c'est c'est l'hymen qui les fera vivre !

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