Au coeur de la polémique : des échos, des "on-dit" lancés apparemment par des sites journalistiques sur l'affaire Betancourt ! Eric Woerth se défend (voir mon article précédent) et, à priori, la présomption d'innocence ne doit pas se transformer en présomption de culpabilité.
Toute cette affaire crée un climat délétère dès l'été et offre à nos yeux hagards le spectacle d'une triste démocratie dont le temple (la chambre des députés) se transforme en règlement de comptes et phrases assassines !
Marine se frotte les mains en regardant ce triste spectacle de loin...
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