LE PROZAC ne serait pas plus efficace contre la dépression que la sucre ! Ca alors, ça me déprime !
Mais où est-ce qu'ils ont été cherché cela les scientifiques de Hull (Yorkshire, université qui a du chien !) ? Ils ont fumé la moquette ou quoi ?
En fait ils ont mis la main sur des études tenues, jusqu'à ce jour, secrètes !
Ces études, venant du laboratoire fabriquant le prozac, montrent que sur des personnes légèrement dépressives les effets du prozac sont semblables à ceux de molécules placebo remplies de sucre !
Sauf qu'il faut éviter de les administrer à des diabétiques !
Ah la fameux plat c'est beau ! On roule sur du plat en oubliant la montée de la déprime...car on croit que le médicament nous a guéris !!
Cependant les petits bonbons sucrés deviennent moins efficaces que le Prozac lorsqu'ils sont ingurgités par des dépressifs sévères, mais graves..graves !!
Donc le Prozac est efficace pour les suicidés en devenir.
Cela n'empêche pas de mettre, en plus, du sucre dans le Prozac : simplement en avertir les diabétiques, si tant est qu'un diabétique ait envie de se suicider (c'est un autre problème).
Par ailleurs si le prix du sucre venait à augmenter (après tout, le prix du blé flambe) le placebo sucré risquerait de coûter plus cher que le Prozac.
Vraiment, ça me déprime (de fin de mois !)
mercredi 27 février 2008
QUOI FAIRE ?
Proposition 209 : Ouvrir un salon avec un simple CAP coiffure
Mais qu'est ce que... Qu'est ce que c'est que cette mesure qui frise l'indécence !
Un salon avec un simple CAP mais il est fou Attali ! Cheveu.. heu je veux !
Pierre Martin, le Président National de la Fédération nationale des coiffeurs, ne décolore pas, heu, ne décolère pas. Il veut bien que d'autres mesures réforment d'autres champs de l'activité économique..mais son champ point !
- On doit rester au critère du BP coiffure ; cette mesure tombe comme un cheveu sur la soupe.
C'est pas avec un CAP qu'on gère un salon !
Vraiment un mauvais film, avec un problème de pellicule !
- Par contre s'il veut augmenter les aides à la coiffure nous chignons, lance un coiffeur auvergnat.
Le dossier ne risque pas d'être bouclé car la grogne gagne dans la rue St Ignace où des coiffeurs manifestent et la colère se repend : allons silence ! Paix, rues, quais ! Je retire ma proposition !
La manifeste se montre hâtif (à tifs ?) comme ce sera le cas pour d'autres propositions...
Mais qu'est ce que... Qu'est ce que c'est que cette mesure qui frise l'indécence !
Un salon avec un simple CAP mais il est fou Attali ! Cheveu.. heu je veux !
Pierre Martin, le Président National de la Fédération nationale des coiffeurs, ne décolore pas, heu, ne décolère pas. Il veut bien que d'autres mesures réforment d'autres champs de l'activité économique..mais son champ point !
- On doit rester au critère du BP coiffure ; cette mesure tombe comme un cheveu sur la soupe.
C'est pas avec un CAP qu'on gère un salon !
Vraiment un mauvais film, avec un problème de pellicule !
- Par contre s'il veut augmenter les aides à la coiffure nous chignons, lance un coiffeur auvergnat.
Le dossier ne risque pas d'être bouclé car la grogne gagne dans la rue St Ignace où des coiffeurs manifestent et la colère se repend : allons silence ! Paix, rues, quais ! Je retire ma proposition !
La manifeste se montre hâtif (à tifs ?) comme ce sera le cas pour d'autres propositions...
MR THUME ET LE LOURD FAIX DE LA FEE MEFAIT
Il était une fois un monsieur qui s'appelait Thume. Pas vraiment très français ce nom mais il n'en pouvait rien ! Son père s'appelait Thume et habitait Thumeries (Nord - Fabrique de sucre !) de là à y voir une origine...sûrement.
Enfin bon, Mr Thume avait passé une enfance très malheureuse. Dès le berceau une mauvaise fée très moche (car à bosses !) lui avait lancé un mauvais sort : toute sa vie sa peau serait imprégnée d'une substance toxique et salissante ! Vous parlez d'un cadeau vous !
Il a grandi en mettant des gants car toute personne, à qui il serrait la main, se trouvait immédiatement atteinte d'un mal inconnu de la médecine et sur lequel beaucoup de chercheurs se penchent encore..au risque de tomber dans l'incompréhensible.
Les copains de l'école ne tarissaient pas de sarcasmes : hou, hou, Thume la tumeur si tu le touches là..tu meurs !!
Vous parlez d'une circonstance favorable pour fonder des relations de camaraderie durables !
Adolescent il connut une puberté épouvantable avec des éruptions volcaniques d'acnée. Il devait se rendre au lycée avec un masque permanent sans tomber sous le coup de la loi des signes ostentatoires de radicalisation exacerbée.
Adulte il n'eut que des déboires avec les femmes qui le repoussaient. Le moindre baiser se transformait en boutons de fièvre pour la femme de ses rêves.
Vous parlez d'une conjoncture amoureuse favorable à un développement durable de la vie sexuelle.
Il vécut seul avec des animaux qui, ô vérité incroyable, étaient les seuls êtres sur cette planète (même les plantes crevaient à son contact) à supporter son toucher.
L'amour des bêtes le poussa, cette année là, à venir visiter le salon le l'agriculture.
Il y alla le premier jour. C'était l'inauguration.
Il prenait soin de déambuler dans les allées sans toucher personne (une prouesse artistique !).
Soudain il vit venir vers lui un tout petit bonhomme, d'apparence nerveuse. Il était escorté d'une ribambelle de beaux messieurs, bien cravatés. Certains semblaient très costauds.
Le petit bonhomme s'approcha de lui. Visiblement il voulait lui serrer la main comme, préalablement, il avait serré la main de plein de visiteurs qui, apparemment, le connaissaient bien.
Mr Thume eut un réflexe salvateur pour celui qui allait commettre un geste fatal. Un geste qui aurait pu lui provoquer une maladie longue, voire paralysante.
Il eut le réflexe de prévenir ce petit bonhomme bourré de tics en lui lançant :
- Ne m'approche pas, Thume salit !
A son grand étonnement, il s'entendit répondre "casse toi connard !"
Il aurait voulu s'expliquer mais déjà la cohorte d'hommes cravatés continuait son chemin à travers la foule, protégeant le petit nerveux qui ne cessait de presser des mains exemplaires, elles, garantes d'inocuité.
Le lendemain, il appris par son voisinage que l'incident passait en boucle sur Internet.
Il en fut sidéré !
Enfin bon, Mr Thume avait passé une enfance très malheureuse. Dès le berceau une mauvaise fée très moche (car à bosses !) lui avait lancé un mauvais sort : toute sa vie sa peau serait imprégnée d'une substance toxique et salissante ! Vous parlez d'un cadeau vous !
Il a grandi en mettant des gants car toute personne, à qui il serrait la main, se trouvait immédiatement atteinte d'un mal inconnu de la médecine et sur lequel beaucoup de chercheurs se penchent encore..au risque de tomber dans l'incompréhensible.
Les copains de l'école ne tarissaient pas de sarcasmes : hou, hou, Thume la tumeur si tu le touches là..tu meurs !!
Vous parlez d'une circonstance favorable pour fonder des relations de camaraderie durables !
Adolescent il connut une puberté épouvantable avec des éruptions volcaniques d'acnée. Il devait se rendre au lycée avec un masque permanent sans tomber sous le coup de la loi des signes ostentatoires de radicalisation exacerbée.
Adulte il n'eut que des déboires avec les femmes qui le repoussaient. Le moindre baiser se transformait en boutons de fièvre pour la femme de ses rêves.
Vous parlez d'une conjoncture amoureuse favorable à un développement durable de la vie sexuelle.
Il vécut seul avec des animaux qui, ô vérité incroyable, étaient les seuls êtres sur cette planète (même les plantes crevaient à son contact) à supporter son toucher.
L'amour des bêtes le poussa, cette année là, à venir visiter le salon le l'agriculture.
Il y alla le premier jour. C'était l'inauguration.
Il prenait soin de déambuler dans les allées sans toucher personne (une prouesse artistique !).
Soudain il vit venir vers lui un tout petit bonhomme, d'apparence nerveuse. Il était escorté d'une ribambelle de beaux messieurs, bien cravatés. Certains semblaient très costauds.
Le petit bonhomme s'approcha de lui. Visiblement il voulait lui serrer la main comme, préalablement, il avait serré la main de plein de visiteurs qui, apparemment, le connaissaient bien.
Mr Thume eut un réflexe salvateur pour celui qui allait commettre un geste fatal. Un geste qui aurait pu lui provoquer une maladie longue, voire paralysante.
Il eut le réflexe de prévenir ce petit bonhomme bourré de tics en lui lançant :
- Ne m'approche pas, Thume salit !
A son grand étonnement, il s'entendit répondre "casse toi connard !"
Il aurait voulu s'expliquer mais déjà la cohorte d'hommes cravatés continuait son chemin à travers la foule, protégeant le petit nerveux qui ne cessait de presser des mains exemplaires, elles, garantes d'inocuité.
Le lendemain, il appris par son voisinage que l'incident passait en boucle sur Internet.
Il en fut sidéré !
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