Le grimpeur italien Riccardo Ricco, qui voulait faire comme son illustre ainé Maître Pantani, a été contrôlé positif à l'EPO, a annoncé, jeudi 17 juillet, l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).
Les urines de Ricco, 9e au classement général, contenaient des traces d'EPO de troisième génération.
Selon L'Equipe.fr, Ricco aurait abusé d'une subtance baptisée CERA (Continuous Erythropoiesis Receptor Activator), une EPO² développée par le laboratoire pharmaceutique suisse Roche pour traiter les anémies.
- L'âne est mis dans de beaux draps ! a déclaré Matxin Fernandez, directeur sportif de l'équipe
Saunier-Duval dont fait partie Ricco.
- La faute incombe à Ricco (vert ?), précise un des coéquipiers de celui qu'on nomme "le cobra". On ne voudrait pas payer pour lui !
C'est vrai que le Cobra nagea (cobra-naja ?) souvent dans les eaux troubles du dopage et de la triche. Aussi, était-il dans le collimateur de l'AFLD.
Un cobra qui serpente trop aisément sur les cols de 3° catégorie...c'est louche ! Même si c'est un serpent à lunettes qui cachent les yeux !
Il s'est fait prendre avec des urines quelque peu dénonciatrices.
Il n'a pas pu leurrer longtemps : leurrer c'est pisser en toute tranquillité. Or, là, il a bien pissé dans un flacon et la récolte a été analysée !
La faute du Cobra retombe sur toute l'équipe. Saunier-Duval a annoncé qu'elle quittait le Tour.
Le Cobra de Modène ne récolte que des mots de haine !
Le tour de France retrouve ses vieux démons et on jette le discrédit sur les professionnels de la pédale, à présent sur le gué !
Certains cyclistes trouvent que le Tour sent mauvais et voudraient chercher, à grand braquet, un peu d'air ailleurs ! Ils rongent leur frein !
- Tu attires la haine Ricco, a lancé un chanteur pied noir, proche de Sarkozy.
Et si tout se terminait par une chanson de Carla "comme si de rien n'était" ?