Après le séisme qui a ravagé Haïti le 12 janvier, l'île caraïbe est aujourd'hui menacée par le choléra en raison de la mauvaise qualité de l'eau potable que des pluies diluviennes ont perturbée. Apparue dans la région de l'Artibonite, au nord de la capitale, Port-au-Prince, dans la semaine du 18 octobre, la maladie a fait, selon un dernier bilan diffusé lundi par les autorités sanitaires, 259 morts et 3 334 cas avérés. L'épidémie serait cependant en recul, avec « seulement » six nouveaux cas mortels enregistrés ces dernières 24 heures. Pour le mourant de là-bas y a-t-il encore raison d’espérer ?
De Haïti s’évadent en mille échos les ra
Vageuses expressions d’essor du choléra
Juste après le séisme la pluie, de colère a
Frappé ce pauvre sol qui sent décoller ra
Pidement tout espoir d’avoir l’écot des rats
De la finance mondiale et son école est ra
Lliement de faces pâles, de tristes loques et ra
Vinements nauséeux où sans des collets rats
Pullulent à foison. La vie décolle, hère a
La mort en suspension et quand décollera
L’avion médicinal frappera choléra !
N’est-il donc pas trop tard, dit le ton rauque et las ?
De Haïti s’évadent en mille échos les ra
Vageuses expressions d’essor du choléra
Juste après le séisme la pluie, de colère a
Frappé ce pauvre sol qui sent décoller ra
Pidement tout espoir d’avoir l’écot des rats
De la finance mondiale et son école est ra
Lliement de faces pâles, de tristes loques et ra
Vinements nauséeux où sans des collets rats
Pullulent à foison. La vie décolle, hère a
La mort en suspension et quand décollera
L’avion médicinal frappera choléra !
N’est-il donc pas trop tard, dit le ton rauque et las ?