Mais que voulez-vous : le touriste est frappé par la crise ! Il ne viendra pas à Dubaï (ce nom propre m'énerve à cause du tréma ! Je perds un temps fou avec la touche où se trouvent tréma et accent circonflexe !).
C'est le voisin, Abou Dhabi qui devrait venir en aide. Il s'est déjà transformé en bailleur avec une avance de 15 milliards de dollars via la banque centrale des Emirats Arabes Unis et deux de ses propres banques ! Abou Dhabi est d'ailleurs plus riche que son voisin car il a du pétrole et surtout il est moins dispendieux !!
On a l'impression de revivre la fable de la cigale et de la fourmi. Mais je changerai les animaux !
Dubaï baille et bêle comme un agneau à l'abattoir.
Il a l'impression que ses dépenses pharaoniques ont été effectuées pour des prunes : l'Emirat bêle ! Il va tenter de sauver sa peau de débiteur mais à honorer des échéances atermoyées l'Emir acculé l'est (les miraculés laids ?).
Abou Dhabi est le loup qui va imposer sa force économique et ses conditions de remboursement !
Son Emir guettera la proie fragilisée du haut de ses derricks flamboyants : l'Emir adore !