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Le président Emmanuel Macron tout
juste sorti du G7 de Taormine, où le climato sceptique Trump a fait figure de gland des six îliens, vient d’accueillir en grande pompe, ce lundi 29 mai son homologue russe
Vladimir Poutine !
Et pas n’importe où s’il vous plaît !
Au château de Versailles ! Et oui, c’est l’occasion pour les deux hommes d’inaugurer
une exposition qui célèbre le tricentenaire des relations diplomatiques entre
la France et la Russie.
Et oui, en mai 1717, le Tsar Pierre
1° prenait dans ses bras Louis XV, alors âgé de 7 ans et toute une exposition
est consacrée à cet événement, au Grand Trianon.
En attendant c’est le petit tri,
ânon, semble lancer notre jeune Président à l’ex du KGB. Oui faisons le tri
dans tous les dossiers qui te font, avec éclats, baudet et clabauder !
Sur le dossier syrien, Emmanuel
Macron a rappelé qu’il était indispensable de renforcer le partenariat avec la
Russie pour «
assurer la stabilité et la transition démocratique » du pays. Mais il a également veillé à
mettre en garde contre l’utilisation d’armes chimiques ! Sinon gare !
Puis, Emmanuel Macron a
affirmé qu’il serait « constamment vigilant » sur le sujet des droits de
l’Homme. Il a rappelé l’importance pour la France «
du respect des minorités ». Evidemment il faisait référence aux répressions
des homosexuels en Tchétchénie. Le chef
d’État russe a promis, de son côté, la « vérité complète sur les activités
des autorités locales ».
Les deux hommes se sont mis d’accord
pour lutter contre le terrorisme et pour rapprocher culturellement les deux
pays !
- Il faudrait que nos rapports s’accrussent, a lancé Macron en
pensant à des mécènes comme Vuitton.
-
Oui, il ne faudrait pas que nos rapports mourussent, rétorqua
Vladimir avec un léger tic russe, heu, rictus.
Toute une conversation en privée que les deux hommes d’état dévoilèrent
lors d’une sympathique conférence de presse.
Il était temps, après, de passer à cette superbe exposition dédiée à
Pierre Le Grand qui séjourna en France du 21 avril au 21 juin 1717.
Histoire de se redire que les relations franco-russes ce n’est pas que
du flan !