En cette période de vacances, alors que de nombreux estivants goûtent les douceurs de la plage, je n'ai pu m'empêcher de penser à la famille moyenne, nord coréenne. Elle va, elle aussi, au bord de la mer, mais y longe des barbelés et se ronge de savoir comment son dictateur Kim va en découdre avec Mr Trump, sur fond de marasme économique et de privation de libertés...
On allait au bord de l’amer
Avec mon père, ma sœur, ma mère
On n’savait rien des autres gens
Qui enrichissaient l’Occident
On n’savait rien des autres gens
Qui enrichissaient l’Occident
Nous il fallait faire attention
Quand on boudait la moindre allocution
De Kim Jun Un, ce pas grand-chose…
De Kim Jun Un, ce pas grand-chose…
Et on se lamentait des bas taux
De croissance des flux commerciaux
De croissance des flux commerciaux
Kim lançait : « on reste au
rang
Gare à ceux qui passeraient d'vant ! »
Et on évitait débats tôt
Jugés dissidents ; l’étau
Nous serrait pendant des heures
On prenait de belles douleurs !
Gare à ceux qui passeraient d'vant ! »
Et on évitait débats tôt
Jugés dissidents ; l’étau
Nous serrait pendant des heures
On prenait de belles douleurs !
On allait au bord de l’amer
Avec mon père, ma sœur, ma mère
De martiales vagues pas très tranquilles
Secouaient déjà Kim Jong Il
De martiales vagues pas très tranquilles
Secouaient déjà Kim Jong Il
Alors…le fils ; on n’en peut plus !
Et on se répétait des gros mots
Kim ordure, dégueulasse, salaud !
Dans nos têtes ; jamais trop haut
On craignait trop pour nos peaux
Dans nos têtes ; jamais trop haut
On craignait trop pour nos peaux
Et on regardait les bas taux
La la la la la...
La la la la la...