Le petit nerveux carlabruniste vient d’annoncer son
retour en politique ! Il a fait une OPA sur le 20 h de Delahousse qui l’a
ouvert (sa housse) pour permettre l’émergence d’un scoop : Nicolas est de
retour ! Ça alors ! Franchement je ne m’y attendais pas du
tout ! Mais du tout !
Il a pris l’antenne, comme ça, oui la belle antenne de
France d’œufs, d’œufs qu’on bat pour faire une belle omelette d’homme lettré
providentiel… Enfin lettré si on lui prête deux neurones d’intelligence sinon…
Sinon c’est la vacuité mon cher ! Un néant qui va cuiter dans le bar
atteint d’inepties !
Oui, le petit Nicolas nous a rejoué la partition si
mineure des jérémiades (bouh, snif, les juges ils font rien que m’embêter), des
allusions perfides et des réponses toutes faites, tellement bien faites
qu’elles se trouvaient déjà dans les questions de l’interviewer devenu con
plaisant !
Le
blondinet de France 2 n’avait pas envie de froisser celui qui a nommé son
patron, Rémy Pflimlin, à la tête de la TV publique. C’est encore le fait du
Prince. Sarko met tunes : tu meurs (sarcome est une tumeur), tu meurs à la
moindre contradiction ! D’où le contrat-diction signé par Laurent D pour
prononcer les bons mots évitant maux !
Donc
tapis rouge pour l’homme « pro » vide en ciel mais les pieds sur des
terres minées par ses adversaires de droite qu’en cause tu mets et qui veulent
tailler un costard à celui qui cause tôt ! Encore que, pour répondre à
certaines questions, le petit Nicolas a demandé à Laurent, à deux reprises,
deux neurones, juste pour prêter, après il les rendrait car il n’aime pas la
dette et les intérêts qui font usure !
Doté d’un tel capital
cérébral le squatteur du plateau a déroulé des inepties dans le genre :
« la France s’écroule, je reste à la maison, à banc jaune, les dents...heu,
abandonne les gens ? Je n’ai pas la prétention ridicule d’être un sauveur, mais
je ne veux pas que mon pays soit condamné. Non seulement, j’ai envie, mais
je n’ai pas le choix. Je dois rendre à mon pays ce qu’il m’a donné.»
Ça
c’est une idée ! Rendre à la France l’argent détourné, pygmalionnisé,
voire peut-être Karachisé, et j’en passe ! Mais pour cela il ne faut pas
souhaiter refaire de la politique Nicolas ! Continue tes conférences
insipides surrémunérées !
Comment,
tu ignorais Pygmalion, cette société qui a financé ta compagne, heu, ta
campagne présidentielle tout droite sortie du Buisson ardent de l’extrême
droite ? Un Buisson qui s’est ensuite transformé en dictaphone tant il
était dur de la feuille pour t’écouter ?
Ah,
pauvre Nico, comme la reconquête sera rude ! Une partie de l’UMP en bas
racé et à linge huppé va te snober. Tu devras affronter en prime ère des
primaires animées de revanchards épris-maires qui jadis déprimèrent de ne
pouvoir te bouter hors de leur cercle !
Oui
la reconquête sera rude (anaphore celle-là) ! Les juges t’attendent
magistralement au coin de la rue d’escrimeur où la rudesse crie : meurs !
Meurs pour tes forfaits fort fous, tes surfacturations de meeting miteux, tes
trafics d’influence, ton trop-fric d’affluence qui crie : haro lex ! Meurs
pour les vols en jets privés, pauvre cornichon qui ne sentit pas le coup
Courbit assez !
Oui,
les juges que tu moquas en croyant provoquer chocs aux las se vengeront de ce
temps des railleurs que tu instauras en gardant hauts pignons de ta personne (c’est
cyclique chez toi) !
Oui,
Nicolas, l’abysse mute pour se présenter en gouffre sous tes pieds de prétendu
prétendant au trône de l’UMP (ou autre nom ?) doublé d’un statut de
polyprésumé innocent ! On peut te prêter des neurones mais qui prête en
dents en ce pays si pauvre d’édentés sédentaires ?
Oui
Nicolas, entre casseroles tirées par Dame Justice et casse-rôle mu par tes
adversaires, tu devras te frayer un étroit chemin dans la broussaille juridico-politicienne.
Méfie-toi : l’épine dort sale !
Tous
mes vœux t’accompagnent autant que peut accompagner un trader repenti la
présence chaleureuse d’un bracelet électronique !