Sarkozy a toujours claironné qu'il avait été «élu sur la valeur travail» et qu'il avait décidé de torpiller l'assistanat dans notre pays.
Aussi, il a adopté la proposition de RSA (Revenu de Solidarité Active) cher à Martin Hirsch !
- En matière de solidarité je ne vois qu'Hirsch ! a-t-il clamé
- Tu ne vois Kirch ! La cerise sur un gâteau qui n'existe pas, a déploré Balladur.
- Tu vas faire payer les épargnants, a regretté Laurence Parisot la présidente du Medef, avec une taxe de 1,1 % sur les revenus du capital ! C'est pas malin ! Tu crées un impôt supplémentaire et tu obères les petits épargnants ! Tu obères les plans (d'épargne en action) !
- J'opère les blancs ? Heu, j'obère les plans ?? Oui, possible ! Oui, mais bon, j'assume mon choix ! Il faut que les plus riches donnent au plus démunis ! Le RSA ne doit pas être le RAS "rien à signaler" ! Le RSA doit permettre à un Rmiste de conserver son RMI tout en travaillant ! Vive la valeur travail !
- Ce n'est pas suffisant, dit Hollande, il faut financer davantage le RSA. Pour ce faire défaisons le bouclier fiscal et faisons payer les vrais riches.
François Hollande est-il prêt à payer de ses propres deniers ?
Denier tu dors (chanson connue) : il te faut nourrir les réformes du petit Nicolas !