Un jeune homme est tombé d'un pont jeudi, à Nantes, lors d'un apéro géant organisé via le réseau social Facebook ! Les politiciens de tous poils se sont prononcés contre une interdiction mais souhaitent un meilleur encadrement.
Le ministre de la Jeunesse et des solidarités actives Marc-Philippe Daubresse a estimé vendredi que "l'interdiction totale" des apéros géants, "ça ne marche pas", et prôné "des mesures de prévention nouvelles". "Il faut évidemment avoir une attitude 'ordre public', mais aussi et surtout mettre en place des mesures de prévention nouvelles,"a expliqué le ministre au micro de RTL.
"Ce n'est pas en fermant les yeux devant la réalité de l'évolution de notre société que l'on va la résoudre: il faut traiter les causes et non pas les conséquences", a-t-il ajouté.
En attendant les apéros géants vont continuer à essaimer leur fièvre festive pour le plus grand bonheur des vendeurs d’alcool, des viticulteurs et commerçants de spiritueux.
Il faut dire que la crise se prête bien à ses débordements de beuverie très rabelaisiens !
Il faut dire que la crise se prête bien à ses débordements de beuverie très rabelaisiens !
Voici un petit texte bien pétillant à cet égard.
Dans la trame des relations les pas se tissent. Mais sur la toile un book a montré ses charmes dans un coin trop cordial et qui brandit des invitations.
Une invitation chérie à venir vers Moutes ou dans le Calvados ou même à Chambéry pour festoyer en communauté : Facebook lance les apéros géants !!
Des méga fêtes où on se lance d’amères piques, on brandit l’arme à niaque qui cogne activement contre l’infortune qu’on ne peut plus saquer !
L’artiste marri brise art et s’abandonne dans l’absinthe en parlant avec un ex ambassadeur qui a épousé une ancienne bénédictine !
Des dialogues démarrent, salamalecs, de type cordial au cœur d’un bourg bon. Bon !!
De bonnes cures à seaux de sangria permettent de se désinhiber ! Les gens si ânes se trouvent moins bêtes à fréquenter jungle ou zoo ! Les langues se délient ! On peut enfin ramener sa fraise que la gêne épie timidement.
Pour changer l’ode-vie il fallait bien que le mal y bût ! On oublie les boissons insipides : l’envie de thé qui l’a ?
La crème floque l’œsophage, liquoreuse ! L’épine au pied du mur s’estompe et les contraintes s’usent : on en a moins marre des gens, des roms… On rit car on sait s’amarrer tôt dans une folie fine en oubliant la télé : Bianco interviewé par Pernaut, par exemple !
Ah, amoroso de mon cœur, qu’il est merveilleux cet apéro géant, que son allant bique !!