C’était l’époque où le François
Avait jugé de bon aloi
Après les attentats de Nice
De faire appel, non aux milices
Mais à l’armée de réservistes
On la remettrait sur la piste
Pour épauler les militaires
Les durs, les vrais, ceux de carrière.
C’était l’époque où Maria
Avait la vision du combat
En dehors des revers sur cours
Elle s’imaginait en recours
Prête à terrasser la terreur
Des islamistes nés tueurs
Poutine l’ayant fort effrayée
Elle avait choisi notre armée
Évidemment n’en croyez rien
Mais d’en rêver ça fait du bien !