Ce dimanche 25 novembre, c'est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Par un curieux hasard un procès vient de se clore avec la condamnation de Régis
de Camaret à 8 ans de Prison. Cet homme, accusé pour « viols sur mineures
de moins de 15 ans » a été condamné par la Cour d’Assises du Rhône. L’homme
aurait abusé de jeunes pousses du tennis féminin pendant de longues années.
Isabelle Demongeot,
ex-numéro 2 du tennis français a entamé la procédure judiciaire avec sa seule
plainte. D’autres plaignantes ont suivi !
Régis de Camaret n'a pas reconnu les faits alors que, seule Nathalie
Tauziat, ex-numéro 1 du tennis français a apporté son soutien à son mentor. En
raison de cette initiative elle sera sûrement exclue du comité directeur de la Fédération Française de
Tennis !!
Le condamné devrait faire
appel de la décision du juge, même si, âgé de 70 ans, il pourrait demander dès
lundi une liberté conditionnelle.
En effet, une nouvelle
réglementation permet aux condamnés de plus de 70 ans de ne pas attendre
d'avoir fait la moitié de leur peine pour bénéficier de la conditionnelle.
Enfin, liberté
conditionnelle ou pas, si les faits sont vraiment avérés le mal aura longtemps
porté son fruit dans le cœur et l’âme de ces femmes qui croyaient en la
noblesse du sport.
Il voulait un tennis de pro
Dans les mains de ses protégées
Il usa du…(voir contrepet)
Ah, la satanée libido !
Voit à 11 ans la ville Sodome
C’est pour longtemps la peur des hommes
Qui hantera ses gris mentaux.
C’était au travers d’un doux chant
Qui vantait les boules d’un charmant
Curé empreint de légèreté !
Bien plus vicieux que le prélat
N’en déplaise à Dame Tauziat
Qui ne vit en lui aucun vice !
De tennis arguent les plaignantes
Sa conduite était violente
Il nous assassina l’amour !
Un pan de vie qui sera quête
D’une féminité soustraite
Aux affres viles du passé.
Concupiscentes et lubriques,
Semé la fange traumatique
Dans l’avenir de jeunes fées.
De revers douloureux et lourds !
Jusqu’au prétoire combien de jours
A soigner l’indicible plaie !
Pour voir le sort changer de camp
Pour savourer tel un onguent
Le procès d’un tueur d’enfance.
Sur le gazon des maux cachés
Les langues ont repris de volée
La dignité par la justice !