Madonna n’a pas pu adopter la Mercy
Elle croyait bien pourtant avoir à sa merci
La justice ! Voilà : elle a du mal, ah ouiElle devra faire appel, consolé par Ritchie !
Nos braves députés n’ont pas pu adopter
La loi « Création et Internet », manqué !!
Par défaut d’UMP les téléchargements
Ont répit assuré, le PS est content !
Ségolène Royal n’a pas pu adopter
Attitude sereine chez les Sénégalais
Elle brandit sa colère et son cri pas doux, doux
Pour fustiger Sarko et son discours ripoux.
Il y a réellement des problèmes d’adoption
Dans ce monde imparfait, très ouvert aux tensions
Il faudrait adopter une conduite saine
Pour que règne la Paix et que meure la haine.
Un blog qui suit l'actualité et cherche à y trouver des éléments humoristiques. Un blog aussi poétique quand il le faut... Avec de la gravité.
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jeudi 9 avril 2009
LE VIEIL HOMME ET L'AMER...
Mr Bouteflika, sans aucunes surprises
Gèrera son pays jusqu’à la mort comprise
Il est, en Algérie, l’unique référence
Le grand-père, le papy, la mono présidence.
Dans ce coin du Magreb où coule à flot l’or noir
Bouteflika régit sans un contre pouvoir
Si ce n’est l’abstention ; elle est hypothétique
Au regard de l’aura de ce charismatique.
En dépit des carences de la scolarité
Et des hordes de jeunes trop souvent désoeuvrés
Malgré les pénuries, l’envie de s’évader
Mr Bouteflika gardera le sommet.
Comme un pantin usé que l’armée manipule
Il sera le garant de pratiques crapules
N’en déplaise à tous ceux qui peignaient l’embellie
Sur les tombes du FIS, après la tragédie.
Comme un chiffon rougi par le sang des victimes
Comme un vieil étendard d’un trop ancien régime
Le géronte s’accroche, sous les saluts bien bas
De l’armée, de la force. Comment bouter flics, ha ?
Comme un convalescent d’ulcère hémorragique
Que la France opéra par ses soins antalgiques
Mr Bouteflika entame sa retraite
A soixante-douze ans, sans tambour ni trompette.
Pas de gloire affichée : succéder à soi même
Dans de telles conditions, n’est qu’épiphénomène !
Mais la crainte de voir tâche d’huile s’épandre
Sur les terres des voisins n’est pas thèse à pourfendre.
En effet, ce modèle d’autocratie larvée
Pourrait bien s’ériger en Edits décrétés
Ben Ali en ferait ses fourches tunisiennes
Gèrera son pays jusqu’à la mort comprise
Il est, en Algérie, l’unique référence
Le grand-père, le papy, la mono présidence.
Dans ce coin du Magreb où coule à flot l’or noir
Bouteflika régit sans un contre pouvoir
Si ce n’est l’abstention ; elle est hypothétique
Au regard de l’aura de ce charismatique.
En dépit des carences de la scolarité
Et des hordes de jeunes trop souvent désoeuvrés
Malgré les pénuries, l’envie de s’évader
Mr Bouteflika gardera le sommet.
Comme un pantin usé que l’armée manipule
Il sera le garant de pratiques crapules
N’en déplaise à tous ceux qui peignaient l’embellie
Sur les tombes du FIS, après la tragédie.
Comme un chiffon rougi par le sang des victimes
Comme un vieil étendard d’un trop ancien régime
Le géronte s’accroche, sous les saluts bien bas
De l’armée, de la force. Comment bouter flics, ha ?
Comme un convalescent d’ulcère hémorragique
Que la France opéra par ses soins antalgiques
Mr Bouteflika entame sa retraite
A soixante-douze ans, sans tambour ni trompette.
Pas de gloire affichée : succéder à soi même
Dans de telles conditions, n’est qu’épiphénomène !
Mais la crainte de voir tâche d’huile s’épandre
Sur les terres des voisins n’est pas thèse à pourfendre.
En effet, ce modèle d’autocratie larvée
Pourrait bien s’ériger en Edits décrétés
Ben Ali en ferait ses fourches tunisiennes
Et Mohamed, le VI, sa règle marocaine...
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