Il y a dans le rire des enfants
Des matins de rêveries et des nuages blancs
Un azur inondé de rayons fous
Et de vagues au bleu d'océan.
Il y a dans le rire des enfants
Le magique voile fin de nos brumes d'antan
L'éternité des souvenirs du vent
Qui soulevait les jupons blancs
Des grands-mamans.
Il y a dans la joie des enfants
Le soleil et son manteau brûlant
L'arc en ciel et ses chemins troublants
Le jardin au parfum de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
Les reflets scintillants de l’étang
Que survolent des plumages blancs
Dans le crépuscule du couchant.
Il y a dans le rire des petits
L’innocente gravité des premiers pas de vie
Un chemin jalonné de féerie
Qui rejoint les plaines de la nuit.
Il y a dans le rire des petits
L’inavouable secret de quelques embellies
Qui savent féconder comme à l’ envi
Quelques instants d’éternité jamais taris.
Il y a dans le rire de l’enfant
La simplicité de nos élans
L’insouciante errance des passants
Dans un matin léger de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
L’instantanément au cœur du temps
Un feu d’or accroché aux versants
Des montagnes endormies sous le blanc.
Il y a dans le rire des enfants
Un ruisseau entre les rochers polis par le temps
Des chevaux galopant dans la Camargue
Fougue folle et crinière à tous vents
Il y a dans le rire des enfants
L’indicible évanescence des parfums d'antan
Le souvenir de nos ravissements
Que partageaient en leurs vingt ans nos grand-mamans.
Il y a dans le rire des enfants
Le désir de tout enfantement
Cette envie de prolonger le temps
Au delà de nos chemins d’errants
Il y a dans le rire des enfants
La poésie à la fleur de chant
La mélodie de tout sentiment
Des matins de rêveries et des nuages blancs
Un azur inondé de rayons fous
Et de vagues au bleu d'océan.
Il y a dans le rire des enfants
Le magique voile fin de nos brumes d'antan
L'éternité des souvenirs du vent
Qui soulevait les jupons blancs
Des grands-mamans.
Il y a dans la joie des enfants
Le soleil et son manteau brûlant
L'arc en ciel et ses chemins troublants
Le jardin au parfum de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
Les reflets scintillants de l’étang
Que survolent des plumages blancs
Dans le crépuscule du couchant.
Il y a dans le rire des petits
L’innocente gravité des premiers pas de vie
Un chemin jalonné de féerie
Qui rejoint les plaines de la nuit.
Il y a dans le rire des petits
L’inavouable secret de quelques embellies
Qui savent féconder comme à l’ envi
Quelques instants d’éternité jamais taris.
Il y a dans le rire de l’enfant
La simplicité de nos élans
L’insouciante errance des passants
Dans un matin léger de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
L’instantanément au cœur du temps
Un feu d’or accroché aux versants
Des montagnes endormies sous le blanc.
Il y a dans le rire des enfants
Un ruisseau entre les rochers polis par le temps
Des chevaux galopant dans la Camargue
Fougue folle et crinière à tous vents
Il y a dans le rire des enfants
L’indicible évanescence des parfums d'antan
Le souvenir de nos ravissements
Que partageaient en leurs vingt ans nos grand-mamans.
Il y a dans le rire des enfants
Le désir de tout enfantement
Cette envie de prolonger le temps
Au delà de nos chemins d’errants
Il y a dans le rire des enfants
La poésie à la fleur de chant
La mélodie de tout sentiment
Qui recule un peu plus le néant.