Si Sarkozy se sépare de son instrument
Ce n'est pas qu'il soit un danger, médical'ment.
On est loin de la cornemuse en moisissures (*)
Qui octroya à son souffleur une mort sûre.
Non s'il s'avère qu'il faille un jour s'en séparer
C'est que le si, la note unique, aura morflé !
Plus de sifflet, longue atonie, fin du signal
Pour rallier lors d'un banquet électoral.
Il faudra donc alors songer à d'autres voix
Se recycler en y plaçant la bonne foi
Faire le gros DO ou bien travailler à deux MI
Peut-être innover dans la splendeur d'un RÉ-SI
(*) En référence à un fait tragique :
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