Au lendemain de la libération des otages colombiennes Clara Rojas et Consuelo Gonzalez de Perdomo (deux paires d'homo ?), le président vénézuélien Hugo Chavez a lancé un appel à la communauté internationale :
- Bon, d'accord les FARC ( Forces armées révolutionnaires de Colombie) n'ont pas été très gentilles avec les otages. Mais bon, elles les ont libérées..finalement ? Ils font compter avec les FARC car ce sont des forces insurgées (1/G) qui ont un projet politique bolivarien. Et moi, enfin nous, peuple du Vénézuela, on aime bien les gens qui pensent comme le maître Bolivar !
Le gouvernement colombien a vivement réagi, en refusant qu'on accorde aux FARC "le statut de belligérants".
- Mr Chavez, comme pouvez-vous appeler "armée" une troupe de minables qui assassine ou s'adonne au trafic de drogue ? a demandé l'ex-président colombien Andres Pastrana, qui avait accepté de démilitariser la région du Caguan en vue de pourparlers de paix avec les FARC (pourparlers qui ont échoué).
Quant aux otages libérées, Clara Rojas et Consuelo Gonzalez, elles ont dénoncé, lors de leur première conférence de presse à Caracas, les méthodes des FARC, qualifiées d'"organisation criminelle" par Mme Rojas, ex-directrice de campagne d'Ingrid Betancourt.
- La prise d'otages est un crime de "lèse humanité". Ils disent qu'ils sont l'armée du peuple et on voit qu'ils entraînent des gens à la prise d'otages ! Faut pas charrier ! En plus ils font du trafic de drogue et en consomment pour se doper et avoir une maîtrise de leur pauvre vie : maîtrise-dopage mais prise d'otages !
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