L'idée d'embaucher des chèvres en guise de tondeuse à gazon s'inscrit la ligne politique de développement durable de la société.
Jean Louis Borloo suit l’affaire de très près car il souhaiterait tenter l’expérience sur les pelouses de l’Elysée. Pelouses dont l’épaisseur intense dénote une certaine aversion à la tonte que partagent les deux époux Sarkozy !
Les pelouses et pâturages qui jouxtent les établissements Google seront donc tondus par les mâchoires hyperactives des ruminants !
Ces herbivores ont le mérite de ne pas recracher de CO² dans l’atmosphère, contrairement aux tondeuses de Google, consommatrices d’essence. Mais pourquoi Google n’avait-il pas opté pour des tondeuses électriques.
- Trop de rallonges, rétorque un préposé aux espaces verts googliens. Et nous nous prenions les pieds dans les fils électriques quand nous ne les sectionnions pas, par mégarde !
Donc les 200 chèvres sont arrivées sur les terres du MRG. Très vite elles ont déchanté et ont fait grève. Face à l’incompréhensible comportement des animaux les dirigeants de Google ont cherché à connaître les revendications. Mais, pour connaître le langage de ces bestioles, il fallait des interprètes.
On fit appel à la spécialiste des voix chevrotantes. Marie Laforêt fut très contente de reprendre du service et utilisa ses compétences pour traduire les revendications des chèvres paresseuses.
- Elles veulent triple dose de granulés, dit la chanteuse sur le retour. Du moins, c’est ce que j’ai compris !
- Si ce n’est que cela ! On va remédier au problème !
Après maints calculs, il s’avéra que, même avec triple dose, on avait une opération rentable et oh combien écologique !
Cependant, entre-temps, une chèvre dissidente avait fait du zèle en chapardant une tondeuse et en l’utilisant, à bon escient. Elle avait déjà tondu 10 m² quand les grévistes lui sont tombées dessus en vociférant :
- Tu nous gâches la grève, c’est antisyndical ! Arrête cela tout de suite !
La pauvrette dut obtempérer pour ne pas servir de bouc émissaire ! Quand elle sut qu’elle aurait, elle aussi, triple ration elle fit de superbes bons de cabri !
Le travail put reprendre après quelques négociations touchant, en vrac : les RTT caprins, la prime d’assiduité, la possibilité d’allaiter les petits durant les heures de travail, la pause du midi, les 8 semaines de congés payés, la prime de licenciement en cas de délocalisation de Google dans des zones asiatiques où le yack est moins rémunéré que la chèvre …
Après maints calculs, il s’avéra que, même avec triple dose, on avait une opération rentable et oh combien écologique !
Cependant, entre-temps, une chèvre dissidente avait fait du zèle en chapardant une tondeuse et en l’utilisant, à bon escient. Elle avait déjà tondu 10 m² quand les grévistes lui sont tombées dessus en vociférant :
- Tu nous gâches la grève, c’est antisyndical ! Arrête cela tout de suite !
La pauvrette dut obtempérer pour ne pas servir de bouc émissaire ! Quand elle sut qu’elle aurait, elle aussi, triple ration elle fit de superbes bons de cabri !
Le travail put reprendre après quelques négociations touchant, en vrac : les RTT caprins, la prime d’assiduité, la possibilité d’allaiter les petits durant les heures de travail, la pause du midi, les 8 semaines de congés payés, la prime de licenciement en cas de délocalisation de Google dans des zones asiatiques où le yack est moins rémunéré que la chèvre …
Le travail put reprendre ! Mais, foi de Fabiano, une question me hante : est-on sûr que, lorsqu’elles pètent, les chèvres n’émettent pas du méthane, ainsi que le font leurs cousines bovines ?
Car le méthane (CH4) est un gaz à effet de serre ! Donc méfiance !
Il faudrait que les scientifiques se penchent sur la question. Il n’est pas sûr que le MRG ait eu la bonne main en optant pour les caprins et cela pourrait le faire devenir chèvre !
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