«La France n'appartient pas aux casseurs, aux pilleurs, ni aux caillasseurs. La France appartient aux honnêtes gens qui veulent travailler paisiblement», a déclaré le ministre de l'Intérieur lors d'un point-presse à l'Hôtel de Police, après une courte réunion avec des responsables policiers et préfectoraux. J'en ai encore les larmes aux yeux !!
France n'appartient pas aux casseurs,
Aux pilleurs, ni aux caillasseurs.
France appartient aux bonnes gens
Qui travaillent paisiblement !
Quand Brice fait de l’heptasyllabe
Le Préfet reste sous le charme
Et le sergent anti-arabe
Oublie pour quelque instant les armes !
Quand Brice va slamer à Lyon
Malgré les cris et les jurons
De petits sauvageons zélés
J’ai le mouchoir un peu mouillé !
Quand il promet d’indemniser
Le marchand aux vitres cassées
Les propriétaires malheureux
De véhicules tout en feu
Il y met tellement de cœur
Que les menaces de sanctions
Trempent en de doucereuses aigreurs
Qui atténuent la répression.
Quand Brice en lyrique discours
Fustige l’acné délinquante
Tout en promettant le retour
A l’autorité bien pensante
Je ne puis que trembler d’émoi
Devant la volubilité
Des vers qui tissent le pourvoi
En regain de sévérité !
Quand Brice égrène savamment
Les chiffres de ses fonctionnaires
Un trémolo dans ses accents
On rêve de vie policière !
On se projette en doux secret
Dans la peau tendre d’un poulet
Flash ball en main, lacrymogène
Voire, soyons fous, une gégène !!
Quand Brice en capitale des Gaules
Se vêt des frusques de De Gaulle
Pour clamer « Je vous ai compris ! »
J’ai de l’émotion ressentie !
C’est si beau, si rare l’éloquence
En ce décor de violence
Sans visée de démagogie
Il fallait que cela fût dit !!
Aux pilleurs, ni aux caillasseurs.
France appartient aux bonnes gens
Qui travaillent paisiblement !
Quand Brice fait de l’heptasyllabe
Le Préfet reste sous le charme
Et le sergent anti-arabe
Oublie pour quelque instant les armes !
Quand Brice va slamer à Lyon
Malgré les cris et les jurons
De petits sauvageons zélés
J’ai le mouchoir un peu mouillé !
Quand il promet d’indemniser
Le marchand aux vitres cassées
Les propriétaires malheureux
De véhicules tout en feu
Il y met tellement de cœur
Que les menaces de sanctions
Trempent en de doucereuses aigreurs
Qui atténuent la répression.
Quand Brice en lyrique discours
Fustige l’acné délinquante
Tout en promettant le retour
A l’autorité bien pensante
Je ne puis que trembler d’émoi
Devant la volubilité
Des vers qui tissent le pourvoi
En regain de sévérité !
Quand Brice égrène savamment
Les chiffres de ses fonctionnaires
Un trémolo dans ses accents
On rêve de vie policière !
On se projette en doux secret
Dans la peau tendre d’un poulet
Flash ball en main, lacrymogène
Voire, soyons fous, une gégène !!
Quand Brice en capitale des Gaules
Se vêt des frusques de De Gaulle
Pour clamer « Je vous ai compris ! »
J’ai de l’émotion ressentie !
C’est si beau, si rare l’éloquence
En ce décor de violence
Sans visée de démagogie
Il fallait que cela fût dit !!
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