Double-cliquer sur l'image (si myopie confirmée)
Quand les arts lézardent sans se lézarder ils peuvent parfois se rencontrer.
Ainsi d’une œuvre monumentale d’un peintre de l’époque napoléonienne, le fameux Ingres (qui, par ailleurs, jouait du violon) on peut rebondir sur une sculpture moderne d’un certain Paul Djian pour évoquer une œuvre littéraire de Marcel Aymé (adaptée au cinéma par Jean Boyer avec Bourvil en tout premier rôle).
Tous les ingrédients sont présents pour concocter une recette culturelle majeure !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire