La «reine du disco» américaine Donna Summer est morte jeudi en Floride (sud-est des Etats-Unis) à l’âge de 63 ans des suites d’un cancer.
Dès le début des années 1970, la
chanteuse avait marqué l’histoire du disco avec des hits comme Last Dance ou Hot Stuff. Son premier tube, Love to love you Baby, sorti en
1975, avait été refusé par certaines stations de radio en raison de son style
jugé trop suggestif (bel euphémisme).
Elle avait remporté 5 Grammy awards (récompenses créées en 1958
et qui sont décernées, chaque année aux USA, par la National Academy of
Recording Arts and Sciences pour honorer les meilleurs artistes et techniciens
dans le domaine musical)
- Après avoir connu un tel succès, je
ne savais plus quoi faire. Plus rien n’avait de signification. Je me suis senti
désespérée et déprimée. J’ai commencé à prendre des médicaments»,
raconta, plusieurs années après, la chanteuse.
C’est par la prière qu’elle avait retrouvé goût à la vie,
disait-elle dans cette même interview.
Donna c’était une voix et une rythmique. Les moins de 40 ans ignorent
combien ce cœur brûlant a fait danser toute une génération en réinventant le
disco, en lui insufflant un plaisir quasi orgasmique…
Repose en paix Donna. Ta musique reste dans nos veines…
Love
to love you baby
Quelques
jours dans ma vie
I
feel love for ever
Une
voix dans mon cœur.
Donna
parmi les anges
Sur
son croissant de lune
Mille
sons se mélangent
Echos
sur des lagunes.
Bruissement
de soupirs
Halètements
vocaux
Mélodie
du désir
Notes
en libido
Nous
dansions dans sa voix
Sous
des lumières de sang
Le
plaisir aux abois
Nos
soirées d’étudiants
Déhanchements
torrides
Dans
l’obsédant tempo
Gémissements
languides
Orgasmique
disco
Nous
dansions dans sa voix
D’enivrante
sirène
Indicibles
émois
De
nos fêtes païennes.
Donna
parmi les anges
Me
ravive ces temps
Les
élans qui démangent
Quand
meurt l’adolescent.
Remember
yesterday
Dans
l’eau de ta mémoire
Rayonne
mon passé
D'un soleil vibratoire.
1 commentaire:
Qui a pu oublier le fameux "Hot Stuff" ?
Un vraie légende du disco est disparue.
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