Cliquer sur l'image pour mieux lire l'état d'âme de chacun... |
L'équipe de France vient de se qualifier pour les quarts de finale de l'Euro 2012 (c'est du football) en se faisant étriller (0-2) par une équipe suédoise, déjà condamnée à quitter la compétition !!
Seuls ceux qui suivent ce genre de grand messe peuvent comprendre la subtilité des comptages de points et les incohérences qu'ils génèrent parfois.
Car sur ce qu'on a vu hier soir les Suédois méritaient cent fois plus que nos Bleus de se retrouver au niveau des quarts de finale pour affronter les Espagnols (actuels tenants du titre).
Les hommes de Laurent Blanc ont été, tout simplement, pitoyables ! Et sans un grand Hugo Lloris (le gardien) l'addition eût été plus salée. On pourrait aussi se satisfaire de la combativité de Ribéry si elle ne s'accompagnait pas d'une forte tendance à la jouer "perso".
On a retrouvé l'équipe de France de l'époque Raymond Domenech. Une équipe sans âme, sans appêtit, avec un je ne sais quoi de suffisance !!
L'engueulade dans les vestiaires (qu'on devine) et le recadrage de Lolo seront-ils en mesure de relancer ce onze de pacotille face aux épouvantails espagnols ?
J'ai toute raison d'en douter...
Mais je ne demande qu'à être étonnés !!
D’un
coin de paradis son courroux vocifère
Il
s’en prend à Saint Pierre qui n’en peut rien pourtant- Voyez moi ces nantis, ces footeux fainéants !
Vous parlez d’un hommage à mon œuvre sur Terre !
Thierry
Roland rugit sous ses ailes célestes
Ses
petits protégés déshonorent son âmeIl voit sur le gazon se profiler le drame
Et dans l’esprit des bleus le néant comme la peste.
Les
Bleus de Blanc noyés, sans talent, sans pressing
Piteux
pieds impotents nus de talents magiquesSe cherchant dans le noir de leurs passes tragiques
Ballottés par les flots d’impressionnants Vikings.
La
défense aux abois, le milieu qui cafouille
Une
attaque stérile où végète en éclatLe génie retenu d’un navrant Benzéma
Par le seul Ribéry le maillot blanc se mouille…
La
descente aux enfers, gémonies humiliantes
Sous
les foudres d’Odin regonflées de superbeLes petits coquelets traînaient crampons sur l’herbe
Incapables d’exploits et de verve vaillante.
Quand
Ibrahimovic d’une volée géniale
Crucifia
notre Hugo quelque peu délaisséLa bronca scandinave secoua les travées
Et glaça les pantins d’un effroi sépulcral.
Le
second châtiment dans les filets pantois
Parenthèse
se fit dans l’odyssée dantesquePour ne pas larmoyer on eût trouvés burlesques
Onze pantins guidés sous des fils de guingois.
Raymond
fantomatique habitait chaque geste
Chaque
tacle émoussé d’un défaut de fureurChaque dribble éreinté par le vide d’honneur
Chaque centre engoncé dans les lourdeurs funestes.
Ils
se sont qualifiés sous le sifflet des leurs
Lamentable
trophée qui n’augure qu’ennuiCar si rien ne changeait grande serait la nuit
Face à l’ogre ibérique aux mâchoires de vainqueur.
1 commentaire:
On ne devrait pas les payer, ces nuls.
Enregistrer un commentaire