Agnès Saal était présidente de l’INA (Institut National de l’Audiovisuel) ;
elle ne l’est plus depuis qu’on lui a demandé de faire ses valises !
La raison ? Mme Saal était trop bonne cliente des taxis
parisiens et a dépensé quelque 40.000 € dans ce type de déplacement, dont 6.700 au compteur de son fils ; ceci en
dix mois, dis moi !
Jo le Taxi, un de ses principaux prestataires a avoué : le
taxi c’est sa vie mais, combien dites-vous ? 40.000 € ! Je n’étais
pas seul à la conduire ! Je ne savais pas qu’elle utilisait le blé d’INA,
j’en reste bouche bée, bée !
Fleur Pellerin, Ministre de la Culture (et du culturisme depuis
les Molières) vite mise au courant a tancé Agnès :
-
Taxi heures pour faire tes valises ! Va Saal !
Et oui une Fleur, ayant pris la poudre, envoya Saal paître hier !
On obéit au suzerain quitte à s’avaler rapide une Suze-reine
pour faire passer l’amertume. On quitte l’INA, la tête basse. Qui a bien pu la dénoncer au conseil d’administration ?
Qui a bien pu adresser une lettre anonyme qui a gardé son corps beau et ameuté
la presse et les administrateurs ? Qui ? Qu’a l’INA pour ne plus la
câliner ?
Autant de question qui trottent dans la tête de l’Agnès qu’un
vilain ton tond sans la tante d’un préavis !
-
Dehors Saal, hop, lui lança même un stagiaire de Paris II
qui l’Assas-INA !
Le fait qu’on ait soufflé tant d’argent pour des frais
personnels déconcerte INA ! D’autant
plus que la dame avait un chauffeur personnel :
-
C’est la faute à Martine Aubry et ses 35 heures, se défend
Agnès. Mon chauffeur avait cette quotité d’heures et donc je devais me tourner
vers les taxis tôt le matin, tard le soir et également le week-end ! En
plus je n’ai pas le permis ! Je l’ai raté 10,5 fois (12 selon la police).
Comment pouvais-je faire autrement ?
Des petits malins se sont amusés à calculer qu’avec un tel
budget Agnès Saal aurait passé 1h12mn par jour dans un taxi, sept jours sur
sept sur Paris intra muros. Il faut ajouter 52 mn par jour en proche banlieue,
selon les mêmes considérations, pour la période des 10 mois !
Oui, le taxi, c’était vraiment sa vie à défaut de faire appel au
car INA (ocarina ?) qui n’existe toujours pas au grand dam de Mr Macron !
L’usagère avait-elle conscience de la gabegie ? Il eût fallu former Saal
aux prix des kilomètres...à particules fines !
A présent elle prendra le métro, chute abyssale après l’abus
sale ! Mais sa démission n’est qu’une façade ! Les soucis sots nés de
l’infortune sont charcutés car Saal a mis le bout d’un nez dans une autre
administration qui l’accueillera à bras ouverts ! Je n'imagine pas la petite étoile perdue dans l'univers de pôle emploi, que Saal erre cosmique (que salaire qu'au Smic !)
Les fonctionnaires sont de purs produits recyclables ! C'est ce que des personnages haut placés lui ont signifié ; et Saal s'y fit !
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