Marine Le Pen, de plus en plus confortée
dans ses vêtements de populiste depuis la montée au pouvoir de Donald Trump aux
USA, se lance bel et bien dans la campagne présidentielle avec un slogan :
« au nom du peuple" et un symbole » : une rose bleue.
Il s’agit d’un mélange du célèbre « le
nom de la rose » et du « peuple bleu » qui auraient, selon
certains illuminés, habité la mythique cité de l’Atlantide.
Marine qui penchait déjà pour le bleu a
adopté cette couleur pour en peinturlurer une pauvre rose qui voulait rester…rose,
bien socialiste.
Hélas, le socialisme se meurt ma belle
dame ! Mr Macron est en train de lui préparer un enterrement de première
classe.
Marine veut donc rassembler le peuple de
gauche (les déçus de la rose) et le peuple de droite (couleur bleue oblige) :
c’est tout bête lui a confirmé un conseiller en communication qui voulait
éteindre l’effet sot d’une vieille flamme vacillante rendant les gens marris.
Voilà Marine nantie d’une rose et se
demandant déjà : sas à roses ?
Son vieux père bougon lance, du mieux
que lui permet l’arthrite : ça fait tarte rose !
Florian Philippot , son adjoint,
véritable pote aux roses, se réjouit de ces choix :
- Les rues, les artères seront pavoisées de roses ! L’artère
hausse qu’les roses ! (il en oublie la syntaxe !)
Seule la petite Marion se lamente et
lance :
Tu n’es que maux rose, aussi bleue sois-tu !
La nièce ne porte plus sa tante en odeur
de sainteté. Son absence a brillé lors de l’inauguration du QG de Marine nommé
l’escale ! C’est le seul nom qui
habite Marine ; un cœur laid dit à Marine : seul l’escale y naît (un chœur
l’édita : Marine se laisse câliner ?)
Les squales naviguent effectivement dans
le même bleu mais la petite Marion semble déjà regretter la transformation des
flammes en roses !
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