Tout est comme retranscrit dans la toile "Nuit Etoilée" (1889)
Mais à quoi rêvait Van Gogh
Devant le ciel étoilé
Qui baignait de vagues en vogues
Son esprit déboussolé ?
Mais à quoi rêvait Vincent
Qui imprégnât ses pensées
Sous le noir du firmament
De brillances constellé ?
A quoi pensait Van Gogh, hein
En peignant l’obscurité ?
A son ère d’avant Gauguin
Ou au douloureux après ?
A quoi songeais-tu Vincent
A l’asile de Saint-Rémy
Tout en peignant tes tourments
En sinueux traits de nuit ?
Repensais-tu à Millet
Ta référence en peinture
Ou à Théo, frère aimé
Confident de l’écriture ?
D’Arles rêvais-tu encore
Au sein de la maison jaune
Que des nuits multicolores
Nimbaient de leurs dieux aphones ?
De quoi rêvais-tu Vincent
Sous la gigue du pinceau
Echeveaux tourbillonnants
Dans ce nocturne tableau ?
Pensais-tu à cette mort
Qui déjà se profilait
Ce crépusculaire sort
Que tu allais te jeter ?
Pensais-tu à cette mort
Près de Paris, à Auvers
A qui tu vouerais ton corps
Devant le ciel étoilé
Qui baignait de vagues en vogues
Son esprit déboussolé ?
Mais à quoi rêvait Vincent
Qui imprégnât ses pensées
Sous le noir du firmament
De brillances constellé ?
A quoi pensait Van Gogh, hein
En peignant l’obscurité ?
A son ère d’avant Gauguin
Ou au douloureux après ?
A quoi songeais-tu Vincent
A l’asile de Saint-Rémy
Tout en peignant tes tourments
En sinueux traits de nuit ?
Repensais-tu à Millet
Ta référence en peinture
Ou à Théo, frère aimé
Confident de l’écriture ?
D’Arles rêvais-tu encore
Au sein de la maison jaune
Que des nuits multicolores
Nimbaient de leurs dieux aphones ?
De quoi rêvais-tu Vincent
Sous la gigue du pinceau
Echeveaux tourbillonnants
Dans ce nocturne tableau ?
Pensais-tu à cette mort
Qui déjà se profilait
Ce crépusculaire sort
Que tu allais te jeter ?
Pensais-tu à cette mort
Près de Paris, à Auvers
A qui tu vouerais ton corps
D’une balle de revolver ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire