Chaque année des milliers de chaussettes disparaissent des machines à laver ! Que se passe-t-il réellement ? Les ménages se retrouvent avec des orphelines qui ne trouveront plus l'âme soeur ! Il faudra, tôt ou tard, la mort dans l'âme, se résoudre à jeter à la poubelle la chaussette qui n'a plus sa jumelle !
C'est triste pour la chaussette mais c'est triste aussi (voire scandaleux) pour le ménage (tout comme le célibataire) qui devra racheter de nouvelles paires avant même que les bas d'origine n'aient trouvé leur fin de vie par présence de trous à répétition (coupez-vous régulièrement les ongles !)
Ca n'atteint pas les scandales de l'amiante, mais quand même, quand même, il y a de l'abus !!
Les chaussettes orphelines
Dans un tiroir de commode
Pleure l'absence sibylline
De leur jumelle à la mode.
Mes Kindy "ne se cachent plus"
Disparaissent du tambour
De la machine promue
Fée du logis ! Faux discours !!
C'est un singulier mystère
Que ces éclipses en cadence !
Faudra-t-il créer des paires
Nonobstant les différences ?
Sous l'ourlet du pantalon
Qui pourrait bien deviner
Que pied droit vêt la marron
Et le gauche la bleutée ?
Il n'empêche, quel délit
Chez les vendeurs de bas courts
Qui de mèche se sont mis
Avec marchands de tambours !
Ah nos chères disparues
Clame-t-on chez les modistes
La machine a des vertus
Laver et pondre solistes !!
Sauf à être unijambiste
Le bon client se pliera
A retourner sur les pistes
Qui l'emmènent au rachat !!
Ca fait tourner le commerce
Aussi vite qu'un moteur
D'un lave linge qui berce
Les douces nuits du dormeur…
Les chaussettes orphelines
Dans un sinistre tiroir
Quitteront la naphtaline
Pour un sac à dépotoir !!
Finiront pâles et crétines
Sans connaître le grand soir !!
Dans un tiroir de commode
Pleure l'absence sibylline
De leur jumelle à la mode.
Mes Kindy "ne se cachent plus"
Disparaissent du tambour
De la machine promue
Fée du logis ! Faux discours !!
C'est un singulier mystère
Que ces éclipses en cadence !
Faudra-t-il créer des paires
Nonobstant les différences ?
Sous l'ourlet du pantalon
Qui pourrait bien deviner
Que pied droit vêt la marron
Et le gauche la bleutée ?
Il n'empêche, quel délit
Chez les vendeurs de bas courts
Qui de mèche se sont mis
Avec marchands de tambours !
Ah nos chères disparues
Clame-t-on chez les modistes
La machine a des vertus
Laver et pondre solistes !!
Sauf à être unijambiste
Le bon client se pliera
A retourner sur les pistes
Qui l'emmènent au rachat !!
Ca fait tourner le commerce
Aussi vite qu'un moteur
D'un lave linge qui berce
Les douces nuits du dormeur…
Les chaussettes orphelines
Dans un sinistre tiroir
Quitteront la naphtaline
Pour un sac à dépotoir !!
Finiront pâles et crétines
Sans connaître le grand soir !!
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