CHERCHEZ DANS CE BLOG

lundi 30 décembre 2013

BISOUS DE FIN D’ANNÉE



Jadis, dans certains civilisations, on détestait les roux. Une sorte de racisme anti-roux ! Alors pour peu que vous fussiez juif, noir et roux de cheveux vous étiez pestiféré à vie. Heureusement les temps ont changé et même si parfois d'Ankara à Vannes il arrive qu'on leur inflige des sauts briquets (pour qu'ils s'enflamment encore plus en leur chevelure) les roux l'ôtent, d'un trait d'humour.

Oui les roux comme les rousses paient tant par leur joie de vivre. Vivre avec des miss rousses haussent la joie de vivre vous confirmeront les enfants d'Aphrodite, mon ancienne femme de ménage qui a toujours froid et se vêt de huit châles denses.

Un gars roux a même percé dans la chanson avec les encouragements de sa tante canadienne qui  Ségara à lui gonfler les chevilles. Désormais le roux casse sa voix sans limitation.

Oui du roux, j'ai de Lille, de bons échos. Dans ma bonne vieille ville les roux s'épanouissent. Désormais un roux bébé à Roubaix s'ébat sans bobos !

Oui, tous les hommes naissent libres et égaux entre eux, même roux sots. Plus d'ostracisme ! 

Et si, par malheur, vous aviez quelque animosité à l'encontre des roux écoutez de la musique électronique : elle adoucit les mœurs. Les roux eux mêmes s'en repaissent quand ils sont à cran !

Oui, cette musique rend les roux doux, doux !!

NKM : SE METTRE AU BAS



Nathalie Kosciusko-Morizet (je ne sais pas si je le prononce bien) prend souvent le métro pour se plonger dans le monde de l'underground parisien qui constitue le prochain vivier électoral. Et oui, la jeune femme souhaite remplacer Delanoë à la tête de l'hôtel de ville parisien ! Alors pour gagner les municipales avec un profil de bourgeoise il faut aller au charbon. NKM a consigné toutes ses impressions dans un petit carnet Clairefontaine. Aujourd'hui nous découvrons ses tribulations tout le long de la ligne 1
(Précision : NKM s'exprime à la troisième personne du singulier)

Elle prend la ligne 1 et pour sa défense lance l’argument « il faut bien un début ». Arrivée au pont de Neuilly elle repense au petit Ponte de cette ville, un fils d’émigré hongrois et hongrois tellement tout ce qu’il dit qu’elle en ressent un goût lâche d’amertume.

Mais pas le temps de s’attarder dans les réminiscences amères car voilà déjà les sablons dont Jean fut le principal représentant avec sa voix vouée à Mireille, non pas la Matthieu, à celle de Jean Nos-Huns. Qu’est-ce qu’il chantait déjà ? Ah, j’ai la mémoire qui flanche, se dit Nathalie, je ne me souviens plus très bien.

Un homme la bouscule, il sent la sueur à plein tube (comme dirait Londres, enfin..Albert). Il descend Porte Maillot et le sien porte des fragrances nauséabondes. Nathalie sort de son sac un petit flacon de parfum et s’en remet une rasade sur le cou. Une femme assez typée l’accoste : « Ah Rika ! » Non, répond Nathalie, vous devez faire erreur je suis NKM, quand même, on ne peut me confondre avec une autre ! La femme s’excuse, elle transporte un parfum large en thym et sort à Argentine avec un visage pas pâle eu égard au fard qui n’a rien de breton. Nathalie soupire ! Sa tournée des rames risque d’être un calvaire ! Une grosse escouade descend à Charles de Gaulle à contrecourant d’un régiment qui monte en horde d’incivilité frisant l’invincibilité. Le train souterrain poursuit sa route et voilà Georges V. Tiens, une station qui porte le nom d’un monarque britannique s’étonne Nathalie. Elle n’est pas au bout de ses surprises : la station suivante est en hommage à Roosevelt , le 32ème Président des USA. Mais la rousse svelte n’a pas le temps de cogiter sur l’internationalisation que déjà la station Champs-Elysées apparaît. Un type, aux fausses allures de Jo Dassin y descend en portant à la main des petits pains au chocolat. Il a l’air complètement miro car il cherche un moment son chemin avant que de sortir à droite.

Une vieille dame monte et lui demande un autographe. Nathalie  se sent regonflée dans son estime. Elle s’apprête à poser sa signature sur une photo sortie tout droit du sac de la vieille dame mais le stylo fuit ! Elle tente de le rattraper mais l’encre n’est pas sympathique ! Ce n’est rien dit la vieille dame qui ressort une nouvelle photo et un stylo neuf immatriculé dans les Hauts de Seine. Le temps d’une signature et c’est déjà Concorde en un vol ! En parlant de vol, Nathalie fait gaffe ! On l’a avertie de la présence de pickpockets  alors, régulièrement, elle revérifie son sac ! Ouf, tout concorde, comme la station qui vient de pointer son nez. Sur le quai un violoneux s’escrime pour gagner quelques piécettes  qui auraient échappé à Bernadette Chirac. L’argent ne vient pas et on a l’impression que les usagers pressés se soucient peu qu’on corde...

La rame reprend sa course comme la chenille dans la chanson. Un étudiant discute avec son amie des mésaventures de son dernier stage : que des tuiles. Mais les deux jeunes gens des tuiles rient pour y descendre, justement.  Nathalie les voit poursuivre leur route sur le quai, main dans la main ! Elle se fredonne la chanson de Françoise Hardy « tous les garçons et les filles de mon âge ». Elle est alors apostrophée par un homme bedonnant et qui n’a pas l’air royal ! Il l’insulte en la traitant de Sarkozienne délurée ! La seule façon d’échapper à ce fou  est de descendre : Musée du Louvre !  Mon Dieu, ce type, quel tableau, elle va en porter de la croix par d'épiques assauts ! Elle va reprendre la prochaine rame ! La voilà !

Nathalie monte et se fait déjà bousculer par une cagoule banlieusarde dissimulée sous des écouteurs Iphones. Aîe, faune ! Ça continue ! Elle doit rester debout cette fois ci et c’est fatiguant ! Une boîte à sommeil s’annonce, sa fatigue l’ouvre  et rives au lit douillet se profilent. Elle se voit détendue sur une plage de sable blanc ! Ma parole, elle dort debout ! Réveille-toi  Nathalie ! Tu dois à la tâche atteler.. Ah, là t’as, Chatelet ? Ah oui, c’est cela ; donc logiquement après c’est l’Hôtel de Ville : la cible favorite, le Graal ! Comme le gagner cet hôtel ? Avec quel algorithme ? I need algo, soupire Nathalie. Arrive la station Saint Paul qui devance la Bastille ! En parlant de Bastille elle en prend une à la menthe (allô quoi !) pour se refaire une haleine qu’hélas trac entame ! Voici la gare de Lyon qu’elle préfère à l’art de Guillon, ce fieffé humoriste qu’elle aimerait pendre ! A deux pas d’elle un sexagénaire vient de roter sans la moindre excuse ! Est-ce en lien avec le nouveau point d’arrêt dit de rots ? Cette réflexion l’empoisse : comment les gens peuvent-ils se laisser aller ainsi ! Quelle damnation ! Hé M’dame, Nation, je dois descendre, lance un freluquet boutonneux aux arômes de cannabis ! Il la bouscule et saute sur le quai ! Le temps d’un nouveau tronçon et Nathalie se retrouve  témoin de vingt scènes plus ou moins saines mais qui corrobore l’idée que le métro de Seine assène de dures clichés, bien trop popu à son goût. Voilà le prochain point d’arrêt. C’est Saint Mandé là ? Oui, lui répond un beau noir d’origine sud-africaine qui travaille au black comme docker  pour le compte d’un patron sonné. Le noir d’ébène doit se sauver tôt et n’a pas le temps de luis serrer la main. Elle le voit partir de dos, le back du black et se dit que certains n’ont pas la vie facile. 

Elle n’a guère le temps de s’attendrir. Une armée de blaireaux descend à Béraut,  dans un état bourré et en scandant « Bayrou aux barreaux » ! NKM, la libérale, lit Bérault  en lettres blanches sur fond bleu en se disant qu’elle arrive au bout de sa souffrance ! Et oui, terminus ! On arrive au château de Vincennes et les passagers, tels des moutons  du vert nés, s’égaillent vers les tourelles et le donjon !


Mais demain sera un autre jour ! Nathalie se prépare à affronter la ligne 2.

Prochain épisode : la ligne 2

QUE PAPE AILLE BIEN MUR...


Où est ton Pape, ah ?
Doux est ton Pape, ah !?   (doué ton Pape, ah ?)
Ça y est je l'entends parler,  (L'enrichissement, Jeu lent, t'empare, laid)
Il dit que ça ne va pas !  (pas du tout)
Un sacré Pape, ah !    (c'est pape dire)
Il dit "l'argent a gâché   (bien pie, l' agache est)
Une église qui perd sa foi,   (dévot)
Elle ne peut s'en plaire mais doit   (pour deux mains)
Mûrir comme Pape aoûté ! "

dimanche 29 décembre 2013

JEAN PAUL SARTRE ET L’EXISTENTIALISME DU MANTEAU


L'an prochain on fêtera le 50ème anniversaire du refus de Jean Paul Sartre de recevoir le Prix Nobel de Littérature. Un beau geste d'un être pour soi refusant un honneur terrestre, misérable en soi, pour montrer la grandeur de l’existentialisme qui précède l'essence, sans Plon (l'Editeur) pour le contredire. Et sans Dieu pour lui prêter cette fausse modestie puisque Dieu n'existe pas et que l'homme est condamné à être libre sans le déterminisme du Tout Puissant et de ses Saints (à l'exception de Germain des prêts pour caves).

samedi 28 décembre 2013

DIEUDONNE NE LAISSE PATRIE QU'AUX HAINES ?



Dans une interview accordée au Parisien, le Ministre de l’Intérieur  Manuel Valls explique qu'une nouvelle limite, extrêmement grave, a été franchie !

Mais de quoi parle-t-il ? Un seuil de chômage intolérable ? Un nouveau portique incendié par les bonnets rouges ?  Non, Manuel évoque un franchissement de Dieudonné, l’humoriste sulfureux qui a construit son fonds de commerce sur de grosses blagues antijuives.

Dernièrement le railleur antisémite s’en est pris à Patrick Cohen, le journaliste de France Inter,

Ce journaliste de France Inter est une des cibles favorites du polémiste depuis que M. Cohen a demandé en mars à Frédéric Taddeï, sur le plateau de « C à vous », s'il continuerait à inviter « des personnalités telles que Tariq Ramadan, Dieudonné, Alain Soral, Marc-Edouard Nabe »« des gens que l'on n'entend pas ailleurs et (…) que les autres médias n'ont pas forcément envie d'entendre ».

Alors Dieudonné de lancer lors de son show « Tu vois, lui (parlant de Cohen), si le vent tourne, je ne suis pas sûr qu'il ait le temps de faire sa valise  Moi, tu vois, quand je l'entends parler,  j'me dis, tu vois, les chambres à gaz… Dommage. »

Et de déclencher des rires dans la salle !

On peut rire de toux (grasse ou sèche) mais peut-on rire de la Shoah sans l’adieu donné à mémoire des victimes de l’holocauste ?

Dieudonné aurait voulu être un grand acteur mais,  très vite, aux sirènes de l’antisémitisme céda show. Pourquoi ce dérapage ? Est-il atteint du même syndrome qu’Hitler, ce peintre raté, devenu dictateur ?

On peut rire de tout tant qu’amont se garde des maux  mis dans le défouloir sémantique. A défaut c’est l’aval qui rit ! Et d’un rire sournois, amplifié par une chambre d’écho qui ne maîtrise plus ses effets.

Dieudonné dérape de son rap peu sirupeux et entraîne avec lui quelques cervelles dérangées qui ne connaissent plus les limites intelligentes de l’humour. Il déclenche une mécanique qu’il ne sait plus dompter à l’image de ce professeur allemand, Rainer Wenger, incapable de canaliser les jeunes esprits au cours de son expérience (voir et revoir le film « La vague ») prétendant prouver qu’un régime autocratique ne pouvait plus trouver naissance en son pays.

Car le geste de la vague, signe de ralliement des protégés de Wenger,  n’est pas si éloigné de celui de la quenelle, geste antisystème d’origine mais qui devient incontrôlé par son appellation à la notion de « non-Sion » !

La quenelle c’est un  bras tendu vers le sol, l'autre replié en touchant la main, le coude ou l'épaule (en fonction de la taille de celle-ci). Elle  a été utilisée politiquement: lors des élections européennes de 2009, sur l'affiche de la "liste antisioniste" conduite par Dieudonné.
La quenelle est rouée et la querelle est nouée : l’antisystème devient antisioniste voire antisémite. On peut avec la quenelle embrocher !
Mais comment stopper les poussées de l’antisémitisme tout en respectant la liberté d’expression ?
Comment arrêter Dieudonné sans le transformer en martyr de la censure ?

Ah quand Manuel valse avec les loups !

mardi 24 décembre 2013

JOYEUX NOEL A TOUS


A tous et à toutes un très joyeux Noël !

COFFE PERD SES VERS


Quand on présente à Jean Pierre Coffe raie il dit "qu'offrez..qu'offrez-vous là ? Mais c'est de la merde !"
Car Coffe reconnaît une raie nette d'une raie qui ne l'est pas bien qu'il n'en ait plus une sur le caillou. Il sait qu'un mauvaise raie gâte un repas en dépit d'un goût que les câpres hissent : c'est fini ! La cuisine devient vil art !
Mais quand il s'agit d'élaborer un quatrain c'est une autre histoire.
Il n'a de vers que son costume et ses lunettes qu'il préfère aux lentilles jamais assez cuites à son goût.
On n'est pas doué pour tout !

DVD DE DEVETUS...



Sondé vidé Dédé doit garder le lit !
Mais deux seins dictent la loi !
Alors Dédé, dit vidé, dévie !
Aidé d'un DVD !

lundi 23 décembre 2013

L'HUMOUR D'HOLLANDE CRIF L'AMOUR PROPRE ALGERIEN


C’était le 16 décembre 2013, à quelques jours de Noël, près du Sapin que Flamby venait d’enguirlander car il n’avait pas suffisamment inversé la courbe du chômage. Et Flamby avait les boules…

Alors il s’abreuvait d’une surprenante sangria à base de curaçao mélangé avec de la Smirnoff. Il buvait à la santé d’Emmanuel Valls revenu d’Algérie et, accessoirement, au 243ème anniversaire de la naissance de Beethoven, un compositeur allemand dont lui avait récemment parlé Angela Merkel, au cours d’un langage de sourds. 

Oui Flamby buvait alors qu’il devait embrayer sur un discours pour le 70ème anniversaire du CRIF ! 

Le CRIF c’est le Conseil Représentatif des Israélites de France ! Le CRIF n’a rien avoir avec le FRIC même si en matière d’argent les Juifs n’ont jamais été en reste pour prêter dans bien des cas cher !

Non, le CRIF est une noble institution, issue de la loi de 1901, donc laïque, et qui fédère près de 75 associations ouvertes à différents courants politiques, sociaux ou religieux. Le CRIF, né en 1944, est l’enfant de la Shoah. Il aura, à son début, sauvé des vies humaines, caché des étoiles jaunes menacées par l’aigle nazi. Oui, une noble institution devant laquelle un discours fantaisiste n’aurait eu pas sa place !

Et pourtant… Flamby se présenta devant un parterre d’israéliens équipés ou pas de kippa et on sentit très vite qu’il n’était pas dans son assiette. Le troisième verre de sangria l'achevait  proprement. Il commença par se louer (on ignore à quel taux !) d’avoir amené dans l’enceinte du CRIF sa garde des Sceaux puis, se tournant vers Manuel Valls il lança :

Il va nous quitter pour aller en Algérie ! 

C’était une première bévue car Manuel revenait justement d’Algérie et c’était pour cette raison (oui, il y aussi Beethoven…) que l’apérodinatoire avait eu lieu. 

Le premier flic de France eut tôt fait de recadrer son mentor en lui précisant qu’il revenait du pays de Bouteflika !

Ah, oui, c’est vrai ! Il en revient, reprit confus le Chef de l’Etat, et sain et sauf ! C’est déjà beaucoup !

Deuxième bévue et la plus intense, diplomatiquement parlant ! A l’écoute de Flamby le Ministre des Affaires Etrangères algérien, Ramtane Lamamra, se coupa d’un communiqué immédiat. Il y mit la forme et le fond faisant entendre que Flamby générait une moins-value dans les bonnes relations franco-algériennes et qu’il demandait des excuses.

Pendant ce temps Flamby continuait son discours teinté de craintes : crainte d’un retour de l’antisémitisme, appréhension d’une recrudescence de mauvais humoristes qui imitent Jean Marie Le Pen au nom d'un Dieu donné...

A l’issue de son allocution on lui fit remarquer que son humour avait blessé toute une communauté par-delà la Méditerranée. Sa bourde aurait rouvert des plaies dans le corps douloureux de l’histoire qui unit l’ancienne colonie et son « pacificateur » !

Alors, face à ces réactions d’amour propre, François convint d’apporter des excuses en ce dimanche 22 décembre. Il exprima ses sincères regrets pour l’interprétation qui avait été faite de ses propos et précisa qu’il en ferait directement part au président Bouteflika !

En diplomatie les excuses s’appellent « regrets de voir autrui mal interpréter l’humour » !

C’est dingue ce qu’on leur apprend à l’ENA !!

dimanche 22 décembre 2013

PUB 69


LA MADELON REVISITEE




(Sur l'air de l'Auvergnat de Brassens)

Elle est tatouée de belle façon
La fesse gauche de Madelon
D’un fier tatou du Panama
Avé la cuirasse de combat !

Et sur la droite, dressée au vent
La haie d’un bocage normand
Deux beaux dessins intentionnés
Brossant sa personnalité !

Car Madelon, elle est à tous
Ceux qui lui offrent des bijoux
Elle sait pour eux sauter la haie
D’une pudeur trop maniérée.

 

Toi Madelon au vernis as-
Tu d’autres vies que sous les draps ?
Ton père voudrait te voir, ma belle
Intellectuelle.

 

vendredi 20 décembre 2013

FOOT ET NULS HAPPES

Cliquer pour agrandir

Jadis le football n'existait pas et le ballon rond n'était qu'unique annonce d'un futur avènement qui, dans 70% des cas, risquait de mourir en couche sans avoir le temps de connaître Dieu tant les fonds bas tissent maux ! Par la suite la natalité en bonne hôte alitée sut concrétiser une progéniture que d'aucuns laissèrent à des nurses le temps de se faire une chasse à courre à la gueuze dont zèle allumait le feu des bourgeois ressemblant à des cochons plutôt brèles.

Puis le football est né et avec lui un ballon rond qui a rendu stupides les petits garçons, plus bêtes qu'ânons dans leur illusion sportive. A défaut d'être applaudis pour leurs crampons faisant grand pont, ils se résignèrent à être supporters insupportables prêts à transformer en arsenal de guerre une ferveur initialement fair for ever !

Et oui, un jour le football est né avec ses combats d'égocentriques, ses émissions interminables glosant sur un  inter minable ou sur un gardien de putes qui aime tirer son coup franc avant de se sentir vieux et que le corps n'erre !

Et oui, un jour le football est né et son chant-poing ! De la castagne dans les tribunes et en dehors !

Et le monde n'était pas près de sortir de ce gazon maudit hostile à toute surface de réparation.

mercredi 18 décembre 2013

UNE MESSE QUI PERCE POUR ATHEE ERRANT



Le Royaume-Uni m’épatera toujours ! Non content de conserver dans la naphtaline  une  géronte couronnée il se lance, à présent, dans  une Église « sans messe ni dieu » ! My God !

Et oui, quelque 400 « fidèles » athées  (315 selon Scotland Yard) se réunissent un dimanche par mois dans l’ancienne église chrétienne de Saint-Paul Road ! L’expérience a démarré un 6 janvier 2013 pour fêter les rois et depuis l’édifice religieux ne désemplit pas !

Je n’y rentre qu’à 25 %, avoue John un ancien prêtre anglican, car je suis pour un quart athée ! Mais ça m’intéresse !

Moi, athée tard, j’ai longtemps demeuré grenouille de bénitier, avoue Betty une charmante  jeune femme au visage de poupon, mais à présent j’y adhère !

Puis elle franchit le seuil de l’église dont la porte est flanquée d’une énorme pancarte : ici, prière de ne pas prier !

Mais que vont-ils chercher dans ce haut temps hanté par du athée hâtant ?

Et bien tout sauf des prières mielleuses, des cantiques soporifiques et des évangiles que même les quatre scribouillards qui les ont pondus ne sont pas fichus de se mettre d’accord sur les mêmes histoires !

Oui, ces rassemblements athées virent à la fête musicale, aux lectures de poèmes, aux chants païens qui se damnent à interpréter des œuvres des  Beatles ou de Bonnie Tyler !

Enfin, pour ce qui concerner les 4 garçons dans le vent, il existe suffisamment de chefs d’œuvres pour ne pas tomber sur Let it Be, cette ode à la vierge Marie pour certains exégètes déjantés ! Ainsi soit-il !

Le sermon prend la forme d’une conférence sur l’éducation ou sur le mariage gay. On n'y a pas encore vu Christine Boutin. A la fin de l’office on prend un coup ensemble ! Et l’ivresse c’est l’athée qui l’a ! On se remplit la panse par un bol de grains blancs : nourrissons l’athée au riz !

Etonnamment quelques membres du clergé, bons joueurs, ont accordé leur soutien à ces messes quelque peu singulières !

J’ai senti qu’il y avait Dieu, admet un prêtre neurasthénique mais néanmoins végétalien et venu voir par curiosité, c’est du Dieu mais sans Dieu ! Je crois que je reviendrai !

Et oui car au lieu de messes, vicaires, vit kermesse !

Il prépare déjà une prière commune pour sa prochaine venue ! Enfin, un credo sympathiquement remanié et adapté à ces nouvelles ouailles :

Je ne crois pas en Dieu le Père pas tout puissant

Il n’a pas créé le ciel et la terre mais ce sont ces derniers qui l’ont créé !

A réfléchir il n’est pas certain de pourvoir imposer ce credo qui évoque Dieu ! Oui, mais comment être athée sans parler de Dieu ? Dieu seul le sait !

Le Royaume Uni évolue et il faudra bientôt revoir l’hymne national : si God disparaît que deviendra le God save the Queen ? La disparition de l’un n’impliquera-t-elle pas la disparition de l’autre ?

O my God !!

lundi 16 décembre 2013

KATE BARRY EN SA PUDEUR SUBLIME

C’est avec une grande peine qu’on vient d’apprendre la disparition, ce mercredi 11 décembre, de Kate Barry, la fille de Jane Birkin et du compositeur John Barry.

Un oiseau frêle vient de quitter son nid et ses ailes indigentes n’ont pu le faire voler du 4ème étage d’un immeuble parisien.

Kate vient de se donner la mort au bout d’un long chemin d’antidépresseurs.

Elle aura été la fille d’une séparation précoce : Jane et son père se quittent dès sa naissance. Elle sera élevée par Serge Gainsbourg jusqu’à ses 13 ans puis par Jacques Doillon. Elle aura attendu longtemps avant de connaître son vrai père ! Je peux imaginer le fardeau de questions tabou qu’on peut porter en de telles circonstances.

Kate est une discrète. Elle se réfugie derrière son objectif pour créer des œuvres d’art. La photographie est le reflet de son âme. Ses demi-sœurs, Charlotte et Lou n’ont pas cette retenue, cette pudeur artistique.

Kate nous laisse d’émouvantes photos qui valent bien mieux que les nombreux clichés effectués pour les magazine Vogue ou pour des catalogues de mode !

En 2012 elle publie un album « Dinard, essai d’autobiographie immobilière » où son compagnon, l’écrivain Jean Rolin brodera quelques fils poétiques.

C’est cette œuvre qui me servira de fil également,  pour rendre hommage à cette jolie fleur discrète d’une  sensibilité géniale.
 
 
 
Sur des bancs dépeuplés tournés vers le silence
D’une étendue bleutée riche de solitude
Flotte en spectre secret les yeux de ton absence
Ton regard suspendu dans sa noire plénitude
Sur le chemin de ronde que les rochers côtoient
L’odeur des goémons en ode gainsbourienne
Emplit ta chevelure de doucereux émois
Tandis que l’horizon rend la mer aérienne.
Un escalier rampant en lignes de brisures
Vers le désert secret des abysses pérennes
L’œil se perd en chemin, graniteuse aventure
Jusqu’au tumulte blanc de la vogue aérienne.
Sous les bras effeuillés des géants de la côte
Rugosité du roc en veilleuse marine
Le tortueux serpent où les pas se baisotent
En libérant l’esprit de ses rides mutines.
Pudibonde focale, amoureuse des teintes
La magie de Dinard tendrement caressée
Par la douce pupille d’une femme en étreinte
Plus enlacée d’écumes que de paternité...
 
 

jeudi 12 décembre 2013

THAMSANQA ENTAME SON CAS

Cliquer sur l'image pour agrandir, oh, hé, vous êtes sourd ?


L'interprète en langage des signes recruté pour la cérémonie, mardi à Soweto, en hommage à Nelson Mandela était, selon la population sourde mais non aveugle, un amateur voire même un usurpateur !

L’homme, un certain Thamsanqa Jantjie, 34 ans (un âge insigne), n’aurait en aucune façon traduit fidèlement le discours d’Obama, éloge à Mandela ! Ce paltoquet aurait brassé du vent, utilisé de faux signes ou des signes complètement sortis de son imagination.

Un con signe, a consigné un article d’un journal local !

En fait l’homme s’en est rendu compte et aurait voulu se sauver tôt !
Mais comment faire dans cet enceinte, cette arène toute à la gloire d’un grand ouvrier de l’humanité ?

Alors Thamsanqa Jantjie a continué en souffrant consciemment d’un mal dont il ne connaissait que trop les symptômes : la schizophrénie !

Je savais que j’étais schizophrène, mon double avait prévenu les autorités : je pouvais péter les plombs à tout moment ! En plus, con que je suis, j’avais oublié de me doter de cette petite fiole d’eau de Lourdes ! D’habitude je la porte toujours sur moi et c’est radical : l’exquise eau freine…mes troubles.

Voilà donc l’explication : un signeur  schizophrène ! Et moi qui pensais qu’il avait inventé un nouveau langage des signes zoulou !

A chaque fois qu’il faisait un signe, c’était un signe de légion d’horreur pour tous les sourds et muets du monde entier (mon dentier et sur les dents !).

Et pourtant, il me semble que parfois, du moins à quatre reprises, son langage des signes ne fut pas si éloigné de la sémantique du Premier des Ricains parmi les Ricains.


Mais, bon, je ne suis ni sourd ni muet !

SARKO MENCERAIT ?



Nicolas Sarkozy envisage de créer un nouveau parti. Une piste parmi d'autres, mais une piste sérieuse qu'il a évoquée avec ses proches et quelques ténors de l'UMP. Jean-Pierre Raffarin comme Alain Juppé savent ainsi que Sarkozy y songe, en se rasant le matin dans la douce ambiance d’une mélodie carlabrunisque que viennent parfois interrompre les grognements de Giulia !

mercredi 11 décembre 2013

A CHACUN SON FALCON : SE METTRE A PART T'AIDE !

Cliquer pour agrandir

L’ex et l’actuel Président de la République se sont retrouvés en Afrique du Sud pour la cérémonie d’adieu à Mandela au stade de Soweto.

Ils auraient pu prendre le même faucon, heu, Falcon mais ont joué aux faux cons, heu aux « Faut qu’on » au grand dam des écologistes et des pourfendeurs de la gabegie étatique !

Faut qu’on reste entre UMP, a lancé Nicolas, on doit discuter de la prochaine bataille pour les municipales !

Faut qu’on reste entre socialos, a renchéri François, on doit  deviser sur les prochaines élections européennes !

A l’aéroport, ils ont affiché de grands sourires d’hypocrites avant de pénétrer ensemble dans le stade accompagnés des officiels français comme Laurent Fabius, Robert Hue ou Valérie Trierweiler.

Mais sans Carla Bruni !

Un journaliste m’a dit : bah !!


L'avait quand même l'air déçu !

CENTRAFRIQUE ET COMBAT SOLITAIRE



François Hollande s’est rendu mardi soir à Bangui après avoir assisté à l’hommage rendu à Mandala (stade de Soweto en compagnie de son pote, le petit Nicolas). Il s’est rendu dans ce lieu chaotique, moins d'une semaine après avoir engagé une opération militaire en Centrafrique ! Il s’y est rendu car, déjà, nos troupes déplorent deux victimes. Deux jeunes soldats du 8ème régiment parachutiste de Castres sont tombés sous les balles dans la nuit de lundi à mardi au cours d’une escarmouche avec des assaillants non identifiés dans un quartier proche de l’aéroport de Bangui.

 
Deux morts et combien pour la suite ? L’opération Sangaris se révèle bien plus difficile que celle dénommée Serval et qui continue au Mali. La France se veut gendarme de ses anciennes colonies. Elle conserve sur le terrain des bases militaires mais ses troupes semblent déjà trop ténues pour atteindre les objectifs. Les Français doivent continuer à sécuriser le Mali et les voilà, sous mandat de l’ONU, à faire la police dans des rues de Bangui où l’ennemi peut être autant musulman que chrétien, militaire comme civil tant l’habit peut changer pour tromper la vigilance des intervenants.


L’Europe ne fait rien (un avion britannique en soutien, pour l’instant), tant la volonté d’une armée communautaire se drape de velléités chroniques. L’Europe des 28 se rêve dans les draps d’une helvétisation, une neutralité synonyme de limitation de dépenses militaires.
 

L’Amérique ne bouge plus ! Elle semble fatiguée de ses longues guerres d’intervention (Irak, Afghanistan…) et doit gérer un budget de plus en plus resserré ! Par ailleurs son gaz de schiste abondant ne génère plus d’urgence à l’intervention « économiquement justifiée » pour sécuriser des territoires qui regorgent de pétrole !
 

Alors, oui, il semble que la France ne doive compter que sur elle-même pour épauler une misérable force d’intervention africaine, peu aguerrie et mal dotée !


Elle pourrait être un centre à fric
Mais le chaos la phagocyte
Elle se délite la Centrafrique
Sans convenance et sans limites.

 
La Séléka en sait le coup
D'une manchette dûment hachette
Pour sectionner, couper le cou
Des chrétiens ou de leurs prophètes

 
Les Animistes résistants
En cruels affûteurs lissent lame
Pour écharper les musulmans
Jusque dans leur mosquée ; infâme !

 
Pas un Etat, nation fantôme
Juste une plaie d'humanité
Infectée de vicieux atomes
Démons de religiosité.

 
Pas un Etat, un grand cloaque
Dont les vaisseaux gisent embourbés
Voies ébréchées, villes patraques
Atonie de champs désertés.

 
Quelques soldats d'une Marianne
Aux seins généreux et martiaux
Pour désarmer des sarbacanes
Aux feux superbement létaux.

 
Des contingents de notre France
Projetés dans la guérilla
Où des tueurs font manigance
Pour fausser les lois du combat !

 
Opération sécurisante ?
Comme on peine à l'imaginer
Au cœur des ombres d'épouvante
Dans les ruelles démembrées.

 
Qui contrôler ? Qui est menace ?
Le danger change d'oripeaux
Un  vieux treillis laisse sa place
A des coloris tropicaux…


Une Marianne gendarmette
En sa fragile autorité
Voit voltiger ses épaulettes
Tout de jouvence ensanglantée !

 
Les renforts ne sont pas pléthores
Pour soulager nos militaires
Juste un aval sourdrant d'un corps
Onusien, valétudinaire.

 
L'Europe est loin de son Afrique
Au deuil des colonisations
L'étroit budget rend l'Amérique
Moins enflammée d'interventions.


Moins de marines en mal de guerre
Dès que l'or noir choit d'intérêt
Le gaz de schiste nourrit la Terre
Du vieux Sam, héros fatigué !

 
Un Hexagonal étendard
En solitaire combattant
Tire, engoncé dans son brouillard
Sur une cible aux tons mouvant.
 

Le Mali puis la Centrafrique
Tant de théâtres à déminer
Loin de nous l'apocalyptique
Troisième terre à protéger !!

 
La France est seule en son éthique
La tricolore en bandoulière
Tandis que geignent, squelettiques
Toutes prébendes militaires…

 
Tandis que dort, énigmatique
L'ère d'une Europe solidaire…

dimanche 8 décembre 2013

LE ZAPPING DU SAMEDI 7 DÉCEMBRE, AU SOIR


Cliquer sur l'image pour l'agrandir et voir si, vous aussi, vous n'avez pas d'hallucinations !

MOLINARO EN CE JOUR DES MISS FRANCE


Flora Coquerel est devenue, samedi soir à Dijon, la nouvelle reine de beauté des Français. La jeune femme de 19 ans, étudiante en 2e année de BTS commerce international succède à Marine Lorphelin.

Quelques heures avant, ce 7 décembre 2013, s’éteignait Edouard Molinaro ! A 85 ans, ce géant du cinéma nous quitte, quelques jours après Lautner !

Comme Georges, Edouard nous laisse un héritage cinématographique de belle facture : L’emmerdeur (1973 avec Lino Ventura  face à Jacques Brel), Oscar et Hibernatus (1967 et 1969 avec l’inoubliable De Funès) et surtout La Cage aux folles (1978 avec le tandem Serrault-Tognazzi).

Comme Lautner,  Molinaro savait manier la caméra et s’attacher les dialogues d’un Audiard, parolier en diable. Comme Lautner il aura su s’entourer des meilleurs acteurs de son époque (Blier, Meurisse, Lefebvre, Ventura, Darc, Girardot, Noiret, P Richard…. Comme l’auteur il témoigne d’une époque où le cinéma populaire savait porter haut ses couleurs.


Comme pour l’auteur des « tontons flingueurs » j’ai imaginé un petit scénario à la gloire de Molinaro,  en reprenant les titres de ses œuvres.

Un témoin dans la ville pourra vous le confirmer : Flora Coquerel a de la classe du haut de ses dix neufs ans ! Il en pince pour elle et voudrait jouer les séducteurs ! Mais avec l’acné répulsive il se contente d’enfiler une peau d’espion et scrute de loin la jeune femme qui sort de son école de BTS. Mais aujourd’hui point de Flora !

Flora Coquerel voit, au fur à mesure des votes, que des femmes disparaissent ! Tout à l’heure, dans les coulisses, à gauche en sortant de l’ascenseur, Sylvie Tellier lui a glissé dans l’oreille qu’elle était loin d’une ravissante idiote et qu’elle avait de grandes chances de sortir victorieusement de la cage aux folles !

-         Enfin, folles de gloire, précise Sylvie ! Vous êtes 33 superbes nanas à vous faire les aveux les plus doux ! A rêver de décrocher l’Oscar !
-         J’ai, j’ai un peu peur…Le trac, lance Flora, j’ai l’impression d’être le dos au mur, de rejoindre le gang des otages
-         Otages ?
-         Oui, bon, OK, ce n’est pas le téléphone rose mais on a toutes l’impression d’exciter l’envie, un des sept péchés capitaux…de faire en quelque sorte…l’amour en douce ! On a l’impression de présenter sur scène une fille pour l’été !
-         Enfin ! Quelle drôle d’impression ! Vous ne faites pas la chasse à l’homme et comme disait mon oncle Benjamin : les charmes féminins ne sont pas les ennemis mais la liberté en croupe !
-         Ah, et ça veut dire quoi ? Oui, parce que moi les lettres avec un BTS en commerce ça va pas le faire ? A ce niveau-là mes neurones jouent l’Hibernatus !
-         Ben, je n’ai pas vraiment compris et mon oncle devait me préciser le sens subtil de cet aphorisme quand, par l’ironie du sort, il reçut une balle en plein cœur, au cours d’une chasse, quand passent les faisans !
-         Ah ? C’est vraiment pas de bol et alors… ?

La conversation doit s’interrompre ! Le père Foucault s’impatiente ! Il faut respecter le timing !

-         C’est l’emmerdeur, soupire Flora, l’homme pressé et qui feint de s’intéresser à vous quand il pose des questions ! Mais en vérité c’est « cause toujours…tu m’intéresses ! »

Mais elle se plie à la discipline ! Sois belle et tais-toi si tu veux mériter le Palace ! Elle a de plus en plus le trac ! Hier soir elle n’a rien su avaler et le souper s’est résumé à la mandarine vitaminée !

Les votes se succèdent ! Flora assiste à la mort de Belle, une de ses rivales qu’elle surnommait ainsi ! Sans le savoir les téléspectateurs votent pour elle ! Parfois à coup de polémiques ! Chez les Lupin, père veut voter pour Miss Guadeloupe mais le fils (qui porte le même prénom que le père) ne jure que pour Flora. On assiste à un pugilat Arsène Lupin contre Arsène Lupin et…le téléviseur finit sur le bitume après une belle défenestration des familles. Par contre, chez Dracula Père et fils, c’est l’entente parfaite : on est à sang pour sang pour l’élection de Flora !

Et finalement Flora sera nommée Miss France et couverte de cadeaux, bien au-delà de ses espérances puisque pour 100 briques t’as plus rien !

-         C’est juste le chemin où tu demeures, lui lance Sylvie Tellier, just the way you are ! Sans tricherie et avec la plus belle légitimité, celle du suffrage universel ! Tu peux être fière de toi ! On va parler de toi dans le Figaro, comme dirait Beaumarchais l’insolent !
-         Je t’ai déjà dit, moi, les lettres… J’y comprends fichtre rien !
-         Il faudra t’y mettre, l’inculture c’est dirty slapping !
-         Quoi ?
-         Un sale coup, mais ça c’est de l’anglais !
-         Ah,… complique pas !