Né en 1807, Robert Edward Lee doit s’accommoder d’une famille
virginienne car on ne choisit pas ! Il est fils d’un héros de la guerre
d’indépendance (un des paons danse en sa basse cour) mais lui ne profite guère d’indépendance car une servante, Maya
(prénom dû à ses origines précolombiennes) lui sert de nourrice agréée et ne le
lâche plus d’une semelle. Elle le surveille sans arrêt ce qui étonne la mère
laxiste ! L'abeille rode !
- Qu’a Lee ? Caca, Lee ? Caca Lee ?
-
Qu’a Maya ?
Oui la mère se rit de ses boutons et ne se préoccupe plus de sa
servante trop maternant que de son rejeton.
Le petit est souvent fatigué. La nourrice lui propose une
nourriture sans son. Cette gastronomie sans son aida Lee las.
La mère imaginerait bien son petit Lee maçon car c’est happer
vite un diplôme qui permet l’éloge (maçonnique) et du boulot. Mais Lee lit,
dans une revue, que la carrière militaire désarme par un presse tige qui fait
jaillir la gloire. Oui, il sera soldat !
Il se rend au point Ouest (West Point) d’un pas leste en gardant
son âme de Sudiste qui ne perd pas le Nord. En 1829 il sort second de sa
promotion et le whisky pour fêter tout ça ! Puis il est affecté dans le
corps d’Eugénie (amour de jeunesse) et de génie avec le grade de lieux-tenant car
il campe sur ses positions ! Il fait alors partie des gradés comme sa tignasse
qu’a loupée une jeune coiffeuse en contrat de calife et qui parle arabe.
En 1831, il se marie à Mary Custis, arrière-petite-fille de Martha Custis, épouse de George Washington. Lee mène l’amour où lit mène l’amour : l’hymen !
En 1831, il se marie à Mary Custis, arrière-petite-fille de Martha Custis, épouse de George Washington. Lee mène l’amour où lit mène l’amour : l’hymen !
Mary est jolie. Pourquoi l’ai-je au lit, dit Lee, tout étonné de
cette conquête tant il est vrai que Lee quête femme depuis 10 ans et lâche mise
au premier revers de veste. Sept ans plus tard (sept ans beaux, Lee) eu égard à
ses excellents états de serre-vices, il est promu capitaine. Promotion au grand
dam d’un concurrent qui, par dépit, sent Lee incapable de mettre à flot
raison ! Mais Lee corne les jaloux, peu lui chaut.
Après avoir été employé aux fortifications côtières, qu’au tiers
de son temps, il se distingue lors de la guerre contre le Mexique (1846-1848),
où il trucide de sombres héros avec la santé qu’il a, sans téquila ! Au
cours de cette sauterie martiale il devient l’aide de camp du général Scott,
commandant en chef des troupes fédérales illustrant des faits d’héros défaits
des râles. Comme Lee a des talents de ma sœur (non ceux de mon frère) il masse
Scott ! Oui, Lee masse ! Mais sans aller jusqu’à l’escarre gommer
(l’escargot, mais ??). Soldat dans
lame (blanche) ce disciple de Napoléon (le numéro 1 pas le 3) dit, en bonne
aparté (que Bonaparte hait), qu’il aime l’Aigle entier, celui d’avant Waterloo,
date funeste qui l’ABBA… Lee ne cesse de s’attirer les éloges de ses supérieurs.
-
Quel homme est Lee, lance un Général qui sert mots nés de son
admiration ! Il vaut bien une messe. Même s’il semble en faire fi, l’athée
Lee, très affranchi !
Sa science militaire que mille
itèrent (par mimétisme) fait l’admiration de tous. La paix revenue, il est nommé directeur de
West Point en 1853. De la gloire, en somme, a Lee. Puis on le nomme
lieutenant-colonel du 2e régiment de cavalerie qui ne manque pas de selle et où
tout son être y est. En octobre 1859, alors qu’il est rentré en permission en
Virginie (l’Etat, pas la femme), il commande un détachement d’un air détaché ce
qui ne l’empêche guerre de capturer l’abolitionniste (qui travaille au
noir) John Brown (devenu marron de par
sa capture) à Harper’s Ferry.
En avril 1861, le début de la guerre civile fait ses sessions troublées. Elle provoque chez lui un cas de conscience. Lourds sont les tourments et nul ne s’avance à dire que la guerre grise Lee. Tenu pour le meilleur officier de l’armée américaine, il refuse le commandement des troupes de l’Union que le président Lincoln lui offre sur un plateau calcaire par des craies. Le choix de la Virginie tait un autre qui va, geint en ses abysses. Oui, il choisit son État natal ! Nommé général de brigade dans l’armée du Sud, Lee perd bol ! Sa première campagne dans l’ouest de la Virginie s’avère veine, preuve qu’il n’a pas la science infuse. Alors qu’il vient d’être élevé au rang de général de division, il est rabaissé par les Nordistes qui lui bottent les fesses : c’est caca, Lee pige qu’il est vulnérable et devient la cible de diatribes. Tu as beau faire « fi » on sent chez toi légère honte au « fi » Lee !,
En avril 1861, le début de la guerre civile fait ses sessions troublées. Elle provoque chez lui un cas de conscience. Lourds sont les tourments et nul ne s’avance à dire que la guerre grise Lee. Tenu pour le meilleur officier de l’armée américaine, il refuse le commandement des troupes de l’Union que le président Lincoln lui offre sur un plateau calcaire par des craies. Le choix de la Virginie tait un autre qui va, geint en ses abysses. Oui, il choisit son État natal ! Nommé général de brigade dans l’armée du Sud, Lee perd bol ! Sa première campagne dans l’ouest de la Virginie s’avère veine, preuve qu’il n’a pas la science infuse. Alors qu’il vient d’être élevé au rang de général de division, il est rabaissé par les Nordistes qui lui bottent les fesses : c’est caca, Lee pige qu’il est vulnérable et devient la cible de diatribes. Tu as beau faire « fi » on sent chez toi légère honte au « fi » Lee !,
Le 1er juin 1862, tandis que les
Bleus de l’Union ont envahi la Virginie, Lee prend le commandement, comme en
demande, à la tête de l’armée de Virginie du Nord. Le « renard gris », comme
ses adversaires le surnomment, se montre un rasé rusé arasant les risées !
La vertu de l’assaut Lee cite ! Il harangue de sa voie avec une gorge de
l’art, Lee ! Les soldats suivent ce
Lee-là, en odeur de sainteté.
Le soir, en tripot Lee boit en
ayant l’alibi du travail accompli. Lee, sans scier la discipline, permet à ses
hommes de fêter en mode Bacchus. Requinqués mais pas requins cons, ses soldats déclenchent des séries de
contre-offensives qui sauvent la ville de Richmond ! Cette agglomération,
qui, sans eux, risquait de se prendre une raclette. Lee permet trop pique grise
de tailler à vue la croupière des Bleus, lesquels doivent se replier !
Pendant trois années
consécutives, le général Lee, cœur aux deux vies (civile et militaire) tiendra en échec les armées nordistes lancées
à sa poursuite. Le mythe de l’hallali scella là Lee !
Certains de ses succès, comme la seconde bataille de Bull Run (29-30 août 1861), Fredericksburg (13 décembre 1862) sont considérés comme des chefs-d’œuvre militaires qui font crépiter salves d’hordes, ah Lee !
À deux reprises (oui, Lee coud
sous le harnais) il essaie d’envahir le
Nord, mais pour essuyer des revers avec de vieux draps (les beaux draps de
Lee). A Gettysburg il est manche et se
prend une veste à la suite de plusieurs impairs (1er-3 juillet 1863). En mai
1864, il trouve un adversaire à sa mesure en la personne du général Grant, avec lequel il se livre à un duel de
titans en Virginie, mais juste un petit temps. Lee note tant d’avaries et des
dégâts rit Grant !
Malgré une belle résistance (se
mesurant en hommes), ses forces sont bientôt amoindries et ne crient plus :
ce qu’a fait Lee est joie, en buvant un petit noir !
Lee lit l’innée inévitable dans
un des marcs de ce dernier. Le 9 avril
1865, après une ultime hésitation, Lee signe l’acte de capitulation à
Appomattox Court House (Appomatox hein : ah, pomme à tocsin !)
Alors s’ébranle Lee et doux art…de la guerre ! Oui, elle est un peu téléphonée celle-là !
Alors s’ébranle Lee et doux art…de la guerre ! Oui, elle est un peu téléphonée celle-là !
Rentré à Richmond, il accepte
de collaborer avec les instances fédérales ! Lee mage rit de la
réconciliation ! A vouloir garder rancœur
on serait con, si, Lee !
Ruiné, il accepte le poste de
directeur de Washington College, à Lexington, où il forme du beau linge. Victime
d’une commotion célèbre hâle (tant bis pour lui), il s’éteint le 12 octobre
1870. Le voilà hors Lee, en vol vers ailleurs.
Dans le cercueil on met Lee :
mélo ! Oui mélodrame sous les psaumes et des vers de gris. Ces gris qu’il
aura longtemps guidés, ces gris nés pour garder le cap mais qu’in fine, n’aura
pas su dorer Lee (fit Lee petit ?)
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