Alors qu'il portait des culottes courtes, Luc Besson, abhorrant maints dégâts des gamins de son âge, éleva le niveau en se lançant dans son premier las court métrage (l'amour quête rage et contre paix).
S'inspirant de la série le Saint, il recruta un sosie de Roger Moore, intermittent du spectacle qui cachetonnait pour quelques gueuzes du côté de Villes-pintes. Cet acteur, nommé Léon, accepta et Seine St Denis quitta (scène : seins de Nikita...c'est pour plus tard !)
Le scénario est d'une platitude affligeante eu égard à ce que fera le créateur du Grand Bleu, par la suite.
Un vol a eu lieu dans ce Paris des années 50 qui porte Dauphines et autres 403 sur ses pavés.
Ce vol en coup de vent est visiblement la marque du "Saint" un expert du l'art-saint vitesse grand V.
La police repère très vite le malfrat attablé à une terrasse ! Mais elle arrête un pauvre type à une table voisine. L'objectif du flic étant de faire réagir le Saint car comme il est Saint il ne supportera pas l'erreur judiciaire !
Mais non, le Saint ne bronche pas et laisse le pauvre gars embarqué par la volaille ! Le Saint a menti par omission, en quelque sorte !
C'est révoltant !
Tout ça par ce qu'il a un rendez vous galant avec l'ordonnatrice du grand cambriolage.
Les hommes sont vraiment faibles !
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