L'étau se resserre sur la bande de Gaza. Le blocus instauré par les Israéliens pourrait se transformer en attaque terrestre. Les serres de l'aigle de David se referment furieusement sur ce petit bout de terre où résistent les partisans du Hamas.
Le Hamas amasse quelques rockets ! Quelques rockets contre des chars ultraperfectionnés, contre des soldats hyper-entrainés.
Samedi 27 décembre 2008 : c'est le début de l'opération "plomb durci". L'aviation israélienne lance une attaque massive contre des installations du Hamas à Gaza.
L'étoile d'hébreux gueule contre le croissant de Lune qui brille à Gaza.
C'est peu de dire que les israéliens ont le Hamas en bien pâle estime...
Déjà des victimes civiles palestiniennes sont à déplorer à la suite des bombardements.
Des femmes et des enfants qui tombent.
Le folie des hommes.
Encore et toujours.
Catastrophe.
Horreur.
Mort.
Le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, exhorte les Palestiniens à déclencher une nouvelle intifada (la guerre des pierres) contre Israël et à perpétrer des opérations suicide.
Hamas a crocs à massacrer...
Israël le pressent, oppressant, menaçant.
Alors Israël frappe et rend coup pour coup.
Quand cela finira-t-il ?
Un blog qui suit l'actualité et cherche à y trouver des éléments humoristiques. Un blog aussi poétique quand il le faut... Avec de la gravité.
CHERCHEZ DANS CE BLOG
mardi 30 décembre 2008
dimanche 28 décembre 2008
QUI L'AIDERA LE DRAY DANS DE LAIDS DRAPS ?
Qui l'aidera le Dray dans de laids draps ?
Julien Dray a fait l'objet de perquisitions.
Le socialiste aurait détourné des sommes destinées, au départ, à des associations (SOS Racisme entre autres).
Julien Dray aurait des goûts de riche. Il aurait acheté, jadis, une montre dont le prix flirterait avec les 38.000 €. Les souliers à deux smic de Roland Dumas n'ont plus qu'à aller se rhabiller de simili cuir !
Mais pourquoi en vouloir à Mr Dray ?
Lachez le ce brave homme ! Pour l'instant il doit faire preuve d'une présomption d'innocence.
Tournons les faits au conditionnel :
Le socialiste susnommé vouDRAY régulièrement des objets clinquants (genre montre, gourmette, chaînes mais sans publicité, diamants...) et parvienDRAY à détourner des sommes affectées, à l'origine, à des associations charitatives. Avec ces sommes, il accèDRAY à la satisfaction de ses besoins matérialistes et devienDRAY un adepte de l'hédonisme consumériste à poil dur.
Dans ces conditions on comprenDRAY que Martine Aubry se méfiât d'un individu aussi louche. Aubry briderait DRAY plutôt, plût-il...
Si l'affaire DRAY fuse c'est que, peut-être, quelqu'un cherche à déstabiliser le PS. Qui ?
Les UMP déclinent toute responsabilité :
- J'accuse, lance un député de droite avec un fort accent zolatesque, j'accuse les socialistes d'avoir monté cette affaire en mayonnaise pour en donner la paternité à notre parti !
- C'est la droite qui tire les ficelles, lance un royaliste ségolénien. On veut nous "casser" car on pense que les mouvements lycéens sont par nos mains mus.
- Faux, hurle MAM, j'ai d'autres chats à fouetter avec les risques d'attentat. Voyez le Printemps menacé en hiver ! Il faut que je monte la garde, non, pas la ministre !!
En attendant l'affaire couve ; de mûrs vils prennent plaisir à l'entretenir à coups de rumeurs.
Julien Dray, lui, passe Noël avec sa chienne Line (appelée ainsi car elle chasse les rats le vent dans le dos : Line, au vent, tue rats)
Las, Dray, n'a Line que pour se consoler !!
vendredi 19 décembre 2008
FONTAINE D'ENERGIE
Elle repeint les plafonds du ciel
Nous gratifie d’un goût de miel
Quand d’une vie qu’on assouvit
S’éveille étonnamment l’envie.
Plus loin que l’horizon qui meurt
Elle nous projette au fond du cœur
Des univers à façonner
Sans soupçon de raison garder.
Une infatigable lueur
Dans la monotonie des heures
Pour éclairer dans nos esprits
Des chemins fous à priori.
Elle sait écarter de ses charmes
L’usure des mots qui nous désarme.
Nous apparaît alors la vie
D’images neuves, à l’infini.
Et si parfois on la domine
Par les lois des fourches caudines
Dans notre intime conviction
Elle s’insinue sans rédition.
Electron libre qui réveille
Dans un univers qui sommeille
Elle est la conscience du fou
Qui fera sauter les verrous.
Les doux rêveurs aux yeux poètes
Tracent des plans sur la comète
Et la constellation des mots
Comble la nuit de nos fardeaux.
Le vent oblique vers l’ailleurs
Où chacun se voudra meilleur.
Léger le cœur qui s’émancipe
De tant de pernicieux principes.
Et tel un phare sur l’océan
Elle guidera nos voiliers blancs
Vers des nouvelles Amériques
Terre d’enfance chimérique.
Puisse toujours l’humanité
Libérer ce souffle sacré
Cette fontaine d’énergie
Qu’on nomme ici-bas l’utopie.
12/06/00 11:04
Nous gratifie d’un goût de miel
Quand d’une vie qu’on assouvit
S’éveille étonnamment l’envie.
Plus loin que l’horizon qui meurt
Elle nous projette au fond du cœur
Des univers à façonner
Sans soupçon de raison garder.
Une infatigable lueur
Dans la monotonie des heures
Pour éclairer dans nos esprits
Des chemins fous à priori.
Elle sait écarter de ses charmes
L’usure des mots qui nous désarme.
Nous apparaît alors la vie
D’images neuves, à l’infini.
Et si parfois on la domine
Par les lois des fourches caudines
Dans notre intime conviction
Elle s’insinue sans rédition.
Electron libre qui réveille
Dans un univers qui sommeille
Elle est la conscience du fou
Qui fera sauter les verrous.
Les doux rêveurs aux yeux poètes
Tracent des plans sur la comète
Et la constellation des mots
Comble la nuit de nos fardeaux.
Le vent oblique vers l’ailleurs
Où chacun se voudra meilleur.
Léger le cœur qui s’émancipe
De tant de pernicieux principes.
Et tel un phare sur l’océan
Elle guidera nos voiliers blancs
Vers des nouvelles Amériques
Terre d’enfance chimérique.
Puisse toujours l’humanité
Libérer ce souffle sacré
Cette fontaine d’énergie
Qu’on nomme ici-bas l’utopie.
12/06/00 11:04
jeudi 18 décembre 2008
DIALOGUE...
Les lycéens manifestent contre une réforme qui s'est retirée.
Darcos (Xavier de son prénom), à la demande de Nicolas, a remis dans ses cartons une jolie petite réforme qu'il voulait imposer à la hussarde aux hussards de la République et aux élèves dont ils ont la garde (pas la Ministre ! Vous m'aviez compris !)
- J'ai trop peur de l'exemple hellénique, Xavier, a dit Nicolas
- Elle nique..nique quoi ?
- Non, inculte ! Hellénique est la Grèce, quoi !
- Elle agresse ?
- Non, triple buse ! La Grèce ! Tu n'es pas au courant ? Les jeunes grecs se battent contre les policiers ! Je ne veux pas un tel scénario ici ! Ne jetons pas de la graisse sur le feu ! Retire ta réforme !!
- Mais Nicolas ! C'est TA REFORME ! Tu me l'as souvent dit !!
- Et bien mets la à la réforme ! Je veux passer les fêtes de fin d'année tranquille ! J'ai un discours du nouvel an à préparer moi ! Je veux des doux voeux, du duvet, du divin, dans du divan...
- Oui, bon ça va...Aïe !!!
- Quoi ??
- Je viens de recevoir un oeuf sur le crane !! C'est lui là bas, ce jeune lycéen qui prend les jambes à son cou ! Gardes, saisissez-vous de lui ! A moi ! On m'assassine !!
- Tu es ridicule Xavier ! Ce n'est qu'un oeuf ! Et il n'est même pas pourri ! Enfin, dans ce pays on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs ! Bon, tu viens demain soir à l'Elysée, comme convenu ?
Ah non ! Pardon ! Je me trompe de Xavier ! C'est Bertrand que j'invite !
- Bertrand ?! Mais qu'est ce qu'il a de plus que moi ?
- La sagesse d'avoir accepté un poste ministériel qui ne fait pas de vagues dans la rue. Les syndicats sont amorphes ! On ne parle plus de grève !! J'aime bien Xavier Bertrand ! Avec sa proposition du travail le Dimanche il a foutu la zizanie à l'assemblée. Je me marre !! Copé est tout dégoûté de l'attitude des socialistes ! J'aime bien quand Copé en bave !
Darcos (Xavier de son prénom), à la demande de Nicolas, a remis dans ses cartons une jolie petite réforme qu'il voulait imposer à la hussarde aux hussards de la République et aux élèves dont ils ont la garde (pas la Ministre ! Vous m'aviez compris !)
- J'ai trop peur de l'exemple hellénique, Xavier, a dit Nicolas
- Elle nique..nique quoi ?
- Non, inculte ! Hellénique est la Grèce, quoi !
- Elle agresse ?
- Non, triple buse ! La Grèce ! Tu n'es pas au courant ? Les jeunes grecs se battent contre les policiers ! Je ne veux pas un tel scénario ici ! Ne jetons pas de la graisse sur le feu ! Retire ta réforme !!
- Mais Nicolas ! C'est TA REFORME ! Tu me l'as souvent dit !!
- Et bien mets la à la réforme ! Je veux passer les fêtes de fin d'année tranquille ! J'ai un discours du nouvel an à préparer moi ! Je veux des doux voeux, du duvet, du divin, dans du divan...
- Oui, bon ça va...Aïe !!!
- Quoi ??
- Je viens de recevoir un oeuf sur le crane !! C'est lui là bas, ce jeune lycéen qui prend les jambes à son cou ! Gardes, saisissez-vous de lui ! A moi ! On m'assassine !!
- Tu es ridicule Xavier ! Ce n'est qu'un oeuf ! Et il n'est même pas pourri ! Enfin, dans ce pays on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs ! Bon, tu viens demain soir à l'Elysée, comme convenu ?
Ah non ! Pardon ! Je me trompe de Xavier ! C'est Bertrand que j'invite !
- Bertrand ?! Mais qu'est ce qu'il a de plus que moi ?
- La sagesse d'avoir accepté un poste ministériel qui ne fait pas de vagues dans la rue. Les syndicats sont amorphes ! On ne parle plus de grève !! J'aime bien Xavier Bertrand ! Avec sa proposition du travail le Dimanche il a foutu la zizanie à l'assemblée. Je me marre !! Copé est tout dégoûté de l'attitude des socialistes ! J'aime bien quand Copé en bave !
mardi 16 décembre 2008
DISPARITION D'UN DERRICK : INCIDENCE SUR LE PRIX DU BARIL ??
Horst Tapper est mort !!
Près de Munich !
C'était Derrick
Le vilain sort !
Navarro pleure un ami
Colombo anéanti
Pleure aussi de tout son saoûl :
"Ma femme en était maboul"
Cheveux neige gomminée
Pas l'allure d'un minet !
Grosses glaces devant les yeux
Vitres teintées anti-feux !
Moi ça me faisait zapper
J'ai des excuses, il est vrai
Que retraité ne suis pas !
Dans 30 ans j'y aurai droit :
Derrick, fauteuil au tison !
Mais pour l'instant : cotisons !
SAVATE EN GUERRE
Mais pourquoi Georges Bush à Bagdad revint-il
Avant que de quitter ses fonctions de félon ?
Car bien mal lui en prit, il reçut projectiles
Très bien identifiés, pas cachés, oh que non !
Il reçut les missiles d’un fougueux journaliste
Montazer al-Zaidi, tout drapé de colère
Contre le roi des cons, le croisé sanguinaire
Qui au nom de son Dieu chassait le terroriste.
Il reçut des missiles d’un genre un peu nouveau
La destruction massive n’y était pas de mise !
Des missiles légers qu’on transporte en valise
Mais plus souvent aux pieds sauf s’il fait vraiment chaud !
Chaud peut-être il avait ce fougueux journaliste
Pour avoir délacé les grenades coupables
Et les avoir jetées vers ce chien innommable
En criant « A bas Bush ! Mort à toi le fasciste ! »
Mais de quoi il se mêle ont dit les policiers
Qui ont plaqué au sol l’insolent tirailleur.
On ramasse les armes lancées avec ardeur
Et que Bush en souplesse a très bien esquivées .
Elles n’ont pas explosé ! Et comment, on comprend
Elles ne sont que chaussures, des savates éculées
Une marque inconnue, ce n’est pas du Bexley
Encore moins du Dior, et pas du cuir vraiment !
Elles auraient pu frapper Monsieur Bush aux naseaux
Ou lui crever un œil ! Il trouve ça lâche, oh sûr
Que son vil agresseur profite de l’augure
Pour le violenter, ne trouve pas ça beau !
Mais pour les musulmans les lancers de soulier
Sont actes légaux d’as qui se feront héros
Montazer a bravé la botte du facho
Et c’est en grande pompe qu’on le loue volontiers.
Avant que de quitter ses fonctions de félon ?
Car bien mal lui en prit, il reçut projectiles
Très bien identifiés, pas cachés, oh que non !
Il reçut les missiles d’un fougueux journaliste
Montazer al-Zaidi, tout drapé de colère
Contre le roi des cons, le croisé sanguinaire
Qui au nom de son Dieu chassait le terroriste.
Il reçut des missiles d’un genre un peu nouveau
La destruction massive n’y était pas de mise !
Des missiles légers qu’on transporte en valise
Mais plus souvent aux pieds sauf s’il fait vraiment chaud !
Chaud peut-être il avait ce fougueux journaliste
Pour avoir délacé les grenades coupables
Et les avoir jetées vers ce chien innommable
En criant « A bas Bush ! Mort à toi le fasciste ! »
Mais de quoi il se mêle ont dit les policiers
Qui ont plaqué au sol l’insolent tirailleur.
On ramasse les armes lancées avec ardeur
Et que Bush en souplesse a très bien esquivées .
Elles n’ont pas explosé ! Et comment, on comprend
Elles ne sont que chaussures, des savates éculées
Une marque inconnue, ce n’est pas du Bexley
Encore moins du Dior, et pas du cuir vraiment !
Elles auraient pu frapper Monsieur Bush aux naseaux
Ou lui crever un œil ! Il trouve ça lâche, oh sûr
Que son vil agresseur profite de l’augure
Pour le violenter, ne trouve pas ça beau !
Mais pour les musulmans les lancers de soulier
Sont actes légaux d’as qui se feront héros
Montazer a bravé la botte du facho
Et c’est en grande pompe qu’on le loue volontiers.
dimanche 14 décembre 2008
QUAND LES FEMMES VALENT ET RIENT DE LEUR INFORTUNE
Valérie la Pécresse n’est pas la pécheresse
Quand par sa sainte éthique elle défend ses amies
Rama et Rachida qu’on met en forteresse
Elle se fait l’avocat d’ antimysoginie.
De Rama elle dira : elle combat les valets
Belliqueux. Chacun sait : quand valets rient, paix crisse !
Elle dira d’elle aussi qu’elle tue les préjugés
Combat l’homophobie par des propos propices.
De Rachida elle loue la belle activité
Valorisée, précoce, en prêtresse pénale.
Puis passée sous l’épée crasse d’un tribunal
Frileux à la réforme que la Dati dotait.
C’est au milieu du gué que l’on se sent très seule
A dit la Valérie à l’adresse des belles
Elle apporte soutien à ses femmes fidèles
Au petit Nicolas qui, las, les voit rebelles.
Sera-ce bientôt le sort de la blonde égérie
De dévaler, riper ? Que reste-t-il des femmes
Des Cresson, des Jupettes qui par un sort infâme
Ont connu des revers sous les lustres et lambris ?
Sera-ce bientôt le sort de la blonde ministre
Quand viendront les remous de l’Université ?
J’imagine déjà des vieux jaloux sinistres
Convoiter portefeuille et même se jalouser !
Quand par sa sainte éthique elle défend ses amies
Rama et Rachida qu’on met en forteresse
Elle se fait l’avocat d’ antimysoginie.
De Rama elle dira : elle combat les valets
Belliqueux. Chacun sait : quand valets rient, paix crisse !
Elle dira d’elle aussi qu’elle tue les préjugés
Combat l’homophobie par des propos propices.
De Rachida elle loue la belle activité
Valorisée, précoce, en prêtresse pénale.
Puis passée sous l’épée crasse d’un tribunal
Frileux à la réforme que la Dati dotait.
C’est au milieu du gué que l’on se sent très seule
A dit la Valérie à l’adresse des belles
Elle apporte soutien à ses femmes fidèles
Au petit Nicolas qui, las, les voit rebelles.
Sera-ce bientôt le sort de la blonde égérie
De dévaler, riper ? Que reste-t-il des femmes
Des Cresson, des Jupettes qui par un sort infâme
Ont connu des revers sous les lustres et lambris ?
Sera-ce bientôt le sort de la blonde ministre
Quand viendront les remous de l’Université ?
J’imagine déjà des vieux jaloux sinistres
Convoiter portefeuille et même se jalouser !
jeudi 11 décembre 2008
RAMA RAMASSE LES REMOUS DU MARRI
"Quand on est ministre, c'est pour s'engager et servir, pas pour se servir, se planquer ou refuser de prendre des risques. Il est normal d'assumer. On ne peut pas avoir tous les privilèges et les avantages et ne pas donner. Il faut savoir mener les batailles parce que, ce qui est sûr, c'est que si on n'a pas le courage de mener la bataille, elle est perdue", a exposé le président de la République, cité par un ministre.
Nicolas en veut à Rama Yade qui ne veut pas s’impliquer pour les futures élections européennes !! Il en est marri mais grave ! Il en est ulcéré !
Il n’est pas très gentil le petit Nicolas
Il est pas très gentil en parlant de Rama
C’est à peine voilée l’allusion à la belle
Qui devant le danger d’élection fait la belle.
Rama rama pourtant dans ce combat de fous
Pour sauver droits de l’homme que le monde bafoue.
Et face aux rats massés dans leur camp belliciste
Rama marrie émit râles et mots pacifistes.
Et qui jamais n’accouche n’erre pas plus pour autant.
Elle y va à tâtons, d’Etat en Etat, tant
Qu’elle arrime aux murets des amers dictateurs
Des ramures d’amour et des rimes de cœur.
Rama remet romance à la diplomatie
Elle n’est pas cet énarque sur ses diplômes assis
Qui concocte en secret dans de froids ministères
Des projets de loi qui nous font la mine austère.
Si Rama se ramasse des limaces sans malices
Au sein du Quai d’Orsay : elle n’y peut rien, la Miss !
Elle défend nos couleurs, celles de bien, de l’éthique
Oubliant du coup l’heure des real politiques !
Et si elle doit quitter cet autoritarisme
Qui forge le destin du vibrant sarkozysme
Puisse-t-on la trouver dans des combats d’honneur
Emmaeus, Amnesty ou les restos du cœur !
Ah Rama, fallait-il, qu’eux aussi, ils ramassent
Comme des galériens pour se dire qu’ils ramassent
Par ta faute l’opprobre jeté sur l’UMP.
Tu es leur Antigone ; créons l’autodafé !
Oui, je les vois déjà lancer dans le bûcher
Ce bouquin « Noirs de France » chez Broché publié.
Et toi l’ex hypokhâgne huppée de dépit cogne
Contre ton ancien camp qui t’abaisse et te rogne.
Reviendras-tu au clan de ton mari Zimet ?
Ce Strauss-Kahnien pur jus et de gauche teinté ?
Ce n’est pas le moment, tu sais bien : ils s’étrillent.
Vrai, chez les socialo Droits de l’homme vacillent !!
Nicolas en veut à Rama Yade qui ne veut pas s’impliquer pour les futures élections européennes !! Il en est marri mais grave ! Il en est ulcéré !
Il n’est pas très gentil le petit Nicolas
Il est pas très gentil en parlant de Rama
C’est à peine voilée l’allusion à la belle
Qui devant le danger d’élection fait la belle.
Rama rama pourtant dans ce combat de fous
Pour sauver droits de l’homme que le monde bafoue.
Et face aux rats massés dans leur camp belliciste
Rama marrie émit râles et mots pacifistes.
Et qui jamais n’accouche n’erre pas plus pour autant.
Elle y va à tâtons, d’Etat en Etat, tant
Qu’elle arrime aux murets des amers dictateurs
Des ramures d’amour et des rimes de cœur.
Rama remet romance à la diplomatie
Elle n’est pas cet énarque sur ses diplômes assis
Qui concocte en secret dans de froids ministères
Des projets de loi qui nous font la mine austère.
Si Rama se ramasse des limaces sans malices
Au sein du Quai d’Orsay : elle n’y peut rien, la Miss !
Elle défend nos couleurs, celles de bien, de l’éthique
Oubliant du coup l’heure des real politiques !
Et si elle doit quitter cet autoritarisme
Qui forge le destin du vibrant sarkozysme
Puisse-t-on la trouver dans des combats d’honneur
Emmaeus, Amnesty ou les restos du cœur !
Ah Rama, fallait-il, qu’eux aussi, ils ramassent
Comme des galériens pour se dire qu’ils ramassent
Par ta faute l’opprobre jeté sur l’UMP.
Tu es leur Antigone ; créons l’autodafé !
Oui, je les vois déjà lancer dans le bûcher
Ce bouquin « Noirs de France » chez Broché publié.
Et toi l’ex hypokhâgne huppée de dépit cogne
Contre ton ancien camp qui t’abaisse et te rogne.
Reviendras-tu au clan de ton mari Zimet ?
Ce Strauss-Kahnien pur jus et de gauche teinté ?
Ce n’est pas le moment, tu sais bien : ils s’étrillent.
Vrai, chez les socialo Droits de l’homme vacillent !!
mardi 9 décembre 2008
BERTRAND LA QUILLE..PERE TRANQUILLE ?
lundi 8 décembre 2008
COPIONS, COLONS DE CE NOUVEAU MONDE INFORMATIQUE !
Notre univers encyclopédique se réduira bientôt à un immense chantier de "copier-coller".
Le "copier-coller" devient, d'ailleurs, une expression courante qui remplace le terme de "duplicata". Dans le domaine artistique on peut évoquer le phénomène de plagiat.
On met en surbrillance le travail d'autrui à l'aide d'une souris.
Un petit coup de Ctrl+C (Copier) ou un clic sur "copier"
On se dirige vers sa page blanche.
Un petit coup de Ctrl+V (Coller) ou un clic sur "coller"
Et le tour est joué !
Si quelque remord nous assaille, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, un placement subtil d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction de citations entre guillemets.
Démonstration : le paragraphe qui vient d'être élaboré (qui commence par "si" et se termine par "guillemets") peut, à la suite d'un copier-coller et de petites transformations, générer le texte suivant :
Si quelque remord nous assaille inopinément, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû, à savoir : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe judicieusement agencée de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, de derrière les fagots, un placement, on ne peut plus subtil, d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction caractérisée de citations entre guillemets.
Vous voyez, c'est simple !
N'importe qui peut copier, pirater, aspirer, piller.
Fausto copie, le colosse copie, la radio s'copie.
Et qui copie nage...dans le bonheur de piller son voisin.
N'importe qui peut coller : un homme à l'abri colle, Dary colle. Vigneron, vite y colle ! Jamais en vain ! L'imposteur sur son pont d'art colle ! Béatrice Dalle colle (à 37,2°, le matin). Laid colle !
Et qui colle guette la nouvelle occasion de copier l'émail..heu les mail ou les contenus de sites.
Car cela devient une conduite addictive qui menace notre société.
Devra-t-on pénaliser ? Qui y est collé y écope et qui écope y est collé, la main au collet !
Devra-t-on laisser faire ? Le laxisme, en l'occurrence, sera mère de toutes les duplications plus ou moins malhonnêtes mais qui, dans tous les cas, seront symptôme de paresse aiguë.
Quand, là, paraissent, par magie, des mots venus d'un autre que moi ... c'est le début de la fainéantise !
Si loin de toutes ses considérations informatiques et cybernétiques, le berger des Landes n'a qu'un seul souci : que son chien lui commande au doigt et à l'oeil.
- Au pied, Lassie !
- Ouah, ouah, répond le chien fidèle.
Et de se reposer, haletant, à l'ombre des 45 fillette de son maître. Et oui, tu ne te sens bien qu'aux pieds, colley !
Le "copier-coller" devient, d'ailleurs, une expression courante qui remplace le terme de "duplicata". Dans le domaine artistique on peut évoquer le phénomène de plagiat.
On met en surbrillance le travail d'autrui à l'aide d'une souris.
Un petit coup de Ctrl+C (Copier) ou un clic sur "copier"
On se dirige vers sa page blanche.
Un petit coup de Ctrl+V (Coller) ou un clic sur "coller"
Et le tour est joué !
Si quelque remord nous assaille, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, un placement subtil d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction de citations entre guillemets.
Démonstration : le paragraphe qui vient d'être élaboré (qui commence par "si" et se termine par "guillemets") peut, à la suite d'un copier-coller et de petites transformations, générer le texte suivant :
Si quelque remord nous assaille inopinément, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû, à savoir : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe judicieusement agencée de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, de derrière les fagots, un placement, on ne peut plus subtil, d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction caractérisée de citations entre guillemets.
Vous voyez, c'est simple !
N'importe qui peut copier, pirater, aspirer, piller.
Fausto copie, le colosse copie, la radio s'copie.
Et qui copie nage...dans le bonheur de piller son voisin.
N'importe qui peut coller : un homme à l'abri colle, Dary colle. Vigneron, vite y colle ! Jamais en vain ! L'imposteur sur son pont d'art colle ! Béatrice Dalle colle (à 37,2°, le matin). Laid colle !
Et qui colle guette la nouvelle occasion de copier l'émail..heu les mail ou les contenus de sites.
Car cela devient une conduite addictive qui menace notre société.
Devra-t-on pénaliser ? Qui y est collé y écope et qui écope y est collé, la main au collet !
Devra-t-on laisser faire ? Le laxisme, en l'occurrence, sera mère de toutes les duplications plus ou moins malhonnêtes mais qui, dans tous les cas, seront symptôme de paresse aiguë.
Quand, là, paraissent, par magie, des mots venus d'un autre que moi ... c'est le début de la fainéantise !
Si loin de toutes ses considérations informatiques et cybernétiques, le berger des Landes n'a qu'un seul souci : que son chien lui commande au doigt et à l'oeil.
- Au pied, Lassie !
- Ouah, ouah, répond le chien fidèle.
Et de se reposer, haletant, à l'ombre des 45 fillette de son maître. Et oui, tu ne te sens bien qu'aux pieds, colley !
jeudi 4 décembre 2008
LES RESTOS DU COEUR : UNE LUTTE CONTRE UNE MALADIE DE MOINS EN MOINS RARE (LA FAIM)
Tandis que la droite et la gauche se déchirent sur l'opportunité de priver les chaînes publiques de la manne publicitaire, les restos du coeur réouvrent ! Les héritiers de Coluche auront du pain sur la planche mais pas pour tout le monde.
De la mie aux pâtes, les féculents risquent de manquer pour guérir une maladie qui gagne en notre pays : la faim.
Les premiers touchés seront les seniors : la faim mortifie les doyens. Les futurs chômeurs des secteurs en crise (automobile) viendront, eux aussi, quémander la pitance. Un nouveau flux de travailleurs pauvres s'écrasera sur la grève de sablés bretons à la date de péremption douteuse.
Les restos devront tenir ce long marathon hivernal !
L'effroi, le froid, le gel agile, l'asile lésé des loosers...
Une société qui secrète de la misère et des légions invisibles d'impécunieux.
Victor Hugo n'est pas très loin. Son fantôme hante les bas fonds de nos banlieues indigentes.
On retrouve des Gavroche, des Fantine, des Cosette...
Et les Javert refont surface, implacables, péremptoires dans leur propension à condamner puis incarcérer, en dépit d'une surpopulation carcérale qui crie son paroxysme.
Pourvu que l'hiver ne soit pas trop rigoureux !
mercredi 3 décembre 2008
DEBATTONS MAIS DEBOUTONS BOUTIN !!
Et si la mère Boutin boute et bat d’embêtants
Débottés dont l’abus de bière bâtit baston
Et si la mère Boutin requiert un jugement
En voulant l’abattage d’habitants du béton !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin, sans bonté, s’abêtit
A passer sous l’épée la peur paupérisée
Déclenchant des clichés sur clochards sans clocher
Stoppons là, stipulons son stupide aspect, oui !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin s’embête à cent battues
Pour chasser des chaussées des chômeurs amochés
Sans réquisitionner des locaux délaissés
C’est qu’inquisition naît et qu’on doit dire l’abus !
Déboutons, déboutons Boutin !!Déboutons, déboutons Boutin !!
Débottés dont l’abus de bière bâtit baston
Et si la mère Boutin requiert un jugement
En voulant l’abattage d’habitants du béton !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin, sans bonté, s’abêtit
A passer sous l’épée la peur paupérisée
Déclenchant des clichés sur clochards sans clocher
Stoppons là, stipulons son stupide aspect, oui !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin s’embête à cent battues
Pour chasser des chaussées des chômeurs amochés
Sans réquisitionner des locaux délaissés
C’est qu’inquisition naît et qu’on doit dire l’abus !
Déboutons, déboutons Boutin !!Déboutons, déboutons Boutin !!
Inscription à :
Articles (Atom)