Mais pourquoi Georges Bush à Bagdad revint-il
Avant que de quitter ses fonctions de félon ?
Car bien mal lui en prit, il reçut projectiles
Très bien identifiés, pas cachés, oh que non !
Il reçut les missiles d’un fougueux journaliste
Montazer al-Zaidi, tout drapé de colère
Contre le roi des cons, le croisé sanguinaire
Qui au nom de son Dieu chassait le terroriste.
Il reçut des missiles d’un genre un peu nouveau
La destruction massive n’y était pas de mise !
Des missiles légers qu’on transporte en valise
Mais plus souvent aux pieds sauf s’il fait vraiment chaud !
Chaud peut-être il avait ce fougueux journaliste
Pour avoir délacé les grenades coupables
Et les avoir jetées vers ce chien innommable
En criant « A bas Bush ! Mort à toi le fasciste ! »
Mais de quoi il se mêle ont dit les policiers
Qui ont plaqué au sol l’insolent tirailleur.
On ramasse les armes lancées avec ardeur
Et que Bush en souplesse a très bien esquivées .
Elles n’ont pas explosé ! Et comment, on comprend
Elles ne sont que chaussures, des savates éculées
Une marque inconnue, ce n’est pas du Bexley
Encore moins du Dior, et pas du cuir vraiment !
Elles auraient pu frapper Monsieur Bush aux naseaux
Ou lui crever un œil ! Il trouve ça lâche, oh sûr
Que son vil agresseur profite de l’augure
Pour le violenter, ne trouve pas ça beau !
Mais pour les musulmans les lancers de soulier
Sont actes légaux d’as qui se feront héros
Montazer a bravé la botte du facho
Et c’est en grande pompe qu’on le loue volontiers.
Avant que de quitter ses fonctions de félon ?
Car bien mal lui en prit, il reçut projectiles
Très bien identifiés, pas cachés, oh que non !
Il reçut les missiles d’un fougueux journaliste
Montazer al-Zaidi, tout drapé de colère
Contre le roi des cons, le croisé sanguinaire
Qui au nom de son Dieu chassait le terroriste.
Il reçut des missiles d’un genre un peu nouveau
La destruction massive n’y était pas de mise !
Des missiles légers qu’on transporte en valise
Mais plus souvent aux pieds sauf s’il fait vraiment chaud !
Chaud peut-être il avait ce fougueux journaliste
Pour avoir délacé les grenades coupables
Et les avoir jetées vers ce chien innommable
En criant « A bas Bush ! Mort à toi le fasciste ! »
Mais de quoi il se mêle ont dit les policiers
Qui ont plaqué au sol l’insolent tirailleur.
On ramasse les armes lancées avec ardeur
Et que Bush en souplesse a très bien esquivées .
Elles n’ont pas explosé ! Et comment, on comprend
Elles ne sont que chaussures, des savates éculées
Une marque inconnue, ce n’est pas du Bexley
Encore moins du Dior, et pas du cuir vraiment !
Elles auraient pu frapper Monsieur Bush aux naseaux
Ou lui crever un œil ! Il trouve ça lâche, oh sûr
Que son vil agresseur profite de l’augure
Pour le violenter, ne trouve pas ça beau !
Mais pour les musulmans les lancers de soulier
Sont actes légaux d’as qui se feront héros
Montazer a bravé la botte du facho
Et c’est en grande pompe qu’on le loue volontiers.
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