L'étau se resserre sur la bande de Gaza. Le blocus instauré par les Israéliens pourrait se transformer en attaque terrestre. Les serres de l'aigle de David se referment furieusement sur ce petit bout de terre où résistent les partisans du Hamas.
Le Hamas amasse quelques rockets ! Quelques rockets contre des chars ultraperfectionnés, contre des soldats hyper-entrainés.
Samedi 27 décembre 2008 : c'est le début de l'opération "plomb durci". L'aviation israélienne lance une attaque massive contre des installations du Hamas à Gaza.
L'étoile d'hébreux gueule contre le croissant de Lune qui brille à Gaza.
C'est peu de dire que les israéliens ont le Hamas en bien pâle estime...
Déjà des victimes civiles palestiniennes sont à déplorer à la suite des bombardements.
Des femmes et des enfants qui tombent.
Le folie des hommes.
Encore et toujours.
Catastrophe.
Horreur.
Mort.
Le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, exhorte les Palestiniens à déclencher une nouvelle intifada (la guerre des pierres) contre Israël et à perpétrer des opérations suicide.
Hamas a crocs à massacrer...
Israël le pressent, oppressant, menaçant.
Alors Israël frappe et rend coup pour coup.
Quand cela finira-t-il ?
Un blog qui suit l'actualité et cherche à y trouver des éléments humoristiques. Un blog aussi poétique quand il le faut... Avec de la gravité.
CHERCHEZ DANS CE BLOG
mardi 30 décembre 2008
dimanche 28 décembre 2008
QUI L'AIDERA LE DRAY DANS DE LAIDS DRAPS ?
Qui l'aidera le Dray dans de laids draps ?
Julien Dray a fait l'objet de perquisitions.
Le socialiste aurait détourné des sommes destinées, au départ, à des associations (SOS Racisme entre autres).
Julien Dray aurait des goûts de riche. Il aurait acheté, jadis, une montre dont le prix flirterait avec les 38.000 €. Les souliers à deux smic de Roland Dumas n'ont plus qu'à aller se rhabiller de simili cuir !
Mais pourquoi en vouloir à Mr Dray ?
Lachez le ce brave homme ! Pour l'instant il doit faire preuve d'une présomption d'innocence.
Tournons les faits au conditionnel :
Le socialiste susnommé vouDRAY régulièrement des objets clinquants (genre montre, gourmette, chaînes mais sans publicité, diamants...) et parvienDRAY à détourner des sommes affectées, à l'origine, à des associations charitatives. Avec ces sommes, il accèDRAY à la satisfaction de ses besoins matérialistes et devienDRAY un adepte de l'hédonisme consumériste à poil dur.
Dans ces conditions on comprenDRAY que Martine Aubry se méfiât d'un individu aussi louche. Aubry briderait DRAY plutôt, plût-il...
Si l'affaire DRAY fuse c'est que, peut-être, quelqu'un cherche à déstabiliser le PS. Qui ?
Les UMP déclinent toute responsabilité :
- J'accuse, lance un député de droite avec un fort accent zolatesque, j'accuse les socialistes d'avoir monté cette affaire en mayonnaise pour en donner la paternité à notre parti !
- C'est la droite qui tire les ficelles, lance un royaliste ségolénien. On veut nous "casser" car on pense que les mouvements lycéens sont par nos mains mus.
- Faux, hurle MAM, j'ai d'autres chats à fouetter avec les risques d'attentat. Voyez le Printemps menacé en hiver ! Il faut que je monte la garde, non, pas la ministre !!
En attendant l'affaire couve ; de mûrs vils prennent plaisir à l'entretenir à coups de rumeurs.
Julien Dray, lui, passe Noël avec sa chienne Line (appelée ainsi car elle chasse les rats le vent dans le dos : Line, au vent, tue rats)
Las, Dray, n'a Line que pour se consoler !!
vendredi 19 décembre 2008
FONTAINE D'ENERGIE
Elle repeint les plafonds du ciel
Nous gratifie d’un goût de miel
Quand d’une vie qu’on assouvit
S’éveille étonnamment l’envie.
Plus loin que l’horizon qui meurt
Elle nous projette au fond du cœur
Des univers à façonner
Sans soupçon de raison garder.
Une infatigable lueur
Dans la monotonie des heures
Pour éclairer dans nos esprits
Des chemins fous à priori.
Elle sait écarter de ses charmes
L’usure des mots qui nous désarme.
Nous apparaît alors la vie
D’images neuves, à l’infini.
Et si parfois on la domine
Par les lois des fourches caudines
Dans notre intime conviction
Elle s’insinue sans rédition.
Electron libre qui réveille
Dans un univers qui sommeille
Elle est la conscience du fou
Qui fera sauter les verrous.
Les doux rêveurs aux yeux poètes
Tracent des plans sur la comète
Et la constellation des mots
Comble la nuit de nos fardeaux.
Le vent oblique vers l’ailleurs
Où chacun se voudra meilleur.
Léger le cœur qui s’émancipe
De tant de pernicieux principes.
Et tel un phare sur l’océan
Elle guidera nos voiliers blancs
Vers des nouvelles Amériques
Terre d’enfance chimérique.
Puisse toujours l’humanité
Libérer ce souffle sacré
Cette fontaine d’énergie
Qu’on nomme ici-bas l’utopie.
12/06/00 11:04
Nous gratifie d’un goût de miel
Quand d’une vie qu’on assouvit
S’éveille étonnamment l’envie.
Plus loin que l’horizon qui meurt
Elle nous projette au fond du cœur
Des univers à façonner
Sans soupçon de raison garder.
Une infatigable lueur
Dans la monotonie des heures
Pour éclairer dans nos esprits
Des chemins fous à priori.
Elle sait écarter de ses charmes
L’usure des mots qui nous désarme.
Nous apparaît alors la vie
D’images neuves, à l’infini.
Et si parfois on la domine
Par les lois des fourches caudines
Dans notre intime conviction
Elle s’insinue sans rédition.
Electron libre qui réveille
Dans un univers qui sommeille
Elle est la conscience du fou
Qui fera sauter les verrous.
Les doux rêveurs aux yeux poètes
Tracent des plans sur la comète
Et la constellation des mots
Comble la nuit de nos fardeaux.
Le vent oblique vers l’ailleurs
Où chacun se voudra meilleur.
Léger le cœur qui s’émancipe
De tant de pernicieux principes.
Et tel un phare sur l’océan
Elle guidera nos voiliers blancs
Vers des nouvelles Amériques
Terre d’enfance chimérique.
Puisse toujours l’humanité
Libérer ce souffle sacré
Cette fontaine d’énergie
Qu’on nomme ici-bas l’utopie.
12/06/00 11:04
jeudi 18 décembre 2008
DIALOGUE...
Les lycéens manifestent contre une réforme qui s'est retirée.
Darcos (Xavier de son prénom), à la demande de Nicolas, a remis dans ses cartons une jolie petite réforme qu'il voulait imposer à la hussarde aux hussards de la République et aux élèves dont ils ont la garde (pas la Ministre ! Vous m'aviez compris !)
- J'ai trop peur de l'exemple hellénique, Xavier, a dit Nicolas
- Elle nique..nique quoi ?
- Non, inculte ! Hellénique est la Grèce, quoi !
- Elle agresse ?
- Non, triple buse ! La Grèce ! Tu n'es pas au courant ? Les jeunes grecs se battent contre les policiers ! Je ne veux pas un tel scénario ici ! Ne jetons pas de la graisse sur le feu ! Retire ta réforme !!
- Mais Nicolas ! C'est TA REFORME ! Tu me l'as souvent dit !!
- Et bien mets la à la réforme ! Je veux passer les fêtes de fin d'année tranquille ! J'ai un discours du nouvel an à préparer moi ! Je veux des doux voeux, du duvet, du divin, dans du divan...
- Oui, bon ça va...Aïe !!!
- Quoi ??
- Je viens de recevoir un oeuf sur le crane !! C'est lui là bas, ce jeune lycéen qui prend les jambes à son cou ! Gardes, saisissez-vous de lui ! A moi ! On m'assassine !!
- Tu es ridicule Xavier ! Ce n'est qu'un oeuf ! Et il n'est même pas pourri ! Enfin, dans ce pays on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs ! Bon, tu viens demain soir à l'Elysée, comme convenu ?
Ah non ! Pardon ! Je me trompe de Xavier ! C'est Bertrand que j'invite !
- Bertrand ?! Mais qu'est ce qu'il a de plus que moi ?
- La sagesse d'avoir accepté un poste ministériel qui ne fait pas de vagues dans la rue. Les syndicats sont amorphes ! On ne parle plus de grève !! J'aime bien Xavier Bertrand ! Avec sa proposition du travail le Dimanche il a foutu la zizanie à l'assemblée. Je me marre !! Copé est tout dégoûté de l'attitude des socialistes ! J'aime bien quand Copé en bave !
Darcos (Xavier de son prénom), à la demande de Nicolas, a remis dans ses cartons une jolie petite réforme qu'il voulait imposer à la hussarde aux hussards de la République et aux élèves dont ils ont la garde (pas la Ministre ! Vous m'aviez compris !)
- J'ai trop peur de l'exemple hellénique, Xavier, a dit Nicolas
- Elle nique..nique quoi ?
- Non, inculte ! Hellénique est la Grèce, quoi !
- Elle agresse ?
- Non, triple buse ! La Grèce ! Tu n'es pas au courant ? Les jeunes grecs se battent contre les policiers ! Je ne veux pas un tel scénario ici ! Ne jetons pas de la graisse sur le feu ! Retire ta réforme !!
- Mais Nicolas ! C'est TA REFORME ! Tu me l'as souvent dit !!
- Et bien mets la à la réforme ! Je veux passer les fêtes de fin d'année tranquille ! J'ai un discours du nouvel an à préparer moi ! Je veux des doux voeux, du duvet, du divin, dans du divan...
- Oui, bon ça va...Aïe !!!
- Quoi ??
- Je viens de recevoir un oeuf sur le crane !! C'est lui là bas, ce jeune lycéen qui prend les jambes à son cou ! Gardes, saisissez-vous de lui ! A moi ! On m'assassine !!
- Tu es ridicule Xavier ! Ce n'est qu'un oeuf ! Et il n'est même pas pourri ! Enfin, dans ce pays on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs ! Bon, tu viens demain soir à l'Elysée, comme convenu ?
Ah non ! Pardon ! Je me trompe de Xavier ! C'est Bertrand que j'invite !
- Bertrand ?! Mais qu'est ce qu'il a de plus que moi ?
- La sagesse d'avoir accepté un poste ministériel qui ne fait pas de vagues dans la rue. Les syndicats sont amorphes ! On ne parle plus de grève !! J'aime bien Xavier Bertrand ! Avec sa proposition du travail le Dimanche il a foutu la zizanie à l'assemblée. Je me marre !! Copé est tout dégoûté de l'attitude des socialistes ! J'aime bien quand Copé en bave !
mardi 16 décembre 2008
DISPARITION D'UN DERRICK : INCIDENCE SUR LE PRIX DU BARIL ??
Horst Tapper est mort !!
Près de Munich !
C'était Derrick
Le vilain sort !
Navarro pleure un ami
Colombo anéanti
Pleure aussi de tout son saoûl :
"Ma femme en était maboul"
Cheveux neige gomminée
Pas l'allure d'un minet !
Grosses glaces devant les yeux
Vitres teintées anti-feux !
Moi ça me faisait zapper
J'ai des excuses, il est vrai
Que retraité ne suis pas !
Dans 30 ans j'y aurai droit :
Derrick, fauteuil au tison !
Mais pour l'instant : cotisons !
SAVATE EN GUERRE
Mais pourquoi Georges Bush à Bagdad revint-il
Avant que de quitter ses fonctions de félon ?
Car bien mal lui en prit, il reçut projectiles
Très bien identifiés, pas cachés, oh que non !
Il reçut les missiles d’un fougueux journaliste
Montazer al-Zaidi, tout drapé de colère
Contre le roi des cons, le croisé sanguinaire
Qui au nom de son Dieu chassait le terroriste.
Il reçut des missiles d’un genre un peu nouveau
La destruction massive n’y était pas de mise !
Des missiles légers qu’on transporte en valise
Mais plus souvent aux pieds sauf s’il fait vraiment chaud !
Chaud peut-être il avait ce fougueux journaliste
Pour avoir délacé les grenades coupables
Et les avoir jetées vers ce chien innommable
En criant « A bas Bush ! Mort à toi le fasciste ! »
Mais de quoi il se mêle ont dit les policiers
Qui ont plaqué au sol l’insolent tirailleur.
On ramasse les armes lancées avec ardeur
Et que Bush en souplesse a très bien esquivées .
Elles n’ont pas explosé ! Et comment, on comprend
Elles ne sont que chaussures, des savates éculées
Une marque inconnue, ce n’est pas du Bexley
Encore moins du Dior, et pas du cuir vraiment !
Elles auraient pu frapper Monsieur Bush aux naseaux
Ou lui crever un œil ! Il trouve ça lâche, oh sûr
Que son vil agresseur profite de l’augure
Pour le violenter, ne trouve pas ça beau !
Mais pour les musulmans les lancers de soulier
Sont actes légaux d’as qui se feront héros
Montazer a bravé la botte du facho
Et c’est en grande pompe qu’on le loue volontiers.
Avant que de quitter ses fonctions de félon ?
Car bien mal lui en prit, il reçut projectiles
Très bien identifiés, pas cachés, oh que non !
Il reçut les missiles d’un fougueux journaliste
Montazer al-Zaidi, tout drapé de colère
Contre le roi des cons, le croisé sanguinaire
Qui au nom de son Dieu chassait le terroriste.
Il reçut des missiles d’un genre un peu nouveau
La destruction massive n’y était pas de mise !
Des missiles légers qu’on transporte en valise
Mais plus souvent aux pieds sauf s’il fait vraiment chaud !
Chaud peut-être il avait ce fougueux journaliste
Pour avoir délacé les grenades coupables
Et les avoir jetées vers ce chien innommable
En criant « A bas Bush ! Mort à toi le fasciste ! »
Mais de quoi il se mêle ont dit les policiers
Qui ont plaqué au sol l’insolent tirailleur.
On ramasse les armes lancées avec ardeur
Et que Bush en souplesse a très bien esquivées .
Elles n’ont pas explosé ! Et comment, on comprend
Elles ne sont que chaussures, des savates éculées
Une marque inconnue, ce n’est pas du Bexley
Encore moins du Dior, et pas du cuir vraiment !
Elles auraient pu frapper Monsieur Bush aux naseaux
Ou lui crever un œil ! Il trouve ça lâche, oh sûr
Que son vil agresseur profite de l’augure
Pour le violenter, ne trouve pas ça beau !
Mais pour les musulmans les lancers de soulier
Sont actes légaux d’as qui se feront héros
Montazer a bravé la botte du facho
Et c’est en grande pompe qu’on le loue volontiers.
dimanche 14 décembre 2008
QUAND LES FEMMES VALENT ET RIENT DE LEUR INFORTUNE
Valérie la Pécresse n’est pas la pécheresse
Quand par sa sainte éthique elle défend ses amies
Rama et Rachida qu’on met en forteresse
Elle se fait l’avocat d’ antimysoginie.
De Rama elle dira : elle combat les valets
Belliqueux. Chacun sait : quand valets rient, paix crisse !
Elle dira d’elle aussi qu’elle tue les préjugés
Combat l’homophobie par des propos propices.
De Rachida elle loue la belle activité
Valorisée, précoce, en prêtresse pénale.
Puis passée sous l’épée crasse d’un tribunal
Frileux à la réforme que la Dati dotait.
C’est au milieu du gué que l’on se sent très seule
A dit la Valérie à l’adresse des belles
Elle apporte soutien à ses femmes fidèles
Au petit Nicolas qui, las, les voit rebelles.
Sera-ce bientôt le sort de la blonde égérie
De dévaler, riper ? Que reste-t-il des femmes
Des Cresson, des Jupettes qui par un sort infâme
Ont connu des revers sous les lustres et lambris ?
Sera-ce bientôt le sort de la blonde ministre
Quand viendront les remous de l’Université ?
J’imagine déjà des vieux jaloux sinistres
Convoiter portefeuille et même se jalouser !
Quand par sa sainte éthique elle défend ses amies
Rama et Rachida qu’on met en forteresse
Elle se fait l’avocat d’ antimysoginie.
De Rama elle dira : elle combat les valets
Belliqueux. Chacun sait : quand valets rient, paix crisse !
Elle dira d’elle aussi qu’elle tue les préjugés
Combat l’homophobie par des propos propices.
De Rachida elle loue la belle activité
Valorisée, précoce, en prêtresse pénale.
Puis passée sous l’épée crasse d’un tribunal
Frileux à la réforme que la Dati dotait.
C’est au milieu du gué que l’on se sent très seule
A dit la Valérie à l’adresse des belles
Elle apporte soutien à ses femmes fidèles
Au petit Nicolas qui, las, les voit rebelles.
Sera-ce bientôt le sort de la blonde égérie
De dévaler, riper ? Que reste-t-il des femmes
Des Cresson, des Jupettes qui par un sort infâme
Ont connu des revers sous les lustres et lambris ?
Sera-ce bientôt le sort de la blonde ministre
Quand viendront les remous de l’Université ?
J’imagine déjà des vieux jaloux sinistres
Convoiter portefeuille et même se jalouser !
jeudi 11 décembre 2008
RAMA RAMASSE LES REMOUS DU MARRI
"Quand on est ministre, c'est pour s'engager et servir, pas pour se servir, se planquer ou refuser de prendre des risques. Il est normal d'assumer. On ne peut pas avoir tous les privilèges et les avantages et ne pas donner. Il faut savoir mener les batailles parce que, ce qui est sûr, c'est que si on n'a pas le courage de mener la bataille, elle est perdue", a exposé le président de la République, cité par un ministre.
Nicolas en veut à Rama Yade qui ne veut pas s’impliquer pour les futures élections européennes !! Il en est marri mais grave ! Il en est ulcéré !
Il n’est pas très gentil le petit Nicolas
Il est pas très gentil en parlant de Rama
C’est à peine voilée l’allusion à la belle
Qui devant le danger d’élection fait la belle.
Rama rama pourtant dans ce combat de fous
Pour sauver droits de l’homme que le monde bafoue.
Et face aux rats massés dans leur camp belliciste
Rama marrie émit râles et mots pacifistes.
Et qui jamais n’accouche n’erre pas plus pour autant.
Elle y va à tâtons, d’Etat en Etat, tant
Qu’elle arrime aux murets des amers dictateurs
Des ramures d’amour et des rimes de cœur.
Rama remet romance à la diplomatie
Elle n’est pas cet énarque sur ses diplômes assis
Qui concocte en secret dans de froids ministères
Des projets de loi qui nous font la mine austère.
Si Rama se ramasse des limaces sans malices
Au sein du Quai d’Orsay : elle n’y peut rien, la Miss !
Elle défend nos couleurs, celles de bien, de l’éthique
Oubliant du coup l’heure des real politiques !
Et si elle doit quitter cet autoritarisme
Qui forge le destin du vibrant sarkozysme
Puisse-t-on la trouver dans des combats d’honneur
Emmaeus, Amnesty ou les restos du cœur !
Ah Rama, fallait-il, qu’eux aussi, ils ramassent
Comme des galériens pour se dire qu’ils ramassent
Par ta faute l’opprobre jeté sur l’UMP.
Tu es leur Antigone ; créons l’autodafé !
Oui, je les vois déjà lancer dans le bûcher
Ce bouquin « Noirs de France » chez Broché publié.
Et toi l’ex hypokhâgne huppée de dépit cogne
Contre ton ancien camp qui t’abaisse et te rogne.
Reviendras-tu au clan de ton mari Zimet ?
Ce Strauss-Kahnien pur jus et de gauche teinté ?
Ce n’est pas le moment, tu sais bien : ils s’étrillent.
Vrai, chez les socialo Droits de l’homme vacillent !!
Nicolas en veut à Rama Yade qui ne veut pas s’impliquer pour les futures élections européennes !! Il en est marri mais grave ! Il en est ulcéré !
Il n’est pas très gentil le petit Nicolas
Il est pas très gentil en parlant de Rama
C’est à peine voilée l’allusion à la belle
Qui devant le danger d’élection fait la belle.
Rama rama pourtant dans ce combat de fous
Pour sauver droits de l’homme que le monde bafoue.
Et face aux rats massés dans leur camp belliciste
Rama marrie émit râles et mots pacifistes.
Et qui jamais n’accouche n’erre pas plus pour autant.
Elle y va à tâtons, d’Etat en Etat, tant
Qu’elle arrime aux murets des amers dictateurs
Des ramures d’amour et des rimes de cœur.
Rama remet romance à la diplomatie
Elle n’est pas cet énarque sur ses diplômes assis
Qui concocte en secret dans de froids ministères
Des projets de loi qui nous font la mine austère.
Si Rama se ramasse des limaces sans malices
Au sein du Quai d’Orsay : elle n’y peut rien, la Miss !
Elle défend nos couleurs, celles de bien, de l’éthique
Oubliant du coup l’heure des real politiques !
Et si elle doit quitter cet autoritarisme
Qui forge le destin du vibrant sarkozysme
Puisse-t-on la trouver dans des combats d’honneur
Emmaeus, Amnesty ou les restos du cœur !
Ah Rama, fallait-il, qu’eux aussi, ils ramassent
Comme des galériens pour se dire qu’ils ramassent
Par ta faute l’opprobre jeté sur l’UMP.
Tu es leur Antigone ; créons l’autodafé !
Oui, je les vois déjà lancer dans le bûcher
Ce bouquin « Noirs de France » chez Broché publié.
Et toi l’ex hypokhâgne huppée de dépit cogne
Contre ton ancien camp qui t’abaisse et te rogne.
Reviendras-tu au clan de ton mari Zimet ?
Ce Strauss-Kahnien pur jus et de gauche teinté ?
Ce n’est pas le moment, tu sais bien : ils s’étrillent.
Vrai, chez les socialo Droits de l’homme vacillent !!
mardi 9 décembre 2008
BERTRAND LA QUILLE..PERE TRANQUILLE ?
lundi 8 décembre 2008
COPIONS, COLONS DE CE NOUVEAU MONDE INFORMATIQUE !
Notre univers encyclopédique se réduira bientôt à un immense chantier de "copier-coller".
Le "copier-coller" devient, d'ailleurs, une expression courante qui remplace le terme de "duplicata". Dans le domaine artistique on peut évoquer le phénomène de plagiat.
On met en surbrillance le travail d'autrui à l'aide d'une souris.
Un petit coup de Ctrl+C (Copier) ou un clic sur "copier"
On se dirige vers sa page blanche.
Un petit coup de Ctrl+V (Coller) ou un clic sur "coller"
Et le tour est joué !
Si quelque remord nous assaille, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, un placement subtil d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction de citations entre guillemets.
Démonstration : le paragraphe qui vient d'être élaboré (qui commence par "si" et se termine par "guillemets") peut, à la suite d'un copier-coller et de petites transformations, générer le texte suivant :
Si quelque remord nous assaille inopinément, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû, à savoir : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe judicieusement agencée de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, de derrière les fagots, un placement, on ne peut plus subtil, d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction caractérisée de citations entre guillemets.
Vous voyez, c'est simple !
N'importe qui peut copier, pirater, aspirer, piller.
Fausto copie, le colosse copie, la radio s'copie.
Et qui copie nage...dans le bonheur de piller son voisin.
N'importe qui peut coller : un homme à l'abri colle, Dary colle. Vigneron, vite y colle ! Jamais en vain ! L'imposteur sur son pont d'art colle ! Béatrice Dalle colle (à 37,2°, le matin). Laid colle !
Et qui colle guette la nouvelle occasion de copier l'émail..heu les mail ou les contenus de sites.
Car cela devient une conduite addictive qui menace notre société.
Devra-t-on pénaliser ? Qui y est collé y écope et qui écope y est collé, la main au collet !
Devra-t-on laisser faire ? Le laxisme, en l'occurrence, sera mère de toutes les duplications plus ou moins malhonnêtes mais qui, dans tous les cas, seront symptôme de paresse aiguë.
Quand, là, paraissent, par magie, des mots venus d'un autre que moi ... c'est le début de la fainéantise !
Si loin de toutes ses considérations informatiques et cybernétiques, le berger des Landes n'a qu'un seul souci : que son chien lui commande au doigt et à l'oeil.
- Au pied, Lassie !
- Ouah, ouah, répond le chien fidèle.
Et de se reposer, haletant, à l'ombre des 45 fillette de son maître. Et oui, tu ne te sens bien qu'aux pieds, colley !
Le "copier-coller" devient, d'ailleurs, une expression courante qui remplace le terme de "duplicata". Dans le domaine artistique on peut évoquer le phénomène de plagiat.
On met en surbrillance le travail d'autrui à l'aide d'une souris.
Un petit coup de Ctrl+C (Copier) ou un clic sur "copier"
On se dirige vers sa page blanche.
Un petit coup de Ctrl+V (Coller) ou un clic sur "coller"
Et le tour est joué !
Si quelque remord nous assaille, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, un placement subtil d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction de citations entre guillemets.
Démonstration : le paragraphe qui vient d'être élaboré (qui commence par "si" et se termine par "guillemets") peut, à la suite d'un copier-coller et de petites transformations, générer le texte suivant :
Si quelque remord nous assaille inopinément, nous pouvons modifier le texte initial par quelques ajouts de notre crû, à savoir : un petit adjectif par ci par là, un synonyme d'un verbe, une greffe judicieusement agencée de subordonnée relative, un implant d'adverbe de manière, de derrière les fagots, un placement, on ne peut plus subtil, d'un complément circonstanciel de lieu, une adjonction caractérisée de citations entre guillemets.
Vous voyez, c'est simple !
N'importe qui peut copier, pirater, aspirer, piller.
Fausto copie, le colosse copie, la radio s'copie.
Et qui copie nage...dans le bonheur de piller son voisin.
N'importe qui peut coller : un homme à l'abri colle, Dary colle. Vigneron, vite y colle ! Jamais en vain ! L'imposteur sur son pont d'art colle ! Béatrice Dalle colle (à 37,2°, le matin). Laid colle !
Et qui colle guette la nouvelle occasion de copier l'émail..heu les mail ou les contenus de sites.
Car cela devient une conduite addictive qui menace notre société.
Devra-t-on pénaliser ? Qui y est collé y écope et qui écope y est collé, la main au collet !
Devra-t-on laisser faire ? Le laxisme, en l'occurrence, sera mère de toutes les duplications plus ou moins malhonnêtes mais qui, dans tous les cas, seront symptôme de paresse aiguë.
Quand, là, paraissent, par magie, des mots venus d'un autre que moi ... c'est le début de la fainéantise !
Si loin de toutes ses considérations informatiques et cybernétiques, le berger des Landes n'a qu'un seul souci : que son chien lui commande au doigt et à l'oeil.
- Au pied, Lassie !
- Ouah, ouah, répond le chien fidèle.
Et de se reposer, haletant, à l'ombre des 45 fillette de son maître. Et oui, tu ne te sens bien qu'aux pieds, colley !
jeudi 4 décembre 2008
LES RESTOS DU COEUR : UNE LUTTE CONTRE UNE MALADIE DE MOINS EN MOINS RARE (LA FAIM)
Tandis que la droite et la gauche se déchirent sur l'opportunité de priver les chaînes publiques de la manne publicitaire, les restos du coeur réouvrent ! Les héritiers de Coluche auront du pain sur la planche mais pas pour tout le monde.
De la mie aux pâtes, les féculents risquent de manquer pour guérir une maladie qui gagne en notre pays : la faim.
Les premiers touchés seront les seniors : la faim mortifie les doyens. Les futurs chômeurs des secteurs en crise (automobile) viendront, eux aussi, quémander la pitance. Un nouveau flux de travailleurs pauvres s'écrasera sur la grève de sablés bretons à la date de péremption douteuse.
Les restos devront tenir ce long marathon hivernal !
L'effroi, le froid, le gel agile, l'asile lésé des loosers...
Une société qui secrète de la misère et des légions invisibles d'impécunieux.
Victor Hugo n'est pas très loin. Son fantôme hante les bas fonds de nos banlieues indigentes.
On retrouve des Gavroche, des Fantine, des Cosette...
Et les Javert refont surface, implacables, péremptoires dans leur propension à condamner puis incarcérer, en dépit d'une surpopulation carcérale qui crie son paroxysme.
Pourvu que l'hiver ne soit pas trop rigoureux !
mercredi 3 décembre 2008
DEBATTONS MAIS DEBOUTONS BOUTIN !!
Et si la mère Boutin boute et bat d’embêtants
Débottés dont l’abus de bière bâtit baston
Et si la mère Boutin requiert un jugement
En voulant l’abattage d’habitants du béton !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin, sans bonté, s’abêtit
A passer sous l’épée la peur paupérisée
Déclenchant des clichés sur clochards sans clocher
Stoppons là, stipulons son stupide aspect, oui !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin s’embête à cent battues
Pour chasser des chaussées des chômeurs amochés
Sans réquisitionner des locaux délaissés
C’est qu’inquisition naît et qu’on doit dire l’abus !
Déboutons, déboutons Boutin !!Déboutons, déboutons Boutin !!
Débottés dont l’abus de bière bâtit baston
Et si la mère Boutin requiert un jugement
En voulant l’abattage d’habitants du béton !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin, sans bonté, s’abêtit
A passer sous l’épée la peur paupérisée
Déclenchant des clichés sur clochards sans clocher
Stoppons là, stipulons son stupide aspect, oui !
Déboutons, déboutons Boutin !!
Déboutons, déboutons Boutin !!
Et si la mère Boutin s’embête à cent battues
Pour chasser des chaussées des chômeurs amochés
Sans réquisitionner des locaux délaissés
C’est qu’inquisition naît et qu’on doit dire l’abus !
Déboutons, déboutons Boutin !!Déboutons, déboutons Boutin !!
samedi 29 novembre 2008
CHINOISERIE EN ALEXANDRINS
Mais que font les Chinois sur la planète bleue
Ce milliard de fourmis qui sous de lointains cieux
Sont sortis lentement des idées de Mao
Mais conservent en leur âme des idées de coco...
Que font-ils ces chinois, de derrière la muraille ?
Nous copient-ils encore qu’en bien même ils nous raillent ?
Seraient-ils schizophrènes dans la course au progrès ?
Mus par les traditions mais voulant imiter !
Imiter nos chemins d’opulent Occident !
Ne voient-ils pas pourtant les nombreux accidents
Qui grèvent à l’envi notre libéralisme !
N'ont-ils pas d'autre voie que le matérialisme ?
Mais que font les Chinois sur la planète bleue ?
Après les grands J.O. on ne parle que d’eux !
Et pas vraiment en bien : le lait mélaminé
Les bottes allergisantes seraient bien de leur fait !
Et qu’ont-ils à vouloir nous reprocher le goût
Pour la vie tibétaine, qu’on cultive chez nous ?
Voir le Daï Lama est un délit là-bas !
Le silence élancé a esseulé Lhassa !
Mais que font les Chinois sur la planète bleue ?
Ils sont plus d’un milliard mais ne pourront faire mieux
Bridant natalité… pour un couple : un enfant !
Et la prime au garçon, gavé, ventripotent !
Que feront ces Chinois sur la planète bleue
Quand il leur faudra bien chercher femme aux doux yeux ?
Ils ouvriront la porte aux jolies Vietnamiennes
Aux Birmanes, Laotiennes, pourquoi pas Tibétaines !?
Et ils leur apprendront la cuisine aux saveurs
Qui enchante palet par d’infinies douceurs.
Car fi de nos instincts bassement sinophobes
Avouons que leurs mêts ce n’est pas de la daube !
Tiens, chérie, on n’irait pas, ce soir, au chinois ?
Il remonte à deux ans mon canard pékinois !
C’était un bon laqué à la sauce soja !
Toi tu avais mangé poulet aux ananas !
On avait commencé par des nems épatants
Deux ou trois samoussas, des rouleaux du printemps...
Mais j’arrêterai là, ça devient du Delerm…
Et j’en salive trop ! Il me faut mettre un terme !
J’en conclus que Chinois, sur cette planète bleue
Sont, avec les Français, les meilleurs cordons bleus !
Fort légère conclusion ; pas très philosophique !
Mais quand la faim sévit, adieu la rhétorique !
Ce milliard de fourmis qui sous de lointains cieux
Sont sortis lentement des idées de Mao
Mais conservent en leur âme des idées de coco...
Que font-ils ces chinois, de derrière la muraille ?
Nous copient-ils encore qu’en bien même ils nous raillent ?
Seraient-ils schizophrènes dans la course au progrès ?
Mus par les traditions mais voulant imiter !
Imiter nos chemins d’opulent Occident !
Ne voient-ils pas pourtant les nombreux accidents
Qui grèvent à l’envi notre libéralisme !
N'ont-ils pas d'autre voie que le matérialisme ?
Mais que font les Chinois sur la planète bleue ?
Après les grands J.O. on ne parle que d’eux !
Et pas vraiment en bien : le lait mélaminé
Les bottes allergisantes seraient bien de leur fait !
Et qu’ont-ils à vouloir nous reprocher le goût
Pour la vie tibétaine, qu’on cultive chez nous ?
Voir le Daï Lama est un délit là-bas !
Le silence élancé a esseulé Lhassa !
Mais que font les Chinois sur la planète bleue ?
Ils sont plus d’un milliard mais ne pourront faire mieux
Bridant natalité… pour un couple : un enfant !
Et la prime au garçon, gavé, ventripotent !
Que feront ces Chinois sur la planète bleue
Quand il leur faudra bien chercher femme aux doux yeux ?
Ils ouvriront la porte aux jolies Vietnamiennes
Aux Birmanes, Laotiennes, pourquoi pas Tibétaines !?
Et ils leur apprendront la cuisine aux saveurs
Qui enchante palet par d’infinies douceurs.
Car fi de nos instincts bassement sinophobes
Avouons que leurs mêts ce n’est pas de la daube !
Tiens, chérie, on n’irait pas, ce soir, au chinois ?
Il remonte à deux ans mon canard pékinois !
C’était un bon laqué à la sauce soja !
Toi tu avais mangé poulet aux ananas !
On avait commencé par des nems épatants
Deux ou trois samoussas, des rouleaux du printemps...
Mais j’arrêterai là, ça devient du Delerm…
Et j’en salive trop ! Il me faut mettre un terme !
J’en conclus que Chinois, sur cette planète bleue
Sont, avec les Français, les meilleurs cordons bleus !
Fort légère conclusion ; pas très philosophique !
Mais quand la faim sévit, adieu la rhétorique !
vendredi 28 novembre 2008
DES BOMBES A BOMBAY
Des bombes à Bombay
Des tueries, des bons bé
LLigérants du Coran
Et le trépas qui s'tend
Qui s'tend et qui s'étend
De multiples assaillants...
Et l'otage qui a mal
Dans l'hôtel Taj Mahal
Tout n'est que bombe et mort
Force de Bombay mord
Se défend, sort les dents
Face au loup musulman.
A l'Oberoi-Trident
On libère dans le sang
L'hôtel est délivré
Mais pour quel prix payé ?
Douloureux signe indien
La folie des voisins
Par l'ouragan afghan
Attise un feu ardent.
Forcer Al Qaïda
Et son vil caïd à
Renoncer aux terreurs
Prendra des millions d'heures.
Millions d'heures à panser
Les plaies et dépenser
Pour des armées sans cibles :
L'ennemi est invisible !
Des bombes à Bombay
Bons baisers des damnés !
La mort est leur combat
La mort au nom d'Allah !
Des bombes à Bombay
Pour déstabiliser
Le pays de Vichnou
Où le mythe est un doux.
Oh doux Gandhi vois-tu
La folie qui se mue
En tuerie sanguinaire
En phobie planétaire ?
Oh doux Gandhi reviens
Nous montrer le chemin
De la non violence
De la paix, du silence...
Des tueries, des bons bé
LLigérants du Coran
Et le trépas qui s'tend
Qui s'tend et qui s'étend
De multiples assaillants...
Et l'otage qui a mal
Dans l'hôtel Taj Mahal
Tout n'est que bombe et mort
Force de Bombay mord
Se défend, sort les dents
Face au loup musulman.
A l'Oberoi-Trident
On libère dans le sang
L'hôtel est délivré
Mais pour quel prix payé ?
Douloureux signe indien
La folie des voisins
Par l'ouragan afghan
Attise un feu ardent.
Forcer Al Qaïda
Et son vil caïd à
Renoncer aux terreurs
Prendra des millions d'heures.
Millions d'heures à panser
Les plaies et dépenser
Pour des armées sans cibles :
L'ennemi est invisible !
Des bombes à Bombay
Bons baisers des damnés !
La mort est leur combat
La mort au nom d'Allah !
Des bombes à Bombay
Pour déstabiliser
Le pays de Vichnou
Où le mythe est un doux.
Oh doux Gandhi vois-tu
La folie qui se mue
En tuerie sanguinaire
En phobie planétaire ?
Oh doux Gandhi reviens
Nous montrer le chemin
De la non violence
De la paix, du silence...
mercredi 26 novembre 2008
DEUX DAMES : DEUX MYTHES...DEUX DYNAMITES !!
- Alors comme ça c'est Martine qui passe en tête ? On a bien recompté toutes les voix !
- Oui Ségolène ! Ils ont recompté ! Martine a vraiment gagné ! Tu dois t'incliner !
- Pas question, je continue le combat et j'ai la gachette rapide ! A la moindre entourloupe je tire dans le tas ! Je remonte sur la scène du Zénith ! Hé hop, le grand show !
- Attention Ségolène ! Martine est un tueur à gages à la solde des vieux mammouths qui ne veulent rien changer ! Tu peux te prendre une balle dans le dos ! Une balle jospinienne ou strauss-kahn hyène !! Les fauves sont lâchés !
- Je les pendrai court et haut s'il le faut ! Appelle moi le shériff Peillon pour voir ce que dit la loi !
- Peillon est momentanément absent, Ségolène. Il a pris dix jours d'arrêt ! Il ne s'en remet pas ! Son étoile ne brille plus !
- Et bien, appelle son adjoint !
- Il n'est pas là non plus ! Emmanuelle valse !
- Comment ? Il danse dans une situation aussi catastrophique ?
- Non, il danse dans un bar-dansing agréé "Parti Socialiste" et qui se nomme "Tous au Brie" !
- C'est la faim de tout !!
lundi 24 novembre 2008
HERE S'Y SENT VAIN FACE AU R 644-2
L'article R 644-2 du Code Pénal cite :"Le fait d'embarrasser la voie publique en y déposant ou y laissant sans nécessité des matériaux ou objets quelconques qui entravent ou diminuent la liberté ou la sûreté de passage est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe".
C'est donc le fait qui est puni !
Mais comme un fait ne paie pas d'amendes (ça se saurait, quand même !) c'est l'auteur du fait qui paiera.
On lui proposera une amende à lire :
- Voilà Monsieur, lisez cette jolie petite amende de 32.000 euros !
- Pourquoi la lirais-je ?
- Car vous avez laissé des détritus par terre et ils embarassent la voie publique. Ils entravent la liberté de circulation ! Merde, j'ai mis un pied dedans !
- Vous exagérez ! Vous avez mis le pied sur une toile de tente !
- Justement ! Cette tente accule à l'amende !
- M'enfin ! J'ai mis cette tente pour abriter des sans-logis ! Je suis le Don Quichotte des sans-abris !
- Je veux pas le savoir ! Il y a aussi des loques à terre ! Et ça pue !
- Forcément ! Vous avez tout détruit !
Et voilà ! Le Dal (Droit au Logement) s'est vu infliger 12.000 euros d'amende par le tribunal de police pour avoir installé du 3 octobre au 15 décembre 2007 un campement de mal-logés dans le 2e arrondissement de la capitale... près de la Bourse.
Dans cette période où l'or quitte la Bourse (l'orchite, la bourse ?) on comprend encore mieux la misère des plus pauvres. Alors, pourquoi stigmatiser les pauvres hères et les condamner à des amendes ? Qui paiera ?
Le Dal voit rouge car le Dal tonne : il tempête contre la justice Pénale.
Il ne paiera pas ! Il continuera le combat et mettra en avant l'argument suivant : trop de logements vacants qui ne servent à rien ! A qui appartiennent-ils ?
Ils pourraient accueillir tant de gens qui, en attendant, ont froid à la gorge disent les amis "Dal" !
samedi 22 novembre 2008
UNE VICTOIRE TIREE PAR LES CHEVEUX
Le pire est né au Parti Socialiste !
La moutarde monte au nez de Ségolène ! Non pas que la société dijonnaise Amora va fermer (ce qui est déjà, en soi, un motif de sainte colère !) mais voilà : elle se fait coiffer sur le poteau par la Maire de Lille, Martine Aubry, à 42 voix d'écart, pour le poste convoité de secrétaire du Parti !
- Il y a de la fraude dans l'air, clame Ségolène, de la triche ! Ce n'est pas possible ! La victoire m'était acquise !
- Mais c'est faux, rétorque Martine, les militants ont voté en leur âme et conscience ! J'ai simplement bénéficié des coups de pouces de Hamon et Delanoë !
Elles vont se crêper le chignon ces deux là !! Car être battu d'un cheveu et se faire coiffer de si peu c'est dur à avaler !! Les partisans de Martine rient sous cape et cette "cape-hilarité" a le don d'énerver Ségolène qui hurle à sa fausse amie socialiste :
- Crane pas t'es chauve !
C'est vous dire le niveau des débats qui frisent le grotesque !
Hollande ne sait pas quoi faire et s'arrache les quelques cheveux qui lui restent : doit-on faire revoter les militants, c'est débilitant !
A se couper les cheveux en quatre le Parti de la Rose n'avancera pas !
La crise risque d'être permanente ! Ségolène cherche, de toutes évidences, à positionner l'arrêt au milieu : ancrer le PS au centre avec ou sans l'aide de François Bayrou.
Martine, elle, conserve le cap à gauche, avec la bénédiction des vieux mammouths jurassicomédiatiques.
Plus que jamais le PS s'est coiffé d'un dégradé !
La moutarde monte au nez de Ségolène ! Non pas que la société dijonnaise Amora va fermer (ce qui est déjà, en soi, un motif de sainte colère !) mais voilà : elle se fait coiffer sur le poteau par la Maire de Lille, Martine Aubry, à 42 voix d'écart, pour le poste convoité de secrétaire du Parti !
- Il y a de la fraude dans l'air, clame Ségolène, de la triche ! Ce n'est pas possible ! La victoire m'était acquise !
- Mais c'est faux, rétorque Martine, les militants ont voté en leur âme et conscience ! J'ai simplement bénéficié des coups de pouces de Hamon et Delanoë !
Elles vont se crêper le chignon ces deux là !! Car être battu d'un cheveu et se faire coiffer de si peu c'est dur à avaler !! Les partisans de Martine rient sous cape et cette "cape-hilarité" a le don d'énerver Ségolène qui hurle à sa fausse amie socialiste :
- Crane pas t'es chauve !
C'est vous dire le niveau des débats qui frisent le grotesque !
Hollande ne sait pas quoi faire et s'arrache les quelques cheveux qui lui restent : doit-on faire revoter les militants, c'est débilitant !
A se couper les cheveux en quatre le Parti de la Rose n'avancera pas !
La crise risque d'être permanente ! Ségolène cherche, de toutes évidences, à positionner l'arrêt au milieu : ancrer le PS au centre avec ou sans l'aide de François Bayrou.
Martine, elle, conserve le cap à gauche, avec la bénédiction des vieux mammouths jurassicomédiatiques.
Plus que jamais le PS s'est coiffé d'un dégradé !
vendredi 21 novembre 2008
UN DEPUTE UMP FORT ENDIMANCHE
Dans une tribune intitulée "Touche pas à mon dimanche", publiée dans Le Figaro du vendredi 21 novembre , cinquante-cinq députés de la majorité (UMP et Nouveau Centre) s'opposent à la proposition de loi Mallié sur l'extension du travail dominical, laquelle doit être examinée en décembre. Voici l'état d'âme d'un de ces députés (en alexandrins s'il vous plaît !)
Est-ce que le simple fait d'être un bon UMP
Nous oblige à voter sur tout, obtempérer ?
N'en déplaise à Mallié, je ne voterai pas
Le travail le Dimanche ; je resterai chez moi !
Le Dimanche est sacré : c'est la grasse matinée
A défaut de repos je piquerai du nez
Vous me verrez ronfler au discours de Borloo
Ce sera pire que Barre ; c'est vous dire le tableau !
Le Dimanche est sacré : c'est le temps de la pêche
Manger au bord de l'eau, et voir nager les perches !
Flaner dans la forêt loin du palais Bourbon
Des amendements qui nous foutent le bourdon.
A quoi bon travailler le jour dominical ?
Si ce n'est pour qu'argent, qui seul domine, y cale
Un peu plus de profit au détriment de qui
N'a plus que son travail pour sustenter sa vie !
Si trop fort nous ouvrons les vannes mercantiles
Perceront sans efforts les géants inutiles
Ces grands supermarchés qui, déjà, largement
Ruinent les centres villes des petits commerçants !
Je ne voterai pas ! Pas m'allier à Mallié !
Le Dimanche est sacré : que dirait mon curé
S'il ne me voyait plus, à la fin de ma grasse,
Goûter à son office : il ferait la grimace !!
Est-ce que le simple fait d'être un bon UMP
Nous oblige à voter sur tout, obtempérer ?
N'en déplaise à Mallié, je ne voterai pas
Le travail le Dimanche ; je resterai chez moi !
Le Dimanche est sacré : c'est la grasse matinée
A défaut de repos je piquerai du nez
Vous me verrez ronfler au discours de Borloo
Ce sera pire que Barre ; c'est vous dire le tableau !
Le Dimanche est sacré : c'est le temps de la pêche
Manger au bord de l'eau, et voir nager les perches !
Flaner dans la forêt loin du palais Bourbon
Des amendements qui nous foutent le bourdon.
A quoi bon travailler le jour dominical ?
Si ce n'est pour qu'argent, qui seul domine, y cale
Un peu plus de profit au détriment de qui
N'a plus que son travail pour sustenter sa vie !
Si trop fort nous ouvrons les vannes mercantiles
Perceront sans efforts les géants inutiles
Ces grands supermarchés qui, déjà, largement
Ruinent les centres villes des petits commerçants !
Je ne voterai pas ! Pas m'allier à Mallié !
Le Dimanche est sacré : que dirait mon curé
S'il ne me voyait plus, à la fin de ma grasse,
Goûter à son office : il ferait la grimace !!
jeudi 20 novembre 2008
LES PILOTES POURRONT TRAVAILLER JUSQUE 70 ANS
- La retraite à 60 ans nous l'avions ! Alors pourquoi avoir changé pour la fixer à 65 ans et puis maintentant à 70 ans !
- T'as raison, Fifi (le type s'appelle Philippe), mais tu pourras quitter à 70 ans si le coeur t'en dit ! C'est sur la base du volontariat !
- A 70 ans ! Je ne me vois pas encore voler à l'âge de 70 ans ! Imagine que j'ai Alzheimer ! Allô la tour de contrôle, vous pouvez m'aiguiller un peu ? La route vers La Réunion...c'est où déjà ? Ah ! Je fais fausse route ? Je vais tout droit vers le Maroc ? Il faut que je bifurque ? Non ! Non ! Mais tu me vois à 70 ans aux commandes d'un Airbus ?
- Non !
- Ah ! Tu vois hein !
- Non, je veux dire...pas dans un Airbus ! D'ici là les Airbus auront disparu et on parlera d'Airplane. On nous fera piloter des aéronefs hybrides, mi avions-mi planeurs ! Ils fonctionneront avec des panneaux solaires et des piles atomiques à moins que...
- Oui, bon, enfin bref ! Peu importe le zinc ! Moi je ne pilote plus à 70 ans ! C'est non ! D'ailleurs c'est pour cela que j'ai fait grève !
- Et que tout usager s'est senti, par dépit, l'otage !
- Bah, on fait comme les cheminots après tout ! On bloque ! On ne décolle pas vu qu'on ne décolère pas contre ce gouvernement qui met tout au rabais !
- C'est vrai ! On laisse le doute planer sur notre avenir ! Comprenons qu'on fasse grève ! On n'a pas besoin d'ailes mais de zèle !
- Ah propos, tu sais ce qu'est devenu Maurice après son départ à la retraite ?
- Maurice ? Le fou de l'A320 ? Celui qui draguait les hôtesses ?
- Oui !
- Non ! Je ne sais pas !
- Hé bien il a ouvert un bar quelque peu douteux qui s'appelle "le bord d'aile !"
- Ah ? Et tu crois que...?
- Un peu mon neveu ! Il le dit lui même : il s'improvise sur le tard mac !!
- T'as raison, Fifi (le type s'appelle Philippe), mais tu pourras quitter à 70 ans si le coeur t'en dit ! C'est sur la base du volontariat !
- A 70 ans ! Je ne me vois pas encore voler à l'âge de 70 ans ! Imagine que j'ai Alzheimer ! Allô la tour de contrôle, vous pouvez m'aiguiller un peu ? La route vers La Réunion...c'est où déjà ? Ah ! Je fais fausse route ? Je vais tout droit vers le Maroc ? Il faut que je bifurque ? Non ! Non ! Mais tu me vois à 70 ans aux commandes d'un Airbus ?
- Non !
- Ah ! Tu vois hein !
- Non, je veux dire...pas dans un Airbus ! D'ici là les Airbus auront disparu et on parlera d'Airplane. On nous fera piloter des aéronefs hybrides, mi avions-mi planeurs ! Ils fonctionneront avec des panneaux solaires et des piles atomiques à moins que...
- Oui, bon, enfin bref ! Peu importe le zinc ! Moi je ne pilote plus à 70 ans ! C'est non ! D'ailleurs c'est pour cela que j'ai fait grève !
- Et que tout usager s'est senti, par dépit, l'otage !
- Bah, on fait comme les cheminots après tout ! On bloque ! On ne décolle pas vu qu'on ne décolère pas contre ce gouvernement qui met tout au rabais !
- C'est vrai ! On laisse le doute planer sur notre avenir ! Comprenons qu'on fasse grève ! On n'a pas besoin d'ailes mais de zèle !
- Ah propos, tu sais ce qu'est devenu Maurice après son départ à la retraite ?
- Maurice ? Le fou de l'A320 ? Celui qui draguait les hôtesses ?
- Oui !
- Non ! Je ne sais pas !
- Hé bien il a ouvert un bar quelque peu douteux qui s'appelle "le bord d'aile !"
- Ah ? Et tu crois que...?
- Un peu mon neveu ! Il le dit lui même : il s'improvise sur le tard mac !!
jeudi 13 novembre 2008
ROYAL VA DEVOIR TRANCHER
Ca va castagner sec au parti socialiste. La belle Ségolène a sorti du frigo tout un sac de retenues calibrées qui encombraient son appareil à froid. Elle a enlevé du frizzer son ambition qui gelait un maximum !
Des ambitions qui gèlent, breuh, ça jette un froid !
Ségolène ne cache plus son ambition et la promène en laisse !
Elle a du chien et se voit secrétaire du parti !
La ligue anti-royal prépare la riposte !
On creuse les tranchées et on pose les barbelés !
Ca fait peur un socialiste qui se prend pour un poilu !
Ségolène voudrait un bail honnête, juste le temps de diriger le parti pour s'envoler vers la présidentielle.
Elle va mettre les gaz !
Comme elle est canon elle se voit louangée par des bons bardes !
On chante dans son clan ses exploits guerriers !
La guerre se passera à Reims !
Reims : la ville des sacres !
Mais qui sacrer ?
Ils vont plutôt se massacrer !
C'est la guerre !!
- Déboutons ! Déboutons !
- Déboutons Ségolène dans sa quête du pouvoir, clament ses détracteurs !
Le petit Nicolas suit cela de loin, amusé.
Qu'ils s'étripent à la mode de candidats ombrageux !
Peu lui chaut ! Bises naissent auprès de Carla !!
Un instant de bonheur dans un monde de brutes !
mercredi 12 novembre 2008
SOUVENONS NOUS DU TRAVAIL DE MEMOIRE
Pour ne pas oublier ce que commet Maurras
Il faudrait, chaque année, que je commémorasse
Le dur anniversaire d'un tué de Pétain
Le vaillant résistant qui discours de paix tint !
Pour penser aux Lorrains et comme est mort acier
Il faudrait que, souvent, vous commémorassiez
La déclin programmée de la sidérurgie !
Outre Rhin, tout autant : on décide et Rhur gît !
Pour ne pas oublier ce qu'omet mot "ration"
Il faudrait protéger la commémoration
Du décès si cruel du clochard inconnu
Que les restos du coeur ont nourri, mais sans plus !
Pour ne plus effacer du coeur comme hait mot "race"
Il faudrait, chaque mois, que je commémorasse
Les noirs assassinés pour la couleur de peau
Que ne reviennent plus racisme et ses dépôts.
Alzheimer menaçant, que nous commémorions !
Que souvent, en brillant tout comme émaux, riions
Du passé de douleur pour tout exorciser !
Ou pleurons de bon coeur si le rire est mauvais !
Il faudrait, chaque année, que je commémorasse
Le dur anniversaire d'un tué de Pétain
Le vaillant résistant qui discours de paix tint !
Pour penser aux Lorrains et comme est mort acier
Il faudrait que, souvent, vous commémorassiez
La déclin programmée de la sidérurgie !
Outre Rhin, tout autant : on décide et Rhur gît !
Pour ne pas oublier ce qu'omet mot "ration"
Il faudrait protéger la commémoration
Du décès si cruel du clochard inconnu
Que les restos du coeur ont nourri, mais sans plus !
Pour ne plus effacer du coeur comme hait mot "race"
Il faudrait, chaque mois, que je commémorasse
Les noirs assassinés pour la couleur de peau
Que ne reviennent plus racisme et ses dépôts.
Alzheimer menaçant, que nous commémorions !
Que souvent, en brillant tout comme émaux, riions
Du passé de douleur pour tout exorciser !
Ou pleurons de bon coeur si le rire est mauvais !
lundi 10 novembre 2008
DE TOI SERAI JE FAN, ATIQ ?
Le prix Goncourt 2008 a été décerné, ce lundi à Atiq Rahimi pour "Syngué sabour" publié par P-O-L.
L'écrivain est afghan. Mail il a été récompensé car il a écrit son premier roman directement en français. C'est fantastique ! Je ne me verrais pas, foi de Fabiano, en train d'écrire un roman en afghan, même avec la traduction automatique par google.
On remercie donc l'école française de Kaboul, financée par nos fonds, qui a su, malgré le feu nourri des salves de kalachnikovs de talibans hirsurtes, sustenter de syntaxe et de vocable franchouillard un esprit aussi éclairé que celui de Rahimi.
Cela dit, "Syngué sabour" n'est pas franchement rigolo et notre esprit gaulois, avide de grosses farces rabelaisiennes ou danyboonesques va sûrement être quelque peu désorienté par cette prose grave !!
Le thème : une femme afghane qui veille son mari plongé dans le coma après avoir pris une balle dans la nuque !
Faire la nique à la nuque : voilà un bon début de roman !
On pénètre progressivement dans l’angoisse et la solitude de la femme !
Elle finit par conter l'angoisse à son homme, toujours immobile, tel Sharon (non pas Stone) quelque part à Jérusalem. Un comateux comme athée car Dieu les a abandonnés !
Elle fait sa psychanalyse auprès de sa moitié, à la fois bourreau et confident !
Un huis clos, sans Jean Paul Sartre avec des soupirs, des prières, des incantations.
Un monde extérieur perpétuellement hostile avec ses bombardements (Kaboul est rouge !)
Bref, un bon roman, autour d'une femme !
Ca va nous changer de nos gaudrioles !!
Un bon livre pour se changer la tête ! Faire un deuil définitif avec la collection Harlequin ! Mettre à la poubelle "tri sélectif" ses vieux bouquins d'érotisme à quatre sous !
dimanche 9 novembre 2008
Dans 48 heures on saura... Mais bon sang que c'est long !!
48 HEURES : TOP CHRONO !
- Dans 48 heures vous aurez un nom, a dit Peillon sur France-Info ce dimanche 9 novembre.
Mais qui est Peillon ?
Un socialiste, proche de Ségolène Royal.
Mais qu'est-ce qui dit ??
Il dit que la France entière est suspendue aux lèvres du clan "Royal" pour savoir qui succèdera à François Hollande !
Le suspense est insoutenable !
Personnellement je n'en ai pas dormi de la nuit et j'ai déjà perdu tout le positif accumulé à la suite de l'élection d'Obama !
Mais qui va succéder à Hollande ? Ce sera un supporter de Ségolène dont la motion est venue en tête chez les socialistes décomposés.
Mais qui ?
Ségolène ne veut pas car elle a décidé de ne pas faire des questions de personne un préalable au rassemblement !
Moi j'avais compris un prêt à l'able !!
C'était dans mon rêve et je voyais Ségolène prêter de l'argent à un poisson ressemblant à une ablette (et qu'on appelle l'able). C'était un prêt en liquide pour que le poisson ait davantage de volume d'eau pour évoluer !
Le rêve s'est arrêté brusquement en raison d'une sonnerie de réveil à la con, fabriqué en Chine et certainement par des enfants jeunes et illétrés (j'ai honte !!)
Je me suis rendu à la vraie vie : il fallait attendre, avec bravitude, la décision du parti socialiste ! Qui remplacera Hollande ? Peillon lui-même ??
- Payons, payons, lance un adepte ségoléniste, pour acheter la voix des autres !
Oh le vilain corrupteur ! C'est pas beau ! Pas beau du tout !
Un autre socialiste propose Julien Dray : il ressemble à Hollande car rondouillard, avec lunettes et nanti d'une faible chevelure.
Si le nom de Dray fuse...quelle affaire !!
- Dans 48 heures vous aurez un nom, a dit Peillon sur France-Info ce dimanche 9 novembre.
Mais qui est Peillon ?
Un socialiste, proche de Ségolène Royal.
Mais qu'est-ce qui dit ??
Il dit que la France entière est suspendue aux lèvres du clan "Royal" pour savoir qui succèdera à François Hollande !
Le suspense est insoutenable !
Personnellement je n'en ai pas dormi de la nuit et j'ai déjà perdu tout le positif accumulé à la suite de l'élection d'Obama !
Mais qui va succéder à Hollande ? Ce sera un supporter de Ségolène dont la motion est venue en tête chez les socialistes décomposés.
Mais qui ?
Ségolène ne veut pas car elle a décidé de ne pas faire des questions de personne un préalable au rassemblement !
Moi j'avais compris un prêt à l'able !!
C'était dans mon rêve et je voyais Ségolène prêter de l'argent à un poisson ressemblant à une ablette (et qu'on appelle l'able). C'était un prêt en liquide pour que le poisson ait davantage de volume d'eau pour évoluer !
Le rêve s'est arrêté brusquement en raison d'une sonnerie de réveil à la con, fabriqué en Chine et certainement par des enfants jeunes et illétrés (j'ai honte !!)
Je me suis rendu à la vraie vie : il fallait attendre, avec bravitude, la décision du parti socialiste ! Qui remplacera Hollande ? Peillon lui-même ??
- Payons, payons, lance un adepte ségoléniste, pour acheter la voix des autres !
Oh le vilain corrupteur ! C'est pas beau ! Pas beau du tout !
Un autre socialiste propose Julien Dray : il ressemble à Hollande car rondouillard, avec lunettes et nanti d'une faible chevelure.
Si le nom de Dray fuse...quelle affaire !!
samedi 8 novembre 2008
DU THE ET DE LA POUTINE SOUS LA TENTE
Vladimir Poutine et Mireille Mathieu ont rendu visite ce week-end au dirigeant libyen, Muammar Kadhafi !
C'est le début d'un nouveau feuilleton de Tf1 chargé de remonter l'audimat largement plombé par la présence de Ferrari ?
Non ! C'est vrai !
Poutine et Mireille Mathieu sortent ensemble !
Et ils ont un ami commun : Kadhafi !
Kadhafi a planté sa tente bédouine dans un jardin du Kremlin.
Il l'avait fait déjà à Paris, avec l'assentiment du petit Nicolas !
Kadhafi est toujours dans la tente : sa cervelle est une "pas-science" !
Le Guide Lybien effectuait son premier déplacement à Moscou depuis vingt-trois ans.
Les deux dirigeants ont signé un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil (si vil qu'il en deviendrait militaire ?) et sur le financement du nouveau CD de Mireille (un Cd destiné à l'éloge du mérite russe avec un sous-titrage lybien).
Poutine et Kadhafi ont donc assisté à un concert donné au Kremlin par Mireille, qui jouit, qui jouit.. d'une notoriété notable au pays des Babouchka !
Le concert a connu une prolongation sous la tente, autour d'une tasse de thé versé par un secrétaire poutinesque au trois quart athée !
- Donnez nous mille colombes et des millions d'hirondelles..
Mireille chante faux mais elle ne le sait pas. Poutine lance :
- Non pas celle-ci ! Tu l'as déjà chantée pour Sarko, à Paris, lors de son sacre !
- Attention, ça va toujours mal quand Paris se met en colère !
- Non pas celle-ci non plus ! C'est fini la libération de Paris !
Mireille a donc chanté des airs soviétiques de derrière les fagots.
Il est prévu, à l'avenir, d'autres concerts en huis clos, par des amis de Sarkozy et en l'honneur des plus grands dictateurs de la planète. Ainsi :
- En janvier 2009, Barbelivien devrait chanter pour le Syrien Bachar Al Assad..si rien n'est annulé d'ici là !
- En mars 2009, Enrico Macias devrait s'éxécuter (dans le bon sens du terme) devant le maître nord coréen Kim Jong, si ce dernier ne casse pas sa pipe d'ici là !
La reconversion de la chanson française (de qualité !) a un bel avenir devant elle !
C'est le début d'un nouveau feuilleton de Tf1 chargé de remonter l'audimat largement plombé par la présence de Ferrari ?
Non ! C'est vrai !
Poutine et Mireille Mathieu sortent ensemble !
Et ils ont un ami commun : Kadhafi !
Kadhafi a planté sa tente bédouine dans un jardin du Kremlin.
Il l'avait fait déjà à Paris, avec l'assentiment du petit Nicolas !
Kadhafi est toujours dans la tente : sa cervelle est une "pas-science" !
Le Guide Lybien effectuait son premier déplacement à Moscou depuis vingt-trois ans.
Les deux dirigeants ont signé un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil (si vil qu'il en deviendrait militaire ?) et sur le financement du nouveau CD de Mireille (un Cd destiné à l'éloge du mérite russe avec un sous-titrage lybien).
Poutine et Kadhafi ont donc assisté à un concert donné au Kremlin par Mireille, qui jouit, qui jouit.. d'une notoriété notable au pays des Babouchka !
Le concert a connu une prolongation sous la tente, autour d'une tasse de thé versé par un secrétaire poutinesque au trois quart athée !
- Donnez nous mille colombes et des millions d'hirondelles..
Mireille chante faux mais elle ne le sait pas. Poutine lance :
- Non pas celle-ci ! Tu l'as déjà chantée pour Sarko, à Paris, lors de son sacre !
- Attention, ça va toujours mal quand Paris se met en colère !
- Non pas celle-ci non plus ! C'est fini la libération de Paris !
Mireille a donc chanté des airs soviétiques de derrière les fagots.
Il est prévu, à l'avenir, d'autres concerts en huis clos, par des amis de Sarkozy et en l'honneur des plus grands dictateurs de la planète. Ainsi :
- En janvier 2009, Barbelivien devrait chanter pour le Syrien Bachar Al Assad..si rien n'est annulé d'ici là !
- En mars 2009, Enrico Macias devrait s'éxécuter (dans le bon sens du terme) devant le maître nord coréen Kim Jong, si ce dernier ne casse pas sa pipe d'ici là !
La reconversion de la chanson française (de qualité !) a un bel avenir devant elle !
AUBE A MA..TURITE !! OBAMA, TU RIS ! T'ES GAI !
Barrack barraqué à la baraka boostée a gagné les élections et cassé la baraque.
Les USA se sont joints à son beau panache métissé, panaché, coloré de calories corollaires à sa colère saine contre les dysfonctionnements d'un système libéral qui court à sa perte.
Barrack a barré Mac Cain et sa colistière Sarah Palin !
Sarah, cas barrée, pense au cabaret ! Une reconversion ?
Une nouvelle aube se lève !
Aube à ma..noeuvrer vers plus de fraternité, d'aides aux bas malaimés.
Aube à ma..nifester sa joie, son allégresse, par des Negro Spiritual passés en boucle sur Internet.
Aube à ma..nipuler les puissances étrangères pour sauver le soldat Oncle Sam
Aube à ma..traquer les affres financières !
Aube à ma..nigancer pour se mettre dans la poche Sénat et Parlement
Aube à ma..ssicoter des vieux contrats puants
Aube à ma..ssacrer les idées libérales de débiles héros !
Aube à ma..riner des sauces démocrates et en faire tout un plat !
Aube à ma..rier le noir et le blanc pour donner du gris-gris, que du porte-bonheur !
Aube à matin clair...Obama tint, clair : Très clair le vote des américains !
Plus qu'un petit message au métissage !
Un aboutissement !
La fin d'un long combat qui prend ses racines dans la lutte des esclaves.
Let my people go !
I made a dream !
And now : Yes we can !!
Les USA se sont joints à son beau panache métissé, panaché, coloré de calories corollaires à sa colère saine contre les dysfonctionnements d'un système libéral qui court à sa perte.
Barrack a barré Mac Cain et sa colistière Sarah Palin !
Sarah, cas barrée, pense au cabaret ! Une reconversion ?
Une nouvelle aube se lève !
Aube à ma..noeuvrer vers plus de fraternité, d'aides aux bas malaimés.
Aube à ma..nifester sa joie, son allégresse, par des Negro Spiritual passés en boucle sur Internet.
Aube à ma..nipuler les puissances étrangères pour sauver le soldat Oncle Sam
Aube à ma..traquer les affres financières !
Aube à ma..nigancer pour se mettre dans la poche Sénat et Parlement
Aube à ma..ssicoter des vieux contrats puants
Aube à ma..ssacrer les idées libérales de débiles héros !
Aube à ma..riner des sauces démocrates et en faire tout un plat !
Aube à ma..rier le noir et le blanc pour donner du gris-gris, que du porte-bonheur !
Aube à matin clair...Obama tint, clair : Très clair le vote des américains !
Plus qu'un petit message au métissage !
Un aboutissement !
La fin d'un long combat qui prend ses racines dans la lutte des esclaves.
Let my people go !
I made a dream !
And now : Yes we can !!
lundi 3 novembre 2008
QUEL DEGAT TES NERFS !!
La faute aux caténers
Faut du déca, tes nerfs
Sont déjà trop tirés
Par l'attente sur quais.
Car sur le quai de gare
Tu es de guet, de quart
Tu cilles et tant tu guettes
Tu vas ciller, Huguette !
Mais le train ne vient pas
On te donne un encas
La date est périmée
Ca commence à gonfler !
Les passagers qui raillent
Où sont les trains corail ?
Si l'ire est saine c'est eff
Ort pour calmer griefs.
On dort dans le wagon
D'un train froid et sans nom
Huguette ta voix fait ré
Car t'essaies de chanter.
Mais tes cordes vocales
Frigorifiées décalent
Les notes de trois tons !
Trop caillant le wagon !
Le train c'est pourtant bien
Et ça ne pollue rien !
Mais pourquoi ces retards
Qui transforme la gare
En un casernement
Où tous les mécontents
Bivouaquent sans joie
Tout le long de la voie.
Faut du déca, tes nerfs
Sont déjà trop tirés
Par l'attente sur quais.
Car sur le quai de gare
Tu es de guet, de quart
Tu cilles et tant tu guettes
Tu vas ciller, Huguette !
Mais le train ne vient pas
On te donne un encas
La date est périmée
Ca commence à gonfler !
Les passagers qui raillent
Où sont les trains corail ?
Si l'ire est saine c'est eff
Ort pour calmer griefs.
On dort dans le wagon
D'un train froid et sans nom
Huguette ta voix fait ré
Car t'essaies de chanter.
Mais tes cordes vocales
Frigorifiées décalent
Les notes de trois tons !
Trop caillant le wagon !
Le train c'est pourtant bien
Et ça ne pollue rien !
Mais pourquoi ces retards
Qui transforme la gare
En un casernement
Où tous les mécontents
Bivouaquent sans joie
Tout le long de la voie.
jeudi 30 octobre 2008
OREAL AURAIT ALERTE !!
L'Oréal a revu à la baisse ses prévisions de résultats pour 2008 ; la crise frappe ses ventes qui ont reculé au troisième trimestre sur ses marchés de l'occident.
- Et on va fermer deux magnifiques usines en Europe, pour la première fois depuis de très nombreuses années, se lamente Jean-Paul Agon, le directeur général du champion mondial des cosmétiques.
A Monaco, l'usine Sofamo-Biotherm (198 salariés) cessera ses activités le 31 mars 2011.
Elles seront transférées vers les sites de Sicôs (Nord) et Chevilly-la-Rue (Val-de-Marne).
Sur le seul troisième trimestre, les ventes ont chuté de 10,8% en Amérique du Nord et sur neuf mois, le repli atteint 8% à 2,73 milliards.
Il est vrai que l'Oréal est au real (réel) ce que le Cac 40 est au virtuel. L'économie du cosmétique est frappée de plein fouet par la véritable baisse de la demande !
Jean-Paul Agon se veut pragmatique, méchant point !
Il ne ferme pas par gaieté de coeur ! Sa politique de démontage n'est pas tirée par les cheveux ! S'il ne la pratique pas il sera coiffé par la concurrence et frisera la faillite. Il vaut mieux amputer deux bras, parce que ça le vaut bien ! On évite la mort !
Un chef d'entreprise qui ne change pas de cap...il erre !
Alors Agon sait quoi faire : une politique de rigueur qui ne fera pas marrer !
La crise va-t-elle saboter la beauté ?
- Et on va fermer deux magnifiques usines en Europe, pour la première fois depuis de très nombreuses années, se lamente Jean-Paul Agon, le directeur général du champion mondial des cosmétiques.
A Monaco, l'usine Sofamo-Biotherm (198 salariés) cessera ses activités le 31 mars 2011.
Elles seront transférées vers les sites de Sicôs (Nord) et Chevilly-la-Rue (Val-de-Marne).
Sur le seul troisième trimestre, les ventes ont chuté de 10,8% en Amérique du Nord et sur neuf mois, le repli atteint 8% à 2,73 milliards.
Il est vrai que l'Oréal est au real (réel) ce que le Cac 40 est au virtuel. L'économie du cosmétique est frappée de plein fouet par la véritable baisse de la demande !
Jean-Paul Agon se veut pragmatique, méchant point !
Il ne ferme pas par gaieté de coeur ! Sa politique de démontage n'est pas tirée par les cheveux ! S'il ne la pratique pas il sera coiffé par la concurrence et frisera la faillite. Il vaut mieux amputer deux bras, parce que ça le vaut bien ! On évite la mort !
Un chef d'entreprise qui ne change pas de cap...il erre !
Alors Agon sait quoi faire : une politique de rigueur qui ne fera pas marrer !
La crise va-t-elle saboter la beauté ?
dimanche 26 octobre 2008
ENDETTER AU TAUX MOBILE
L'automobile ronge son frein
On attend des licenciements
Moteur en panne, clients chagrins
Bonus-Malus n'ont fait qu'un temps !
L'automobile en perd les sens
L'acheteur s'en dédit et zèle
Qui jadis frisait la démence
Perd son allant, replie ses ailes.
L'automobile subit la crise
Bien des gars ragent dans les usines
Chômage technique se sent de mise
La récession les assassine.
Et si trop haine monte au créneau
Les grèves seront violentes
Peu jovialement Renault
Peugeot vivent dans la tourmente.
L'automobile licencie
Et avec elle ses sous-traitants
On roule bien moins dans ce pays
Dit l'écolo en pédalant...
Dit l'écolo en pédalant...
On attend des licenciements
Moteur en panne, clients chagrins
Bonus-Malus n'ont fait qu'un temps !
L'automobile en perd les sens
L'acheteur s'en dédit et zèle
Qui jadis frisait la démence
Perd son allant, replie ses ailes.
L'automobile subit la crise
Bien des gars ragent dans les usines
Chômage technique se sent de mise
La récession les assassine.
Et si trop haine monte au créneau
Les grèves seront violentes
Peu jovialement Renault
Peugeot vivent dans la tourmente.
L'automobile licencie
Et avec elle ses sous-traitants
On roule bien moins dans ce pays
Dit l'écolo en pédalant...
Dit l'écolo en pédalant...
TORD AU VAUDOU ET TOUT AU VEAU D'OR
Et si l’ennemi public n° 1 c’était Sarkozy ?
Au moment où on déverse sur le grand écran les frasques de Mesrine, l’ancien ennemi public n° 1, l’heure est à la chasse aux sorcières élyséennes !
Plus nocif que Mesrine, plus pernicieux aussi, l’hôte de l’Elysée attire les exorcistes en tous genres. Le denier en date est un prêtre vaudou, de renommée internationale, qui propose de " conjurer le mauvais œil " et d’empêcher le petit Nicolas de causer davantage de dommages multilatéraux !
- Carla, j’ai vu qu’on commercialisait une poupée vaudou dans les kiosques ! C’est une poupée à mon effigie et elle est éditée par la société K & B !
- Ca alors Nicolas, répond sa femme, K & B, cela ne cacherait-il pas un duo « Kahn – Bayrou » ! On sait que ces deux là ne te portent pas dans leur cœur ! Ca consiste en quoi cette poupée ?
- D’après les sources de MAM (Michèle Alliot-Marie) il s’agit d’une poupée vendue avec douze aiguilles et un ouvrage de 56 pages. Pour chasser le mauvais sort on doit piquer ma poupée ! Si j’ai bien compris, sur le buste de ma poupée il y a une case « Casse-toi pauvre con ». On pique dessus pour calmer ses nerfs ou pour vivre un exutoire.
- C’est débile ! Mais quelque part il y a matière à faire une nouvelle chanson !
- Si ça te chante, ma chérie ! En tous cas, au nom de mon droit à l’image, j’exige le retrait de la poupée. Mon avocat Thierry Herzog avait pourtant averti la société coupable. Suite à son silence je dois bien passer à la vitesse supérieure. Bon c’est pas tout cela, il faut que je regarde mon compte bancaire sur internet. J’aimerais savoir si j’ai assez de tune pour m’acheter de l’or !
- Tu veux acheter Delors ? Jacques ? On peut le corrompre celui-là ?
- Non ! De l’or ! L’or ! La valeur refuge par excellence ! Bon je regarde mon compte, voilà, je tape mon code sur le clavier, je clique sur « Mes comptes » ! Merde, c’est quoi, ça !
- Quoi, mon chéri ?
- Mais ça ! Ces lignes de dépenses en carte bancaire ! J’ai jamais dépensé de si petites sommes ! Ca ne correspond pas à mon train de vie ! On a sûrement obtenu mes coordonnées bancaires ! Je voudrais connaître les racailles qui ont osé utiliser mon numéro de carte bancaire pour satisfaire leur achat ! Je vais les karchériser ! Je vais ah ! Ah !
- Calme toi Nicolas ! Tu te fais du mal ! Voilà, tu te tapes une douleur intercostale ! Bouge pas ! J’appelle Roseline ! C’est une excellente ministre de la Santé et, en plus, elle a suivi des cours d’acupuncture par correspondance avec la méthode Couet !
Peu de temps après Nicolas se retrouve allongé et aux bons soins de Roseline Bachelot. Douze aiguilles sont plantées dans différentes parties de son corps et que le secret défense ne m’autorise pas à dévoiler sur ce blog !!
Tout en étant allongé le petit Nicolas ne peut s’empêcher d’appeler MAM pour élucider cette histoire de coordonnées bancaires détournées. Puis il tire de son tiroir de table de nuit une poupée vaudou à l’effigie de Dominique De Villepin et plante une superbe aiguille sur le torse, là où se situe une case stipulée « Claerstream »
C’est son droit à l’humour qu’il revendique !
C’est son droit à l’humour qu’il revendique !
jeudi 23 octobre 2008
CRISE T'OFFENSERA ! PAUVRES VICTIMES ! CHRISTOPHE EN SERA ?
Invités par Michel DuCaire (renommé ainsi suite à sa merveilleuse émission du Dimanche où il invita la regrettée Soeur Emmanuelle) Angela Merkel, la chancelière allemande et notre Sarkozy National ont lancé un cri de guerre lors de l'émission dominicale.
Prenant sa guitare (ou plutôt celle de Carla), le petit Nicolas a entonné une chanson à la gloire de Christophe qui était la vedette "fil conducteur" de l'émission.
Et voilà Nicolas, chantant comme une invitation à Angela ! Une invitation à se battre contre les Paradis fiscaux. Il avait demandé à sa femme, pour l'occasion, un relookage de la chanson de Christophe "les paradis perdus". Ce qui donne :
Avec ce que la crise ose
Je déambule morose
La trou fiscal est grandiose !
Peut-être un beau jour voudras-tu
Supprimer avec moi
Les paradis fiscaux ?
Bercy, un peu maudit, très appauvri,
Par l’impôt qui s’effondre
Te souviens-tu quand j’imposais
Des richards à les tondre !
Très obérés, nul n’échappait
Aux taxes sophistiquées
L’argent des riches restait là !
Peut-être un beau jour voudras-tu
Supprimer avec moi
Les paradis fiscaux ?
Bercy, un peu maudit, un peu vieilli,
D’entrées d’argent est privé,
D’un clavier on expédie
De l’argent en quantité :
Belize, Ghana
Iles caïman ou CookBas
Amassent l’argent détourné !
Peut-être un beau jour voudras-tu
Supprimer avec moi
Les paradis fiscaux.
Prenant sa guitare (ou plutôt celle de Carla), le petit Nicolas a entonné une chanson à la gloire de Christophe qui était la vedette "fil conducteur" de l'émission.
Et voilà Nicolas, chantant comme une invitation à Angela ! Une invitation à se battre contre les Paradis fiscaux. Il avait demandé à sa femme, pour l'occasion, un relookage de la chanson de Christophe "les paradis perdus". Ce qui donne :
Avec ce que la crise ose
Je déambule morose
La trou fiscal est grandiose !
Peut-être un beau jour voudras-tu
Supprimer avec moi
Les paradis fiscaux ?
Bercy, un peu maudit, très appauvri,
Par l’impôt qui s’effondre
Te souviens-tu quand j’imposais
Des richards à les tondre !
Très obérés, nul n’échappait
Aux taxes sophistiquées
L’argent des riches restait là !
Peut-être un beau jour voudras-tu
Supprimer avec moi
Les paradis fiscaux ?
Bercy, un peu maudit, un peu vieilli,
D’entrées d’argent est privé,
D’un clavier on expédie
De l’argent en quantité :
Belize, Ghana
Iles caïman ou CookBas
Amassent l’argent détourné !
Peut-être un beau jour voudras-tu
Supprimer avec moi
Les paradis fiscaux.
lundi 20 octobre 2008
SALUT LA SOEUR ! TU NOUS LAISSES BIEN CAIRE !!
Il fallait bien que ça arrive un jour ! A bientôt cent ans, le temps d'une guerre menée contre la misère, notre soeur Emmanuelle s'en est allée !!
Son ame a dû filer vers Dieu en criant "Yallah" ("en avant", en arabe) car Soeur Emmanuelle avait adopté ce cri de guerre pour ne pas sombrer dans le désespoir, dans l'anéantissement de son être face à la tâche qu'elle s'était fixée : aider le plus pauvre des pauvres !
Je la revois, à Paray-le-Monial, en 1986. Elle était venue témoigner de son expérience d'humilité et de charité auprès des petits chiffonniers du Caire !
J'avais mangé à sa table et découvert un être exceptionnel de gaieté, de simplicité.
Plus tard je la revis. Elle avait tenu une conférence sur la faim dans le Monde. C'était à la Catho de Lille ! C'était bien ! Elle était encore plus ridée et davantage pugnace, féroce pour la cupidité du Monde, mais sans perdre cet humour ! Ah cet humour !!
Salut la Soeur ! Tu nous manques déjà !
Fais bien la bise à l'Abbé Pierre de notre part !
Le problème c'est vos chiffonniers ! Comment vont-ils survivre à la crise qui s'annonce ?
Peut-être de la meilleure façon qui soit, finalement !
Ils vont retraiter nos vieux déchets d'une société capitaliste exsangue et prête à se réformer !
Allez yallah !! Revenons aux fondamentaux : culture, artisanat, harmonie avec la planète !
L'avenir de l'être humain serait manuel ?
Son ame a dû filer vers Dieu en criant "Yallah" ("en avant", en arabe) car Soeur Emmanuelle avait adopté ce cri de guerre pour ne pas sombrer dans le désespoir, dans l'anéantissement de son être face à la tâche qu'elle s'était fixée : aider le plus pauvre des pauvres !
Je la revois, à Paray-le-Monial, en 1986. Elle était venue témoigner de son expérience d'humilité et de charité auprès des petits chiffonniers du Caire !
J'avais mangé à sa table et découvert un être exceptionnel de gaieté, de simplicité.
Plus tard je la revis. Elle avait tenu une conférence sur la faim dans le Monde. C'était à la Catho de Lille ! C'était bien ! Elle était encore plus ridée et davantage pugnace, féroce pour la cupidité du Monde, mais sans perdre cet humour ! Ah cet humour !!
Salut la Soeur ! Tu nous manques déjà !
Fais bien la bise à l'Abbé Pierre de notre part !
Le problème c'est vos chiffonniers ! Comment vont-ils survivre à la crise qui s'annonce ?
Peut-être de la meilleure façon qui soit, finalement !
Ils vont retraiter nos vieux déchets d'une société capitaliste exsangue et prête à se réformer !
Allez yallah !! Revenons aux fondamentaux : culture, artisanat, harmonie avec la planète !
L'avenir de l'être humain serait manuel ?
dimanche 19 octobre 2008
LA SAINCLAIR
Cette chanson était, à la fin des années 90, interprétée par les Châtelains (un duo comique dont j'étais l'auteur compositeur et interprète). Elle met en exergue les talents de celle qui animait l'émission "7 sur 7"
Quand je vois la Saint Clair
Qui ne l’a pas si clair
Elle est toujours bronzée.
Quand je vois la Sainclair
Même sur ma vieille télé
J’ai pas envie d’zapper !
Sauf à être ascète
Sur cette planète il y a cette
Nana à fossettes
Qui anime 7 sur 7
Pour nous envoûter
Pour nous encroûter
Devant un poste de télé
Juste avant l’heure du JT.
Devant l’invité
Elle va bégayer oui mais
Son show est génial
Pour que le Divan le vaille
Chapier aurait à
Porter une robe en soie
On n'en est pas loin
Mais revenons au refrain...
De sont teint pas si mat
Elle fait de l’audimat
Et t’es..es fin si tu
A la panne de télé
Tu peux te lamenter :
De ses yeux t’es privé !
C’est sur un fond noir
Dans un tailleur atroce qu’Anne
Sert de présentoir
A des questions qui cancanent.
Je n’y comprends rien
Pas plus que Giscard d’Estaing
Ou d’autres invités
Complètement hypnotisés
Par son regard bleu
Au doux reflet langoureux.
La belle Anne rit
De ce voir aussi jolie
Mais dans ce miroir
Cathodique il faut bien voir
Que les vraies questions
Ne sont pas vraiment légions.
Quand je vois la Saint Clair
Qui ne l’a pas si clair
Elle est toujours bronzée.
Quand je vois la Saint Clair
Même sur ma vieille télé
J’ai pas envie d’zapper ! (bis)
Quand je vois la Saint Clair
Qui ne l’a pas si clair
Elle est toujours bronzée.
Quand je vois la Sainclair
Même sur ma vieille télé
J’ai pas envie d’zapper !
Sauf à être ascète
Sur cette planète il y a cette
Nana à fossettes
Qui anime 7 sur 7
Pour nous envoûter
Pour nous encroûter
Devant un poste de télé
Juste avant l’heure du JT.
Devant l’invité
Elle va bégayer oui mais
Son show est génial
Pour que le Divan le vaille
Chapier aurait à
Porter une robe en soie
On n'en est pas loin
Mais revenons au refrain...
De sont teint pas si mat
Elle fait de l’audimat
Et t’es..es fin si tu
A la panne de télé
Tu peux te lamenter :
De ses yeux t’es privé !
C’est sur un fond noir
Dans un tailleur atroce qu’Anne
Sert de présentoir
A des questions qui cancanent.
Je n’y comprends rien
Pas plus que Giscard d’Estaing
Ou d’autres invités
Complètement hypnotisés
Par son regard bleu
Au doux reflet langoureux.
La belle Anne rit
De ce voir aussi jolie
Mais dans ce miroir
Cathodique il faut bien voir
Que les vraies questions
Ne sont pas vraiment légions.
Quand je vois la Saint Clair
Qui ne l’a pas si clair
Elle est toujours bronzée.
Quand je vois la Saint Clair
Même sur ma vieille télé
J’ai pas envie d’zapper ! (bis)
DEESSE QU'A DSK !
Un cabinet d’avocats Morgan, Lewis & Bockius LLP est en train d’enquêter sur la vie obscure de notre cher (très cher) DSK.
Dominique Strauss Kahn, le patron français du FMI (Fonds Monétaire International) aurait eu une liaison avec Piroska Nagy.
Et alors me direz-vous ?
Hé bien, mais Piroska est mariée avec un économiste argentin (et argenté) Mario Blejer. Et Dominique, que je sache, est toujours avec Anne Saint Clair, dont je fis l’éloge, il y a quelques années (voir chanson qui précède).
Et alors me direz-vous : c’est banal ! Beaucoup d’hommes politiques sont volages ! Regardez le petit Nicolas : à peine Cécilia partie, le voilà avec Carla !
Oui, mais le problème c’est que DSK joue l’adultère dans un pays où on ne transige pas avec les bonnes mœurs.
On se souvient du scandale de Clinton, le chaud lapin du bureau ovale !
Selon certains témoins, on voit DSK flirter avec la belle hongroise Piroska dans un bar nommé « Le Ska ».
Le pire, au Ska, n’agit qu’à 24 heures lorsque DSK avoue sa flamme et assume le premier baiser. Il avoue à l’oreille de la belle :
- Je t’aime my love !
Ce n’est pas de la très grand prose mais on ne va pas demander à un économiste de se glisser dans la peau de Beaudelaire !
Piroska rougit par ces mots neufs et lui dit :
- Que ce soit un secret entre nous ! Je dois, dans le fond, mots nés taire !
Pourtant les mots vont continuer à se déverser par courriels ! Et le mari, marri, va intercepter les conversations sirupeuses des deux tourtereaux !!
Pour DSK c’est peut-être le début de la fin !
Il a tellement du mal, au sein du FMI nain
A résister au charme du beau et féminin !
Sous le charme de la déesse hongroise il a failli choir ! Puis, il s’est ressaisi et a demandé à Piroska de partir du FMI, la tentation étant trop forte !
La muse s’en est allée avec des émoluments généreux : le prix du silence !
Piroska fera-t-elle la morte pour sauver DSK ?
On parlerait alors d’émoluments au mort !
Dominique Strauss Kahn, le patron français du FMI (Fonds Monétaire International) aurait eu une liaison avec Piroska Nagy.
Et alors me direz-vous ?
Hé bien, mais Piroska est mariée avec un économiste argentin (et argenté) Mario Blejer. Et Dominique, que je sache, est toujours avec Anne Saint Clair, dont je fis l’éloge, il y a quelques années (voir chanson qui précède).
Et alors me direz-vous : c’est banal ! Beaucoup d’hommes politiques sont volages ! Regardez le petit Nicolas : à peine Cécilia partie, le voilà avec Carla !
Oui, mais le problème c’est que DSK joue l’adultère dans un pays où on ne transige pas avec les bonnes mœurs.
On se souvient du scandale de Clinton, le chaud lapin du bureau ovale !
Selon certains témoins, on voit DSK flirter avec la belle hongroise Piroska dans un bar nommé « Le Ska ».
Le pire, au Ska, n’agit qu’à 24 heures lorsque DSK avoue sa flamme et assume le premier baiser. Il avoue à l’oreille de la belle :
- Je t’aime my love !
Ce n’est pas de la très grand prose mais on ne va pas demander à un économiste de se glisser dans la peau de Beaudelaire !
Piroska rougit par ces mots neufs et lui dit :
- Que ce soit un secret entre nous ! Je dois, dans le fond, mots nés taire !
Pourtant les mots vont continuer à se déverser par courriels ! Et le mari, marri, va intercepter les conversations sirupeuses des deux tourtereaux !!
Pour DSK c’est peut-être le début de la fin !
Il a tellement du mal, au sein du FMI nain
A résister au charme du beau et féminin !
Sous le charme de la déesse hongroise il a failli choir ! Puis, il s’est ressaisi et a demandé à Piroska de partir du FMI, la tentation étant trop forte !
La muse s’en est allée avec des émoluments généreux : le prix du silence !
Piroska fera-t-elle la morte pour sauver DSK ?
On parlerait alors d’émoluments au mort !
samedi 18 octobre 2008
ECUREUIL QUE RIEN N'EPARGNE
C'est un gentil écureuil
Qui parcourant les rues, cueille
Des noisettes défendues
Car l'hiver il sera cru !
C'est un gentil p'tit rongeur
Qui n'épargne pas son coeur
Pour combler son appétit
Mais gare aux mauvais produits !
C'est un rongeur déluré
Qui agit sans se méfier
Les noisettes sont pourries
Il le sent, trop tard, tant pis !
Elles ne sont plus très vendables
C'est la perte impondérable
L'écureuil ronge son frein
A défaut de fruits, de grains.
Sa maîtresse montrant la garde
Est en colère et s'attarde
A savoir pourquoi la bête
A acheté ces noisettes !
Ne manquait pourtant de rien
L'animal mangeait très bien !
A vouloir trop se gaver
Le voici tout affamé !
Qui parcourant les rues, cueille
Des noisettes défendues
Car l'hiver il sera cru !
C'est un gentil p'tit rongeur
Qui n'épargne pas son coeur
Pour combler son appétit
Mais gare aux mauvais produits !
C'est un rongeur déluré
Qui agit sans se méfier
Les noisettes sont pourries
Il le sent, trop tard, tant pis !
Elles ne sont plus très vendables
C'est la perte impondérable
L'écureuil ronge son frein
A défaut de fruits, de grains.
Sa maîtresse montrant la garde
Est en colère et s'attarde
A savoir pourquoi la bête
A acheté ces noisettes !
Ne manquait pourtant de rien
L'animal mangeait très bien !
A vouloir trop se gaver
Le voici tout affamé !
vendredi 17 octobre 2008
WURZELLBACHER PLOMBE LE DEBAT AMERICAIN
JOE LE PLOMBIER (Version trafiquée de Joe Le Taxi - Interprétée par Mme Depp)
Joe le plombier
Y va pas partout,
Reste dans l’Ohio, et là-bas
Son furet jaune
Cure tous les siphons par cœur
Tous les tuyaux
Tous les coins noirs
Et rend saine,
La plomberie qui brille
Dans sa caisse
La musique à Joe
C'est mazurka
Du Chopin, le plus beau !
Joe, le plombier
C'est sa vie
Lavabo bouché
Le curetage.
Il est comme ça,Joe - Joe - Joe.
Dans sa caisse
La musique à Joe résonne
C'est Mazurka
Les morceaux au piano, très bon !
Vas-y Joe,Vas-y Joe,Vas-y fonce
Dans la nuit, vers l'Ohio
Joe le plombier
Court vers Obama
Joe le plombier
Parle de fisc en vrac
Joe - Joe - Joe,Joe, le plombier,
C'est sa vie
Dollars à gogo
Et magouillage
Joe le plombier
Sur licence chie
Joe le plombier
Provoque un bla-bla
Joe le plombier
Plombier sans permis
Vas-y Joe,Vas-y fonce
Dans la nuit les âmes zonent
Joe l’aplomb biais
Réagit sur tout
Crise en thèmes fiscaux. Obama
Par lui s’étonne !
Mac Cain, lui, l’a dans son coeur
Ce faux prolo
Travaille au noir
Pas très réglo
Quand le dollar vacille !
Pour rappel :
Le roi du dernier débat de la présidentielle américaine qui s'est tenu mercredi 15 octobre n'a pas été John McCain ni Barack Obama. Ce fut Joe Wurzelbacher, dit 'Joe le plombier', un homme musclé, affublé d'un tee-shirt, et qui n'a rien à envier avec Mr Propre ou Le Costaud Chauve de Fort Boyard. Son nom a été cité 26 fois pendant le débat. Rien que cela !
Il symbolise à lui seul (c'est une métonymie, mais il l'ignore !) l'ensemble du peuple travailleur, qui bosse fort (comme un turc) et qui doit payer de plus en plus d'impôts pour payer les banquiers ! Citoyen de l'Ohio, Joe le plombier a fait irruption dans la campagne, le 12 octobre, après la diffusion de l'échange qu'il a eu avec Barack Obama. Il avait apostrophé le candidat métis sur son intention d'obérer certaines personnes parmi les plus fortunées. Ce plan risque de l'empêcher d'acquérir une entreprise qu'il tente d'achete, a-t-il précisé. Obama s'est défendu de vouloir stigmatiser et fouetter la réussite professionnelle, mais de plutôt chercher à redistribuer le revenu national, en vrai Robin des Bois. John McCain, en capilotade dans les sondages, s'est servi du personnage au cours du débat. Il a, ainsi, tenté de porter l'estocade à Barack Obama !
Mais la campagne de Barack est loin d'avoir du plomb dans l'aile.
Tant que le problème des sous dure, Barack grimpera dans les sondages.
Il ne peut dévier (d'évier ?) de sa trajectoire !
C'est ce qu'analysait (canalisé ?) le clan républicain il y a quelques jours !
jeudi 16 octobre 2008
MAIS DEUX SAINTS : N'EST CE PAS FAIRE UN JALOUX ?
Un gros jaloux et il y a de quoi ! Le professeur Chermann qui avait travaillé avec Françoise Barré Sinoussi et Luc Montagnier pour la découverte du virus du Sida s'est vu méconnaître par le jury suédois alors que ses deux acolytes ont été nobélisés !
Et pourtant le Monsieur est cité dans tous les brevets comme codécouvreur du VIH (Virus d'Immunodéficience Humaine). Il est en droit d'être surpris et choqué d'avoir été oublié !!
La vie est parfois russe : vie russe, et roulette russe, le jeu du hasard !
Quand le nom de Montagnier a été cité, Gilbert a eu un soubresaut et a cessé de jouer du piano. Il s'est essuyé les lunettes pour savoir s'il avait bien entendu. Guy s'est arrêté de jouer les grosses têtes à fort débit scatologique. Il n'en revenait pas : on l'aurait nommé pour le Nobel ?
Ils ont vite déchanté. Montagnier s'écrit bien M O N T A G N I E R.
Et si Gilbert s'est cité (forcément) comme un bon chanteur sarkozien (dans la lignée de Barbelivien) et si Guy s'est montré digne d'être Bouvardisé, aucun des deux ne maîtrise la découverte médicale et biologique !
Il faudra attendre la création d'un prix Nobel de la chanson et celui de la déconnade gratuite !
On n'en est pas encore là ! Mais déjà, vis-à-vis de certains, on en est las !!!
mercredi 15 octobre 2008
L'EAU TRICHE
Jörg Haider aimait l'alcool d'extrème droite autrichienne et en abusait !
Jörg Haider aimait sa mère Dorotha âgée de 90 ans demain !
Jörg Haider se dit que demain c'est...demain et qu'il lui reste peu de temps pour se rendre à Bärental où vit sa génitrice.
Jörg Haider se dit qu'il a juste le temps mais faut qu'il boive rapidement cet horrible schnapps que lui propose une jeune fraulein éméchée du "Cabaret", une discothèque de Velden où il a l'habitude de se ressourcer en écoutant Lohengrin ou des vieux discours de Himmler sur une deutschgrammophon.
Jörg Haider prend sa voiture. Il enfonce la clé de contact dans fente et fait tourbillonner, du bout du doigt, le petit porte-clef : une jolie croix gammée entièrement forgée à la meule.
Jörg Haider démarre. Il n'ignore pas que rouler sous l'emprise de l'alcool n'est pas sans danger.
Jörg Haider exécute un premier virage, qui ne lui avait rien fait, dans un crissement de pneus.
Jörg Haider passe la cinquième et pousse le pied. L'aiguille indique bientôt les 142 km/h. Il est encore bien loin du record de Jérome Rothen, un footballeur parisien qu'il ne connaît pas !
Jörg Haider maintient cette vitesse qui, de virage en virage, lui fait friser la déportation. Un moment, son pneu avant droit, voire d'extrème droite, heurte un petit rocher. Son coude droit se heurte violemment à la poignet de la boîte de vitesse. Il en ressent une douleur au petit juif !
Mais il continue sa route, grisé par la vélocité de son bolide ! A cette vitesse là il serait vite en Asie !
Jörg Haider voit au loin un véhicule suspect : il ne roule pas assez vite ! Il semble ne pas dépasser les 50 km/h en agglomération ! Vraiment bizarre ! Il roule à l'économie celui-la ? Il faut le doubler !!
Jörg Haider double mais ne voit pas le panneau de signalisation et le poteau de clôture en béton.
Jörg Haider n'ignore pas que le béton ne plie pas, ne capitule pas !
Après plusieurs tonneaux (sans bière) on retrouvera Jörg Haider dans la carcasse de son véhicule.
Jörg Haider avait 1,8 gramme d'alcool dans le sang.
L'alcool non ! L'eau triche cependant ! Quand elle est eau de vie ! Voire de mort !
Jörg Haider aimait sa mère Dorotha âgée de 90 ans demain !
Jörg Haider se dit que demain c'est...demain et qu'il lui reste peu de temps pour se rendre à Bärental où vit sa génitrice.
Jörg Haider se dit qu'il a juste le temps mais faut qu'il boive rapidement cet horrible schnapps que lui propose une jeune fraulein éméchée du "Cabaret", une discothèque de Velden où il a l'habitude de se ressourcer en écoutant Lohengrin ou des vieux discours de Himmler sur une deutschgrammophon.
Jörg Haider prend sa voiture. Il enfonce la clé de contact dans fente et fait tourbillonner, du bout du doigt, le petit porte-clef : une jolie croix gammée entièrement forgée à la meule.
Jörg Haider démarre. Il n'ignore pas que rouler sous l'emprise de l'alcool n'est pas sans danger.
Jörg Haider exécute un premier virage, qui ne lui avait rien fait, dans un crissement de pneus.
Jörg Haider passe la cinquième et pousse le pied. L'aiguille indique bientôt les 142 km/h. Il est encore bien loin du record de Jérome Rothen, un footballeur parisien qu'il ne connaît pas !
Jörg Haider maintient cette vitesse qui, de virage en virage, lui fait friser la déportation. Un moment, son pneu avant droit, voire d'extrème droite, heurte un petit rocher. Son coude droit se heurte violemment à la poignet de la boîte de vitesse. Il en ressent une douleur au petit juif !
Mais il continue sa route, grisé par la vélocité de son bolide ! A cette vitesse là il serait vite en Asie !
Jörg Haider voit au loin un véhicule suspect : il ne roule pas assez vite ! Il semble ne pas dépasser les 50 km/h en agglomération ! Vraiment bizarre ! Il roule à l'économie celui-la ? Il faut le doubler !!
Jörg Haider double mais ne voit pas le panneau de signalisation et le poteau de clôture en béton.
Jörg Haider n'ignore pas que le béton ne plie pas, ne capitule pas !
Après plusieurs tonneaux (sans bière) on retrouvera Jörg Haider dans la carcasse de son véhicule.
Jörg Haider avait 1,8 gramme d'alcool dans le sang.
L'alcool non ! L'eau triche cependant ! Quand elle est eau de vie ! Voire de mort !
CARTON ROUGE A QUI SIFFLE FAUX !
Contre vents et marées, la chanteuse d'origine tunisienne Lââm (son nom m'énerve car je dois jongler avec mon clavier azerty pour obtenir deux A dôtés d'un accent circonflexe !) a chanté avant le match France-Tunisie, au Stade de France !
Il y a eu des sifflements quand elle a entamé la Marseillaise. Comme elle a cru au phénomène larsen, elle a continué comme si de rien n'était, à l'image de Carla.
Elle a chanté en imitant Mireille Matthieu car elle avait des instructions de l'Elysée !
En fait, ce sont des gens qui sifflaient !
Mais le pire c'est qu'ils sifflaient faux !
Ils n'avaient aucune oreille musicale et je suis sûr que Rouget de Lisle (le célèbre compositeur de notre hymne national) a dû se retourner plus d'une fois dans sa tombe !
C'est bien de vouloir accompagner une chanteuse ; mais, de grâce, un minimum d'harmonie aurait fait du bien ! Non, c'était vraiment la cacophonie.
Certains sifflaient en La majeur alors qu'ils étaient accompagnés de six mineurs qui gardaient le sol !
Lââm a bien eu du mérite à terminer son chant national.
Franchement il faudrait développer la culture musicale en France. C'est fou le nombre de gens qui chantent faux ou qui sifflent mal !
Et je crains que la Star Academy ne soit suffisante pour pallier cette dérive harmonique !
C'est trente années de laxisme scolaire que nous payons actuellement. On a abandonné la radio scolaire qui diffusait de grandes oeuvres classiques. Les professeurs de musique jouent profil bas en ne cherchant plus à faire découvrir Bach ou Beethoven. Ils apprennent à leurs éléves des morceaux à jouer au pipeau : Barbelivien, Dorothée, Chantal Goya, Carlos...
Non ! C'est une véritable déliquescence de notre apprentissage musical.
Pour la petite histoire la France a gagné : 3-1 !
C'est vraiment pas cela qui va me consoler de la déliquescence de notre enseignement lyrique !
mardi 14 octobre 2008
SAINS GERANTS OU SINGES ERRANT ?
Pour éviter que l’euro ne devienne une monnaie de singe, les chefs d’Etat l’ayant adopté (les gueux, non !) se sont réunis à l’Elysée, à la demande du petit Nicolas, pour se pencher à son chevet.
- Il a l’air malade, s’est dit Angela Merkel, on dirait une crise de subprimie aiguë !
- Je le crains, le virus a tracé l’Atlantique et hâte lents tics, heu toc ! Il hâte des TOC (troubles obsessionnels de consommateurs) en jetant l’anathème sur l’épargne et la bourse ! Les gens vendent et les cours s’effondrent ! Or l’actif des banques tient compte des provisions pour dépréciation des titres !
- Il faut changer la technique comptable, lance Zapatero, et il faut recapitaliser nos banques !
- On voit que Gordon Brown, notre ami anglais, a impliqué son Etat, remarque Nicolas ! Le Trésor britannique s’ingère sur les branches….
- Singes errent sur les branches ? coupe, sans sommation, le très bronzé cavalieri Berlusconi
- Laissez moi finir Al Capone, lui lance notre Président, le Trésor britannique s’ingère sur les branches bancaires et soutient les établissements de crédit.
- Ah, soupire Berlusconi, et nous allons faire de même ?
- Bien sûr, dit Nicolas, nous allons chacun d’entre nous aider nos banques. Pas seulement avec des bons du Trésor car souvent ci gît bon ! Ah, ah, six gibbons ! Pas mal hein ?
- Arrête tes singeries, lance Angela, que proposes-tu comme attelle pour faire marcher nos banques européennes ?
- Ah, ah, ah ! Comme atèle ! Singe à longue queue ! Trop drôle ! Mort de rire !
- On n’est pas là pour s’amuser, dit Jean Claude Trichet, le Président de la BCE (Banque Centrale Européenne), mettons une barre au zoo…
- Pardon ?
- Ah, excuse moi Barroso, je suis confus ! Je voulais dire qu’il fallait mettre un terme à ce champ lexical du zoo des singes et parler sérieusement. A sauver les banques il faut s’ingénier !
- Ah, ah, ah, singe est niais !! Mort de rire !
- Mais arrêtez, bon sang ! On a dit d’arrêter ! Ca suffit maintenant ! Il faut vraiment bosser et trouver un remède à la panique que sema CAC 40 !
- Ah, non, ah, ce macaque qu’art hante ! Mort de rire ! Hilarant !
- Mais arrêtez, stop ! On va parler sérieusement oui ou non ! Au rang où tend à se situer l’Europe dépendra l’argent qu’on injectera dans nos banques, précise Junker le Luxembourgeois.
C’est alors, que venant du premier étage, on entend la jolie voix de Carla. Elle s’accompagne à la guitare et chante : « Gare au gorille » Un bon vieux Brassens ! Comme si de rien n’était !
- Il a l’air malade, s’est dit Angela Merkel, on dirait une crise de subprimie aiguë !
- Je le crains, le virus a tracé l’Atlantique et hâte lents tics, heu toc ! Il hâte des TOC (troubles obsessionnels de consommateurs) en jetant l’anathème sur l’épargne et la bourse ! Les gens vendent et les cours s’effondrent ! Or l’actif des banques tient compte des provisions pour dépréciation des titres !
- Il faut changer la technique comptable, lance Zapatero, et il faut recapitaliser nos banques !
- On voit que Gordon Brown, notre ami anglais, a impliqué son Etat, remarque Nicolas ! Le Trésor britannique s’ingère sur les branches….
- Singes errent sur les branches ? coupe, sans sommation, le très bronzé cavalieri Berlusconi
- Laissez moi finir Al Capone, lui lance notre Président, le Trésor britannique s’ingère sur les branches bancaires et soutient les établissements de crédit.
- Ah, soupire Berlusconi, et nous allons faire de même ?
- Bien sûr, dit Nicolas, nous allons chacun d’entre nous aider nos banques. Pas seulement avec des bons du Trésor car souvent ci gît bon ! Ah, ah, six gibbons ! Pas mal hein ?
- Arrête tes singeries, lance Angela, que proposes-tu comme attelle pour faire marcher nos banques européennes ?
- Ah, ah, ah ! Comme atèle ! Singe à longue queue ! Trop drôle ! Mort de rire !
- On n’est pas là pour s’amuser, dit Jean Claude Trichet, le Président de la BCE (Banque Centrale Européenne), mettons une barre au zoo…
- Pardon ?
- Ah, excuse moi Barroso, je suis confus ! Je voulais dire qu’il fallait mettre un terme à ce champ lexical du zoo des singes et parler sérieusement. A sauver les banques il faut s’ingénier !
- Ah, ah, ah, singe est niais !! Mort de rire !
- Mais arrêtez, bon sang ! On a dit d’arrêter ! Ca suffit maintenant ! Il faut vraiment bosser et trouver un remède à la panique que sema CAC 40 !
- Ah, non, ah, ce macaque qu’art hante ! Mort de rire ! Hilarant !
- Mais arrêtez, stop ! On va parler sérieusement oui ou non ! Au rang où tend à se situer l’Europe dépendra l’argent qu’on injectera dans nos banques, précise Junker le Luxembourgeois.
C’est alors, que venant du premier étage, on entend la jolie voix de Carla. Elle s’accompagne à la guitare et chante : « Gare au gorille » Un bon vieux Brassens ! Comme si de rien n’était !
mercredi 8 octobre 2008
LE RSA PREND SON ENVOL ; LE CAC 40 CHUTE !
Les députés ont adopté mercredi 8 octobre 2008, par 306 voix contre 20, le projet de loi généralisant le Revenu de solidarité active (RSA) lors d'un vote solennel en première lecture.
Évidemment, L'UMP a voté pour. Le PS a choisi l'abstention tandis que les communistes et trois radicaux de gauche ont voté contre.
Expérimenté depuis 2007 dans 34 départements, le RSA consiste à se substituer, et ce dès le 1er juillet 2009, au revenu minimum d'insertion (RMI) et l'allocation de parent isolé (API) . L'objectif voulu par Martin Hirsh est de lutter contre la pauvreté et de favoriser le retour à l'emploi des bénéficiaires de minimas sociaux.
Expérimenté depuis 2007 dans 34 départements, le RSA consiste à se substituer, et ce dès le 1er juillet 2009, au revenu minimum d'insertion (RMI) et l'allocation de parent isolé (API) . L'objectif voulu par Martin Hirsh est de lutter contre la pauvreté et de favoriser le retour à l'emploi des bénéficiaires de minimas sociaux.
En effet, nombre de RMIstes gagnent moins en acceptant un travail : frais de transport, garde des enfants, achat d'une nouvelle cravate, d'un nouveau costume (à défaut on se taille une veste !). Bref, on gagne un salaire et on perd son RMI !
Donc, désormais, le système ajoute la possibilité, pour ceux qui s'aviseront de retravailler, de cumuler un salaire et 62% de l'ancienne allocation. Le RSA apportera aussi un coup de pouce aux salariés les plus modestes (jusqu'à 1,04% du SMIC) qui toucheront un bonus !
Tiens ! Un bonus !
Oh ! Rien à voir avec le bonus des patrons qui continueront, parfois sous des formes déguisées, à percevoir des parachutes dorés (voir mon article précédent) !
Tout au plus un petit bonus qui leur permettra d'être enfin un contribuable direct ! Un vrai contribuable qui paie ses impôts sur le revenu (IRPP) !
Un vrai assujetti à l'impôt le moins productif de France mais qui vous donne un statut social. Enfin une déclaration de revenus où ne sera pas stipulée la mention indigne "non imposable".
Enfin cette impression de participer au financement de l'Etat (quand bien même on y contribue en versant chaque jour de la TVA, impôt indirect et injuste !).
Enfin cette juste estime de soi : on travaille, on cotise, on paie des impôts.
RMIstes de la France entière, mobilisez vous !
Adhérez au RSA ! Vous contribuerez à augmenter les recettes fiscales.
Car l'Etat gère ! Il gère de plus en plus !
Il gère la dette de nos banques privées ou semi-publiques ! Le RSA c'est vraiment de la solidarité ! En le gagnant vous atteindrez la première tranche d'imposition et aurez la joie de verser des impôts directs. Le Trésor Public vous en remercie d'avance qui en aura bien besoin pour financer un plan Paulson à l'européenne !
lundi 6 octobre 2008
FORTIS CALE...TORD FISCAL ??
Elle se nomme Fortis
Car des liens très forts tissent
Avec ses bons clients
Un tramage émouvant !
Elle répand en Belgique
L’amour fol et magique
De l’argent bien placé
Pas que sur des livrets.
Elle répand sur les Flandres
Un goût qui peut surprendre
Celui de l’argent sûr
De l’argent qui rassure !
Mais voilà que la crise
Essaime la traîtrise
Et la liquidité
Se met à lui manquer !
Pour les Belges hébétés
Plus d’argent à glaner
Fortis meurt et s’effrite
Dans le pays des frites !
En faillite, aux abois,
La Fortis ose, aboie
Comme un loup désarmé
Et vient la BNP !
BNP-Paribas
Sauve loup qui se noie !
Quelques milliards d’euros
L’ont sauvé du chaos !
Le chef de BNP
Mr Prot, a gagné !
Comme un paon fait le fier
Mr Prot ose hauts airs !
Le voilà commandant
D’un paquebot géant
De taille européenne
Il mesure l’aubaine !
Et même si l’Etat
Belge conservera
Un quart d’activités
Dans ce monde banquier…
Le grand pas est acquis
Et BNP grandit !
Cela donne à Prot aise !
Et que Fortis se taise !
Car des liens très forts tissent
Avec ses bons clients
Un tramage émouvant !
Elle répand en Belgique
L’amour fol et magique
De l’argent bien placé
Pas que sur des livrets.
Elle répand sur les Flandres
Un goût qui peut surprendre
Celui de l’argent sûr
De l’argent qui rassure !
Mais voilà que la crise
Essaime la traîtrise
Et la liquidité
Se met à lui manquer !
Pour les Belges hébétés
Plus d’argent à glaner
Fortis meurt et s’effrite
Dans le pays des frites !
En faillite, aux abois,
La Fortis ose, aboie
Comme un loup désarmé
Et vient la BNP !
BNP-Paribas
Sauve loup qui se noie !
Quelques milliards d’euros
L’ont sauvé du chaos !
Le chef de BNP
Mr Prot, a gagné !
Comme un paon fait le fier
Mr Prot ose hauts airs !
Le voilà commandant
D’un paquebot géant
De taille européenne
Il mesure l’aubaine !
Et même si l’Etat
Belge conservera
Un quart d’activités
Dans ce monde banquier…
Le grand pas est acquis
Et BNP grandit !
Cela donne à Prot aise !
Et que Fortis se taise !
dimanche 5 octobre 2008
DANS LA PEAU DE...
Dans le monde du cinéma français, la mode serait-elle à la production de films qui retracent la vie de quelqu’un ou d’une quelqu’une connu(e) ? On peut se poser aussi la question pour les téléfilms !
En panne de scénarii, les metteurs en scène trouvent des mines d’or dans la vie de célébrités, mortes depuis plus ou moins longtemps.
J’illustrerai mon propos par quelques exemples :
- Michel Bouquet se met dans la peau de Mitterand vieillissant et mourant dans « Le promeneur du champ de Mars ». Bouquet en tirera des fleurs et des roses (socialistes ?) de la part des critiques.
- Marion Cotillard se grime et se métamorphose pour devenir la môme Piaf, ce qui lui vaut un césar et un oscar de la meilleure actrice.
- Sylvie Testud glisse dans la peau de Françoise Sagan en évitant de pousser l’imitation à fond (protection des poumons oblige !). Ainsi naît un téléfilm très remarqué !
Le tout dernier exemple est celui de François-Xavier Demaison qui, à la demande du metteur en scène Antoine de Caunes, va se faufiler dans la morphologie de Coluche ! Coluche, rien que cela !
Le film sortira bientôt et gageons que François-Xavier aura un oscar ou un césar. Car il a fallu que l’intéressé se gave pour gagner 14 kilos et ressembler à l’idole des années 80. Par ailleurs il s’est tapé des dizaines de DVD de sketches pour mémoriser les mimiques, les gestuelles du génial inventeur de « Gérard ». Que voulez-vous, c’est un perfectionniste ! Il dit que l’acteur est comme le peintre : ça peint, au plus proche de la réalité, ça peint ! Que peut De Caunes y faire ? Il ne peut qu’acquiescer !
Donc le film prendra du temps !
Bref, à présent, pour gagner tes lauriers de meilleurs acteurs il faut usurper la place de quelqu’un (mort de préférence).
Alors, à quand l’interprétation de Catherine Deneuve (oui, je sais, elle n’est pas morte…Mais on n’est pas à cela prêt !) par Mélanie Laurent ?
Quand pourra-t-on apprécier le talent de Jean-Baptiste Maunier, enfin sorti de l’étiquette de choriste « gueule d’ange » dans son interprétation de Richard Clayderman (lui, au moins, il est mort…Enfin, médiatiquement parlant !) ?
Mais aurons-nous enfin la joie, l’extrême jouissance, de voir sur grand écran l’immense Christian Clavier en train de nous ressusciter Louis De Funès, son modèle de toujours ?
Oui, amis du petit et du grand écran, amateurs de la pellicule qui ne gâte pas les cheveux, fervents supporters du cinéma, apologistes de la projection en salle obscure, oui, chers amis, la captation des biographies à l’usage de scénarios a de beaux jours devant elle !
En panne de scénarii, les metteurs en scène trouvent des mines d’or dans la vie de célébrités, mortes depuis plus ou moins longtemps.
J’illustrerai mon propos par quelques exemples :
- Michel Bouquet se met dans la peau de Mitterand vieillissant et mourant dans « Le promeneur du champ de Mars ». Bouquet en tirera des fleurs et des roses (socialistes ?) de la part des critiques.
- Marion Cotillard se grime et se métamorphose pour devenir la môme Piaf, ce qui lui vaut un césar et un oscar de la meilleure actrice.
- Sylvie Testud glisse dans la peau de Françoise Sagan en évitant de pousser l’imitation à fond (protection des poumons oblige !). Ainsi naît un téléfilm très remarqué !
Le tout dernier exemple est celui de François-Xavier Demaison qui, à la demande du metteur en scène Antoine de Caunes, va se faufiler dans la morphologie de Coluche ! Coluche, rien que cela !
Le film sortira bientôt et gageons que François-Xavier aura un oscar ou un césar. Car il a fallu que l’intéressé se gave pour gagner 14 kilos et ressembler à l’idole des années 80. Par ailleurs il s’est tapé des dizaines de DVD de sketches pour mémoriser les mimiques, les gestuelles du génial inventeur de « Gérard ». Que voulez-vous, c’est un perfectionniste ! Il dit que l’acteur est comme le peintre : ça peint, au plus proche de la réalité, ça peint ! Que peut De Caunes y faire ? Il ne peut qu’acquiescer !
Donc le film prendra du temps !
Bref, à présent, pour gagner tes lauriers de meilleurs acteurs il faut usurper la place de quelqu’un (mort de préférence).
Alors, à quand l’interprétation de Catherine Deneuve (oui, je sais, elle n’est pas morte…Mais on n’est pas à cela prêt !) par Mélanie Laurent ?
Quand pourra-t-on apprécier le talent de Jean-Baptiste Maunier, enfin sorti de l’étiquette de choriste « gueule d’ange » dans son interprétation de Richard Clayderman (lui, au moins, il est mort…Enfin, médiatiquement parlant !) ?
Mais aurons-nous enfin la joie, l’extrême jouissance, de voir sur grand écran l’immense Christian Clavier en train de nous ressusciter Louis De Funès, son modèle de toujours ?
Oui, amis du petit et du grand écran, amateurs de la pellicule qui ne gâte pas les cheveux, fervents supporters du cinéma, apologistes de la projection en salle obscure, oui, chers amis, la captation des biographies à l’usage de scénarios a de beaux jours devant elle !
MONDE ALLANT VERS...SA PERTE !!
C’est le monde à l’envers voilà que nos banquiers
Qui jadis nous prêtaient de l’argent bon marché
Ou même à taux d’usure, si souvent, sans faillir…
Voilà qu’ils crient à qui veut bien les secourir !
Et les Etats se penchent sur ces nouveaux patients
Qui, puisque les maux filent, ont perdu sang pour sang
Le sang monétisé qui charriait des crédits.
Sang de liquidité dont le reflux s’occit.
Alors mus par l’instinct d’un doux keynésianisme
France, Allemagne, Angleterre, Italie, sans charisme
S’improvisent humblement sauveur des banqueroutes
Sauvons les créanciers d’une ignoble déroute !
Et fi de tous ces dogmes qui figeaient en carcan
Le pouvoir des Etats à devenir agent
Qui phagocytaient bien tout interventionnisme
Qui prônaient les vertus du mot « libéralisme ».
Ils sont beaux nos banquiers dont la bulle en éclat
Fait voler des euros fabriqués ça et là
Sans une adéquation avec la vie réelle
Achetons à crédit, vive le virtuel !
Fabriquer des billets, des lignes de crédit
Et masse monétaire, jolie forme, grossit !
On fabrique l’argent pour acheter monnaie
On s’endette déjà pour payer l’intérêt.
Mais la Terre n’a que faire de ces titres d’argent
Elle ne peut nous donner que les fruits de ses champs
Sa générosité trouve là ses limites
A quoi sert la monnaie quand le sol se délite ?
A quoi sert tout ce flux d’argent numérisé
Le mouvement des fonds trop informatisé ?
Dans un coin du Soudan, un enfant qui se meurt
Se fout bien de Wall Street et des spéculateurs !
Qui jadis nous prêtaient de l’argent bon marché
Ou même à taux d’usure, si souvent, sans faillir…
Voilà qu’ils crient à qui veut bien les secourir !
Et les Etats se penchent sur ces nouveaux patients
Qui, puisque les maux filent, ont perdu sang pour sang
Le sang monétisé qui charriait des crédits.
Sang de liquidité dont le reflux s’occit.
Alors mus par l’instinct d’un doux keynésianisme
France, Allemagne, Angleterre, Italie, sans charisme
S’improvisent humblement sauveur des banqueroutes
Sauvons les créanciers d’une ignoble déroute !
Et fi de tous ces dogmes qui figeaient en carcan
Le pouvoir des Etats à devenir agent
Qui phagocytaient bien tout interventionnisme
Qui prônaient les vertus du mot « libéralisme ».
Ils sont beaux nos banquiers dont la bulle en éclat
Fait voler des euros fabriqués ça et là
Sans une adéquation avec la vie réelle
Achetons à crédit, vive le virtuel !
Fabriquer des billets, des lignes de crédit
Et masse monétaire, jolie forme, grossit !
On fabrique l’argent pour acheter monnaie
On s’endette déjà pour payer l’intérêt.
Mais la Terre n’a que faire de ces titres d’argent
Elle ne peut nous donner que les fruits de ses champs
Sa générosité trouve là ses limites
A quoi sert la monnaie quand le sol se délite ?
A quoi sert tout ce flux d’argent numérisé
Le mouvement des fonds trop informatisé ?
Dans un coin du Soudan, un enfant qui se meurt
Se fout bien de Wall Street et des spéculateurs !
vendredi 3 octobre 2008
ETAT GENE HEROS DE LA PRESSE !
Nicolas Sarkozy lance, ce jeudi, les États Généreux de la presse :
- Il faut que la Presse soit généreuse, qu’elle nous fournisse une bonne information, sans restriction ! Elle ne doit pas être avare en détails, en investigations, en renseignements. Au « pas cité » doit succéder le révélé ! Amen !
- On veut bien, a répondu un journaliste unijambiste mais néanmoins débonnaire, mais il nous manque des moyens ! C’est pas normal de faire un reportage en Afghanistan en restant dans le 15ème arrondissement en raison du prix du transport trop élevé, et ce malgré Ryan Air !
- Il faut vous débrouiller mon vieux, a rétorqué Nicolas, je ne vais quand même pas me faire l’ami de tous les marchands de canons qui rachètent les journaux ! Si vous êtes un journal indépendant...vendez vous !! Augmentez le prix de votre journal, faites venir les publicitaires, activez vous en fin libéral ! Remuez vous ! Le temps presse !
- Presse, presse, a lancé un syndicaliste CGT du livre ! On n’a que cela dans la bouche (de métro) ! Les gratuits nous font de l’ombre ! On rame !
- Je vous ai compris, reprend Nicolas excédé, mais bon... Tout le monde doit pouvoir vivre ! C’est la pluralité des canards ; certains sont pâles mais d’autres vont barbe ôter !
- Barbe, quelle barbe, lance un rédacteur en chef cyclothymique.
- Mais la barbe du mauvais prophète ! Heureux qui ôte la barbe du prophète maudit pour devenir objectif et chasser le dogme ou la subjectivité !
- Facile à dire, s’insurge un pigiste du Dauphiné, pas tout à fait libéré (le pigiste) de ses complexes d’infériorité. Si vous croyez que c’est facile d’être objectif ; on aime bien jouer les focus, heu..les faux culs !
- On se clame, hurle Brunot Frappat, on m’a nommé pour réfléchir à l’avenir des métiers du journalisme. Je le ferai sans peur et sans reproche, bayardement !
- Ah, oui ? Et comment comptes-tu modifier nos conditions de travail, lui lance un gratte-papier polémiste à forte dose pamphlétaire qu’il faut parfois, quand il est trop enflé
taire !
- C’est simple ! Je vais réfléchir et je vous donnerai ma réponse par voie de presse !
- Il faut que la Presse soit généreuse, qu’elle nous fournisse une bonne information, sans restriction ! Elle ne doit pas être avare en détails, en investigations, en renseignements. Au « pas cité » doit succéder le révélé ! Amen !
- On veut bien, a répondu un journaliste unijambiste mais néanmoins débonnaire, mais il nous manque des moyens ! C’est pas normal de faire un reportage en Afghanistan en restant dans le 15ème arrondissement en raison du prix du transport trop élevé, et ce malgré Ryan Air !
- Il faut vous débrouiller mon vieux, a rétorqué Nicolas, je ne vais quand même pas me faire l’ami de tous les marchands de canons qui rachètent les journaux ! Si vous êtes un journal indépendant...vendez vous !! Augmentez le prix de votre journal, faites venir les publicitaires, activez vous en fin libéral ! Remuez vous ! Le temps presse !
- Presse, presse, a lancé un syndicaliste CGT du livre ! On n’a que cela dans la bouche (de métro) ! Les gratuits nous font de l’ombre ! On rame !
- Je vous ai compris, reprend Nicolas excédé, mais bon... Tout le monde doit pouvoir vivre ! C’est la pluralité des canards ; certains sont pâles mais d’autres vont barbe ôter !
- Barbe, quelle barbe, lance un rédacteur en chef cyclothymique.
- Mais la barbe du mauvais prophète ! Heureux qui ôte la barbe du prophète maudit pour devenir objectif et chasser le dogme ou la subjectivité !
- Facile à dire, s’insurge un pigiste du Dauphiné, pas tout à fait libéré (le pigiste) de ses complexes d’infériorité. Si vous croyez que c’est facile d’être objectif ; on aime bien jouer les focus, heu..les faux culs !
- On se clame, hurle Brunot Frappat, on m’a nommé pour réfléchir à l’avenir des métiers du journalisme. Je le ferai sans peur et sans reproche, bayardement !
- Ah, oui ? Et comment comptes-tu modifier nos conditions de travail, lui lance un gratte-papier polémiste à forte dose pamphlétaire qu’il faut parfois, quand il est trop enflé
taire !
- C’est simple ! Je vais réfléchir et je vous donnerai ma réponse par voie de presse !
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