Un blog qui suit l'actualité et cherche à y trouver des éléments humoristiques. Un blog aussi poétique quand il le faut... Avec de la gravité.
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vendredi 29 mai 2009
DURA LEX SED LEX (SUITE...)
Michèle Alliot Marie
C’est vraiment la loi-maître
La loi qui nous marie
Au goût de se soumettre.
Quel suave parfum
Du fruit sécuritaire
Exhalé par ses soins
De son grand ministère.
C’est la fin des chauffards
Qui tuaient sur nos voies
La vitesse au rencard
C’est l’objet de sa loi !
Une loi projetée
Pour punir la vitesse
Conduite alcoolisée
Les excès de l’ivresse.
Conducteurs sans permis
Craignez la loi future
Elle prévoit l’infamie
D’un retrait de voiture !
Au-delà de cinquante
Kilomètres au dessus
Des limites décentes
On ne vous ratera plus !
Privé d’automobile
Vous serez acculé
Aux transports de nos villes
Ou bien aux TGV.
Mais sur ce dernier point
Vous serez rassuré
Car Michèle veille au grain
Protège l’usager.
Car le vilain Coupat
Terroriste du train
Surveillé se verra !
Qu’il se comporte bien !
Michèle l’a relâché
Du carcan provisoire
Mais elle dit surveiller
Cet assassin notoire.
Pas question de montrer
En ces temps d’élections
Un visage apaisé
Rosé de rédemption !
Débordée à sa droite
Par Xavier le félon
Elle serait maladroite
D’avoir le cœur trop bon.
Si elle feint de douter
Des mesures de Darcos :
La fouille des écoliers
Et les flics pour les gosses
C’est pour discréditer
Aux yeux de Sarkozy
Ce ministre emprunté
Qui empiète sa vie.
Et quand l’être fadasse
Aux yeux du souverain
Aura perdu la grâce
Elle reprendra la main !
Quelques mois passeront
Le temps de constater
Deux ou trois agressions
Dans l’enclos d’un lycée
Et vous verrez Michèle
Plus vive que jamais
Prôner à grande échelle
Des portiques aux entrées.
Et vous verrez Michèle
Plus pimpante que tout
Dénicher les rebelles
Et les petits voyous !
A grands coups de Police
Aux abords des écoles
A moins qu’une milice
Se colle au protocole.
Et vous verrez Michèle
Tirer les bénéfices
De la baisse officielle
Des juvéniles vices !
C’est vraiment la loi-maître
La loi qui nous marie
Au goût de se soumettre.
Quel suave parfum
Du fruit sécuritaire
Exhalé par ses soins
De son grand ministère.
C’est la fin des chauffards
Qui tuaient sur nos voies
La vitesse au rencard
C’est l’objet de sa loi !
Une loi projetée
Pour punir la vitesse
Conduite alcoolisée
Les excès de l’ivresse.
Conducteurs sans permis
Craignez la loi future
Elle prévoit l’infamie
D’un retrait de voiture !
Au-delà de cinquante
Kilomètres au dessus
Des limites décentes
On ne vous ratera plus !
Privé d’automobile
Vous serez acculé
Aux transports de nos villes
Ou bien aux TGV.
Mais sur ce dernier point
Vous serez rassuré
Car Michèle veille au grain
Protège l’usager.
Car le vilain Coupat
Terroriste du train
Surveillé se verra !
Qu’il se comporte bien !
Michèle l’a relâché
Du carcan provisoire
Mais elle dit surveiller
Cet assassin notoire.
Pas question de montrer
En ces temps d’élections
Un visage apaisé
Rosé de rédemption !
Débordée à sa droite
Par Xavier le félon
Elle serait maladroite
D’avoir le cœur trop bon.
Si elle feint de douter
Des mesures de Darcos :
La fouille des écoliers
Et les flics pour les gosses
C’est pour discréditer
Aux yeux de Sarkozy
Ce ministre emprunté
Qui empiète sa vie.
Et quand l’être fadasse
Aux yeux du souverain
Aura perdu la grâce
Elle reprendra la main !
Quelques mois passeront
Le temps de constater
Deux ou trois agressions
Dans l’enclos d’un lycée
Et vous verrez Michèle
Plus vive que jamais
Prôner à grande échelle
Des portiques aux entrées.
Et vous verrez Michèle
Plus pimpante que tout
Dénicher les rebelles
Et les petits voyous !
A grands coups de Police
Aux abords des écoles
A moins qu’une milice
Se colle au protocole.
Et vous verrez Michèle
Tirer les bénéfices
De la baisse officielle
Des juvéniles vices !
jeudi 28 mai 2009
DSK ET LES SOEURS SOURIRE
Dominique, nique, nique
Regarda tout simplement,
Le beau tableau charmant
Des deux sœurs qu’un contentieux
Divisait à qui mieux mieux.
A l’époque son Ministère
A Bercy faisait la loi
Dominique gestionnaire
Faisait fi de ces deux là !
Dominique, nique, nique
Les évitait simplement
Il se voulait si grand
Qu’en tous chemins, en tous lieux,
Il les dédaignait un peu
Il les dédaignait un peu !
Certains jours un peu critique
Il disait : « Martine conduit
Une politique inique
Des 35 heures sans répit ! »
Dominique, nique, nique
Se moquait éperdument
D’elles au gouvernement
En tous chemins, en tous lieux,
Il disait : « Ségo mon Dieu
Ca va pas de mieux en mieux ! »
Son esprit qui manigance
Recherchait des mises à pied
Pour ces femmes dont l’indigence
De réflexion l’affligeait !
Dominique, nique, nique
Se moquait éhontément
Des dames sans allant.
En tous chemins, en tous lieux,
ll jugeait très désastreux
Leurs idées au noyau creux.
Il prêcha pour son école
Sociale démocrate au cœur
Pragmatique en sa parole
Tout à gauche mes Seigneurs !
Dominique, nique, nique
A Ségolène fit tant
Qu’elle en pleura vraiment !
En tous chemins, en tous lieux,
Il la descendait des Cieux
Et de ses rites à Bon Dieu !
Chez Dominique et ses frères,
Le Sarkozysme planait
Des honneurs lui présentèrent
Un bel FMI doré !
Dominique, nique, nique
S'en alla le cœur content
Gérer des flots d’argent
En tous chemins, en tous lieux,
Il finance pays gueux
Tant ruinés, nécessiteux !
Dominique vit en rêve,
Un retour en sol français
Pour bouter les fausses vierges
Et rentrer à l’Elysée !
Dominique, nique, nique
Observa en s’amusant,
Le faux recollement
Des ces deux être orgueilleux
Vipères au venin hargneux
Qui s’affrontaient dans les yeux !
Dominique, en militaire
Stratège en terrain miné
Attend la fin de la guerre
Qui déchire les damnées..
Dominique, nique, nique
Reviendra, tout simplement
Glorieux et conquérant
Ségolène pas au mieux
Et Martine, ton souffreteux
Maudiront ce faux Bon Dieu !
Regarda tout simplement,
Le beau tableau charmant
Des deux sœurs qu’un contentieux
Divisait à qui mieux mieux.
A l’époque son Ministère
A Bercy faisait la loi
Dominique gestionnaire
Faisait fi de ces deux là !
Dominique, nique, nique
Les évitait simplement
Il se voulait si grand
Qu’en tous chemins, en tous lieux,
Il les dédaignait un peu
Il les dédaignait un peu !
Certains jours un peu critique
Il disait : « Martine conduit
Une politique inique
Des 35 heures sans répit ! »
Dominique, nique, nique
Se moquait éperdument
D’elles au gouvernement
En tous chemins, en tous lieux,
Il disait : « Ségo mon Dieu
Ca va pas de mieux en mieux ! »
Son esprit qui manigance
Recherchait des mises à pied
Pour ces femmes dont l’indigence
De réflexion l’affligeait !
Dominique, nique, nique
Se moquait éhontément
Des dames sans allant.
En tous chemins, en tous lieux,
ll jugeait très désastreux
Leurs idées au noyau creux.
Il prêcha pour son école
Sociale démocrate au cœur
Pragmatique en sa parole
Tout à gauche mes Seigneurs !
Dominique, nique, nique
A Ségolène fit tant
Qu’elle en pleura vraiment !
En tous chemins, en tous lieux,
Il la descendait des Cieux
Et de ses rites à Bon Dieu !
Chez Dominique et ses frères,
Le Sarkozysme planait
Des honneurs lui présentèrent
Un bel FMI doré !
Dominique, nique, nique
S'en alla le cœur content
Gérer des flots d’argent
En tous chemins, en tous lieux,
Il finance pays gueux
Tant ruinés, nécessiteux !
Dominique vit en rêve,
Un retour en sol français
Pour bouter les fausses vierges
Et rentrer à l’Elysée !
Dominique, nique, nique
Observa en s’amusant,
Le faux recollement
Des ces deux être orgueilleux
Vipères au venin hargneux
Qui s’affrontaient dans les yeux !
Dominique, en militaire
Stratège en terrain miné
Attend la fin de la guerre
Qui déchire les damnées..
Dominique, nique, nique
Reviendra, tout simplement
Glorieux et conquérant
Ségolène pas au mieux
Et Martine, ton souffreteux
Maudiront ce faux Bon Dieu !
mardi 26 mai 2009
lundi 25 mai 2009
RACHIDA GARDE DES SONGES
C’est comme dans un tableau
De Berthe Morisot
Rachida est penchée
Vers l’ange retrouvée
Elle contemple sans fin
La bouche et les traits fins
Après avoir passé
Vingt heures à négocier.
Le milieu carcéral
Vieille carcasse râle
Lui lance des défis
De conditions de vie.
La peine des matons
Imprègne les prisons
Il manque de moyens
Matériels et humains.
Rachida a songé
En cette dure journée
A Zohra douce enfant
Dans son berceau tout blanc !
Sa fierté, son bonheur
Son infinie candeur !
Cette grâce infinie
Qui gomme ses ennuis.
L’élection se rapproche
Elle sent bien qu’elle décroche.
Laissons faire Barnier
Car c’est un vieux routier !
Les prisons la secouent
Quand les suicides clouent
Son moral à la croix
Elle repense à Zohra.
Sous le poids de cent heures
A gérer les rancœurs
Les ingrats quolibets
Rachida se refait.
Se refait en lisant
Sur le petit front blanc
L’espoir d’un avenir
De chants et de sourires.
C’est comme dans un tableau
De Berthe Morisot
Rachida s’est penchée
Vers l’ange ensommeillé.
Des étoiles en ses yeux
Brillent de mille feux
Et le temps d’un instant
Elle s’apprécie maman...
De Berthe Morisot
Rachida est penchée
Vers l’ange retrouvée
Elle contemple sans fin
La bouche et les traits fins
Après avoir passé
Vingt heures à négocier.
Le milieu carcéral
Vieille carcasse râle
Lui lance des défis
De conditions de vie.
La peine des matons
Imprègne les prisons
Il manque de moyens
Matériels et humains.
Rachida a songé
En cette dure journée
A Zohra douce enfant
Dans son berceau tout blanc !
Sa fierté, son bonheur
Son infinie candeur !
Cette grâce infinie
Qui gomme ses ennuis.
L’élection se rapproche
Elle sent bien qu’elle décroche.
Laissons faire Barnier
Car c’est un vieux routier !
Les prisons la secouent
Quand les suicides clouent
Son moral à la croix
Elle repense à Zohra.
Sous le poids de cent heures
A gérer les rancœurs
Les ingrats quolibets
Rachida se refait.
Se refait en lisant
Sur le petit front blanc
L’espoir d’un avenir
De chants et de sourires.
C’est comme dans un tableau
De Berthe Morisot
Rachida s’est penchée
Vers l’ange ensommeillé.
Des étoiles en ses yeux
Brillent de mille feux
Et le temps d’un instant
Elle s’apprécie maman...
vendredi 22 mai 2009
SOCIETE INVISIBLE
Il est une société invisible
A l’orée de la sphère travailleuse
Microcosme voué à l’impossible
Ruiné par les idées prétentieuses.
Un décor sans confort
D’où ne battront jamais les cœurs
Au rythme des ordinateurs.
Une chambre pour cinq
Des inconnus qui trinquent
Pour oublier les rides au temps
Qui ne suit plus le cours du vent...
Il est une société invisible
Cachée par les affiches lumineuses
Un bas fond qui s’afficherait nuisible
Au regard de nos cités glorieuses.
Une agence d’espérance
Jusqu’au phobie des fins de droit
La soupe attendue dans le froid.
L’épuisant tourbillon
Entre peur et prison
Pour s’échiner en un sanglot
Dans l’anonyme ghetto.
Il est une société invisible
Tapie sous les affiches lumineuses
Un fantôme enfanté dans l’indicible
Au regard de nos cités glorieuses.
Des quartiers écartés
Alourdis d’un passé de brume
Mains ridées, cheminées qui fument.
L’héritage maudit
Qui s’accroche à la vie
Dans un quotidien démotivé
Décervelé, désœuvré.
Il est une société invisible
Plongée dans la plus belle indifférence
Où toute chair apparaît insensible
A la blessure nourrie depuis l’enfance.
Un parler écorché
Des mots bravant la solitude
Maladroits dans l’incertitude.
Des enfants sans école
Des livres sans paroles
Trop d’écueils en ce dur sillage
Pour assumer le voyage.
Il est une société invisible
Qui grandit, tapie à l’ombre des bourses
Ces veaux d’or aux reflets indivisibles.
Une communauté plus dans la course !
Il est une société cachée
A ceux qui sont du bon côté !
A l’orée de la sphère travailleuse
Microcosme voué à l’impossible
Ruiné par les idées prétentieuses.
Un décor sans confort
D’où ne battront jamais les cœurs
Au rythme des ordinateurs.
Une chambre pour cinq
Des inconnus qui trinquent
Pour oublier les rides au temps
Qui ne suit plus le cours du vent...
Il est une société invisible
Cachée par les affiches lumineuses
Un bas fond qui s’afficherait nuisible
Au regard de nos cités glorieuses.
Une agence d’espérance
Jusqu’au phobie des fins de droit
La soupe attendue dans le froid.
L’épuisant tourbillon
Entre peur et prison
Pour s’échiner en un sanglot
Dans l’anonyme ghetto.
Il est une société invisible
Tapie sous les affiches lumineuses
Un fantôme enfanté dans l’indicible
Au regard de nos cités glorieuses.
Des quartiers écartés
Alourdis d’un passé de brume
Mains ridées, cheminées qui fument.
L’héritage maudit
Qui s’accroche à la vie
Dans un quotidien démotivé
Décervelé, désœuvré.
Il est une société invisible
Plongée dans la plus belle indifférence
Où toute chair apparaît insensible
A la blessure nourrie depuis l’enfance.
Un parler écorché
Des mots bravant la solitude
Maladroits dans l’incertitude.
Des enfants sans école
Des livres sans paroles
Trop d’écueils en ce dur sillage
Pour assumer le voyage.
Il est une société invisible
Qui grandit, tapie à l’ombre des bourses
Ces veaux d’or aux reflets indivisibles.
Une communauté plus dans la course !
Il est une société cachée
A ceux qui sont du bon côté !
LA LANGUE DE BOIS
Politiciens
Police y tient
Vous nous faites
Le discours sécuritaire.
Mais moi j’ois
La langue de bois
Pour les banlieues
Des débats sur les bancs ont lieu
Mais dépité j’y crois peu
Car moi j’ois
La langue de bois
Il y a la langue d’ébène
Pour les éboueurs, les chauffeurs de bennes
Les émigrés de la misère
Dont le sale air
Implique un délit de faciès.
Il y a la langue de boulot
Pour alléguer qu’il n’y en a pas de trop
Mais qu’on va tout faire illico
Pour en créer
Ca fait 20 ans qu’on nous promet !
C’est à l’ENA
Cette année là
Qu’ils apprirent
Bien des mensonges et les pires
Instaurant de surcroît
La loi de la langue de bois.
Tant de promesses
Que dans la voix les mots pressent
Et que renchérit la presse
Divulguant sans émoi
Les mots de la langue de bois.
Il y a la langue d’if
Le fameux si de la langue de Shakespeare
Comme chez les anglais tout s’empire
Quand on promet
Avec des « si » chloroformés.
Il y a la langue de chêne
Pour tout orateur dont les mots déchaînent
L’utopie en traits de slogans
Faudrait pourtant
Ne pas nous prendre pour des glands
Rodomontades
Billevesées ou balivernes
Votre discours c’est Jules Verne
Le talent en deçà
Affligeante langue de bois.
Mauvais prophète
Sans concurrent qui la guette
L’unique pensée secrète
Des idées sans éclats
Revoilà la langue de bois..
Voici la langue de frêne
Pour le trublion qui soudain se freine
Retenant toute frénésie
Dans le souci
De ne pas troubler nos ennuis
C’est la langue du noyer
Qui vient immerger toutes nos idées
Et tous nos débats tôt bâtards
Sont en retard
Il faudrait changer notre histoire !
Il serait temps
Car tout ce bois qu’on déverse
Fera le lit des perverses
Idées qu’en d’autre fois
Nous assénaient les sournois.
A tant parler
Sans jugement et sans âme
On attribuera les armes
A qui montre du doigt
Les maux qu’on ne soigne pas !
Police y tient
Vous nous faites
Le discours sécuritaire.
Mais moi j’ois
La langue de bois
Pour les banlieues
Des débats sur les bancs ont lieu
Mais dépité j’y crois peu
Car moi j’ois
La langue de bois
Il y a la langue d’ébène
Pour les éboueurs, les chauffeurs de bennes
Les émigrés de la misère
Dont le sale air
Implique un délit de faciès.
Il y a la langue de boulot
Pour alléguer qu’il n’y en a pas de trop
Mais qu’on va tout faire illico
Pour en créer
Ca fait 20 ans qu’on nous promet !
C’est à l’ENA
Cette année là
Qu’ils apprirent
Bien des mensonges et les pires
Instaurant de surcroît
La loi de la langue de bois.
Tant de promesses
Que dans la voix les mots pressent
Et que renchérit la presse
Divulguant sans émoi
Les mots de la langue de bois.
Il y a la langue d’if
Le fameux si de la langue de Shakespeare
Comme chez les anglais tout s’empire
Quand on promet
Avec des « si » chloroformés.
Il y a la langue de chêne
Pour tout orateur dont les mots déchaînent
L’utopie en traits de slogans
Faudrait pourtant
Ne pas nous prendre pour des glands
Rodomontades
Billevesées ou balivernes
Votre discours c’est Jules Verne
Le talent en deçà
Affligeante langue de bois.
Mauvais prophète
Sans concurrent qui la guette
L’unique pensée secrète
Des idées sans éclats
Revoilà la langue de bois..
Voici la langue de frêne
Pour le trublion qui soudain se freine
Retenant toute frénésie
Dans le souci
De ne pas troubler nos ennuis
C’est la langue du noyer
Qui vient immerger toutes nos idées
Et tous nos débats tôt bâtards
Sont en retard
Il faudrait changer notre histoire !
Il serait temps
Car tout ce bois qu’on déverse
Fera le lit des perverses
Idées qu’en d’autre fois
Nous assénaient les sournois.
A tant parler
Sans jugement et sans âme
On attribuera les armes
A qui montre du doigt
Les maux qu’on ne soigne pas !
COMMENT DEMINER DES MINEURS ?
- On ne ne ttraitte pas pas lesles zennf..les enfants , sutttouuttout très jeunes? comm..me des heu des heu des zaza des zadultes !
Ainsi s’exprimait, dans son style inimitable de débit saccadé sur fond de voix haut perchée, notre Ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie (MAM) qui, pour une fois, s’occupait de l’Extérieur.
Elle venait de s’occuper de l’extérieur de Paris pour se plonger dans les remous bordelais. Car à Bordereaux la Police boit le calice jusqu’à la lie.
Ils sont au bord de l’aise et risquent de tomber dans les abysses de l’opprobre !
Les policiers qui dans ce coin de Gironde (et qui ont tous de la bouteille) sont perpétuellement stigmatisés dès qu’on imagine qu’ils se sont conduits comme des gamins.
Alors que, ne l’oublions pas, ce sont des adultes !
Il y a quelques temps, des cyclistes bordelais complètement bourrés (c’est la région qui veut cela) avaient passé une garde à vue quelque peu espiègle : descente dans les sous sols, déshabillage… Du moins, c’est ce qu’ils alléguaient à léguer le discrédit jusqu’à l’envi !
Ils auraient presque accusé les policiers de s’être comportés comme de vilains gamins facétieux cherchant le bizutage intronisant !
Des policiers aussi compétents et reconnus comme tels par MAM !
Heureusement, nul n’a cru à la véracité des plaintes des dix cyclotouristes bourrés ! On leur a même conseillé de décuver ailleurs !
Et puis, on a atteint les sommets de délation teintée d’un soupçon de calomnie.
Mardi dernier, à Floirac, près de Bordeaux (33) les autorités policières ont, une fois de plus, essuyé les diatribes à leur égard.
Encore une histoire de vélo !
Cette fois-ci ils ont arrêté de terribles délinquants de six et dix ans, bien connus dans la région pour des tentatives de vols de nougats, barres de réglisse et crachat dans les caniveaux ! Mais, en cette occasion, ils avaient dépassé les bornes (de pistes cyclables) car avaient cherché à voler un vélo !
Après les avoir interpellés, les six policiers les ont entendus dans le commissariat entre une heure et demie et deux heures si l’on s’en réfère à la vieille horloge style Louis XV de la noble demeure policière. Une vieille mécanique bien mal en point depuis l’instauration des 35 heures.
Et c’est là que les policiers auraient dû faire attention à ne pas traiter les enfants comme des adultes !
Les gamins ont commencé à hurler des insanités dans les oreilles du doyen des policiers. Un pauvre gardien de la paix, à deux mois de la retraite, et qui a eu ses tympans crevés dès la première décharge de décibels juvéniles !
Et pas moyen de trouver des boules « Quies » ou même du coton hydrophile pour protéger les oreilles sensibles du quinquagénaire.
Un autre policier, de 10 ans son cadet, s’en mord encore les doigts d’avoir fait passer une audition des deux morveux !
Durant l’interrogatoire, ils ont déféqué sec et le pauvre fonctionnaire a dû faire des pieds et des mains pour laver les infortunés et trouver du linge de rechange. Il a dû appeler sa femme, avec son propre portable à forfait de 5 € renouvelable, pour que cette dernière apporte du linge propre. Car évidemment les commissariats de police ne sont pas pourvus de culottes et slips pour enfants, voire de couches-culottes pour très jeunes délinquants.
Les fonctionnaires de Police manquent vraiment de moyens matériels. Et, il est vrai, que le Ministère de l’Intérieur ferait mieux d’orienter les budgets pour doter les centres d’interrogatoire de fournitures adaptées aux gardes à vue de jeunes freluquets.
Et oui, comme le dit MAM, on ne traite pas les enfants, surtout très jeunes, comme on traite les adultes.
A bon entendeur, salut !!
Ainsi s’exprimait, dans son style inimitable de débit saccadé sur fond de voix haut perchée, notre Ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie (MAM) qui, pour une fois, s’occupait de l’Extérieur.
Elle venait de s’occuper de l’extérieur de Paris pour se plonger dans les remous bordelais. Car à Bordereaux la Police boit le calice jusqu’à la lie.
Ils sont au bord de l’aise et risquent de tomber dans les abysses de l’opprobre !
Les policiers qui dans ce coin de Gironde (et qui ont tous de la bouteille) sont perpétuellement stigmatisés dès qu’on imagine qu’ils se sont conduits comme des gamins.
Alors que, ne l’oublions pas, ce sont des adultes !
Il y a quelques temps, des cyclistes bordelais complètement bourrés (c’est la région qui veut cela) avaient passé une garde à vue quelque peu espiègle : descente dans les sous sols, déshabillage… Du moins, c’est ce qu’ils alléguaient à léguer le discrédit jusqu’à l’envi !
Ils auraient presque accusé les policiers de s’être comportés comme de vilains gamins facétieux cherchant le bizutage intronisant !
Des policiers aussi compétents et reconnus comme tels par MAM !
Heureusement, nul n’a cru à la véracité des plaintes des dix cyclotouristes bourrés ! On leur a même conseillé de décuver ailleurs !
Et puis, on a atteint les sommets de délation teintée d’un soupçon de calomnie.
Mardi dernier, à Floirac, près de Bordeaux (33) les autorités policières ont, une fois de plus, essuyé les diatribes à leur égard.
Encore une histoire de vélo !
Cette fois-ci ils ont arrêté de terribles délinquants de six et dix ans, bien connus dans la région pour des tentatives de vols de nougats, barres de réglisse et crachat dans les caniveaux ! Mais, en cette occasion, ils avaient dépassé les bornes (de pistes cyclables) car avaient cherché à voler un vélo !
Après les avoir interpellés, les six policiers les ont entendus dans le commissariat entre une heure et demie et deux heures si l’on s’en réfère à la vieille horloge style Louis XV de la noble demeure policière. Une vieille mécanique bien mal en point depuis l’instauration des 35 heures.
Et c’est là que les policiers auraient dû faire attention à ne pas traiter les enfants comme des adultes !
Les gamins ont commencé à hurler des insanités dans les oreilles du doyen des policiers. Un pauvre gardien de la paix, à deux mois de la retraite, et qui a eu ses tympans crevés dès la première décharge de décibels juvéniles !
Et pas moyen de trouver des boules « Quies » ou même du coton hydrophile pour protéger les oreilles sensibles du quinquagénaire.
Un autre policier, de 10 ans son cadet, s’en mord encore les doigts d’avoir fait passer une audition des deux morveux !
Durant l’interrogatoire, ils ont déféqué sec et le pauvre fonctionnaire a dû faire des pieds et des mains pour laver les infortunés et trouver du linge de rechange. Il a dû appeler sa femme, avec son propre portable à forfait de 5 € renouvelable, pour que cette dernière apporte du linge propre. Car évidemment les commissariats de police ne sont pas pourvus de culottes et slips pour enfants, voire de couches-culottes pour très jeunes délinquants.
Les fonctionnaires de Police manquent vraiment de moyens matériels. Et, il est vrai, que le Ministère de l’Intérieur ferait mieux d’orienter les budgets pour doter les centres d’interrogatoire de fournitures adaptées aux gardes à vue de jeunes freluquets.
Et oui, comme le dit MAM, on ne traite pas les enfants, surtout très jeunes, comme on traite les adultes.
A bon entendeur, salut !!
mercredi 20 mai 2009
LA CHIANTE AU LOGIS (CARCERAL) EN FILM
Novembre 2015.
Par une sale journée d’automne, la Cour d’Assises de Paris se voit privée d’un procès somptueux qui lui aurait donné une superbe auréole.
Une fois de plus l’Eglise de Scientologie a tiré son épingle du jeu en évitant le scandale d’un procès retentissant.
Après avoir limité la casse en 2009, devant le Tribunal Correctionnel de la même ville, l’Eglise aux multiples scandales évite l’infamie des Assises en plaidant « coupable ».
Coupable d’avoir orchestré des crimes pour le bien être de la cause sectaire ! En l’occurrence, les protagonistes ont été les instigateurs d’une terrible machination qui a généré un suicide collectif à l’instar de ce qu’avait commandité, quelques années auparavant, l’Ordre du Temple Solaire.
Un vrai carnage qui a provoqué la mort de 5 hommes, 8 femmes, 3 enfants, un caniche et un pit bull d’origine hongroise selon la Police mais l’enquête poursuit son cours…
La cour d’assises attend de pied ferme les coupables présumés ! Seulement voilà : en 2009, juste après le pseudo procès intenté contre la secte, un Comité de réflexion sur la justice pénale avait suggéré de copier les Américains : introduire le « plaider coupable, sous certaines conditions, devant la Cour d’Assises ».
La suggestion avait été retenue et la réforme pénale avait été adoptée en début 2010 !
Une brèche ouverte pour les avocats de la défense de la Scientologie !
Les 126 personnes mises en examen plaident coupable, votre Honneur, à l’unanimité !
Elles sont coachées par des avocats très au fait des nouveautés pénales :
- Si vous plaidez coupable dans les 8 jours on vous fait une remise de 10 % sur le temps d’incarcération avec une ristourne éventuelle de 15 % au milieu de la détention. En revanche, si vous plaidez coupable dans les 30 jours la remise ne s’élève plus qu’à 5 % et la ristourne disparaît. Profitez également d’une offre promotionnelle à la Prison de la Santé où pour quelques repentances supplémentaires on vous propose une cellule quatre étoiles avec jacusi et magnétoscope !
Vous pensez si les gourous de la Scientologie sautent sur l’occasion !
Du jour au lendemain la surpopulation carcérale française croît de + 0,2 % !
Novembre 2016
La surpopulation carcérale accuse une décrue dont se félicite la Garde des Sceaux, Rachida Dati, toujours en poste malgré un nombre incalculable de critiques par jours : 851,5 de diatribesl par journées !
La cause ?
Dans les prisons, où ont été accueillis les gourous scientologues, se développent des ateliers de remise en forme neurologique, de relaxation destructurante , des séances de lavage cérébral à la sauce carcéral, sous le regard bienveillant des matons.
Couper la tête ne suffit pas ! Il faut éradiquer les racines !
Mais l’administration pénitentiaire est trop contente de pouvoir utiliser les talents des scientologues pour soigner les plaies morales des détenus de trop longues peines. Les prisons font alors penser à ces dictatures sud-américaines des années 60-70 qui savaient si bien employer les compétences de nazis réfugiés, pour d’excellents séances de tortures et d’interrogatoire performant.
Résultats attendus : au lieu de soigner les blessures de l’âme l’Eglise maudite, derrière les barreaux, distille son venin nauséabond ainsi qu’elle le faisait lorsqu’elle avait pignon sur rue, dans le monde libre.
Le taux de suicide augmente dans les geôles ! Mais on ne peut plus condamner la Scientologie : elle est déjà sous les verrous !!
Janvier 2017
Le chef des Scientologues finit par se tirer une balle dans la tête au fond de la cellule 547 de la Prison de la Santé.
Mars 2018
LUc Besson, plus en forme que jamais, décide de réaliser le film qui retrace tous ces tristes évènements. Le casting est plus que conséquent : Tapie, Delon, Cantona, Dieudonné, Charlotte Gainsbourg….
Mai 2020
Besson obtient la palme du Festival de Cannes pour ce film exceptionnel
Rideau !
PS : Et Besson ? Et mes droits d’auteur ?
Par une sale journée d’automne, la Cour d’Assises de Paris se voit privée d’un procès somptueux qui lui aurait donné une superbe auréole.
Une fois de plus l’Eglise de Scientologie a tiré son épingle du jeu en évitant le scandale d’un procès retentissant.
Après avoir limité la casse en 2009, devant le Tribunal Correctionnel de la même ville, l’Eglise aux multiples scandales évite l’infamie des Assises en plaidant « coupable ».
Coupable d’avoir orchestré des crimes pour le bien être de la cause sectaire ! En l’occurrence, les protagonistes ont été les instigateurs d’une terrible machination qui a généré un suicide collectif à l’instar de ce qu’avait commandité, quelques années auparavant, l’Ordre du Temple Solaire.
Un vrai carnage qui a provoqué la mort de 5 hommes, 8 femmes, 3 enfants, un caniche et un pit bull d’origine hongroise selon la Police mais l’enquête poursuit son cours…
La cour d’assises attend de pied ferme les coupables présumés ! Seulement voilà : en 2009, juste après le pseudo procès intenté contre la secte, un Comité de réflexion sur la justice pénale avait suggéré de copier les Américains : introduire le « plaider coupable, sous certaines conditions, devant la Cour d’Assises ».
La suggestion avait été retenue et la réforme pénale avait été adoptée en début 2010 !
Une brèche ouverte pour les avocats de la défense de la Scientologie !
Les 126 personnes mises en examen plaident coupable, votre Honneur, à l’unanimité !
Elles sont coachées par des avocats très au fait des nouveautés pénales :
- Si vous plaidez coupable dans les 8 jours on vous fait une remise de 10 % sur le temps d’incarcération avec une ristourne éventuelle de 15 % au milieu de la détention. En revanche, si vous plaidez coupable dans les 30 jours la remise ne s’élève plus qu’à 5 % et la ristourne disparaît. Profitez également d’une offre promotionnelle à la Prison de la Santé où pour quelques repentances supplémentaires on vous propose une cellule quatre étoiles avec jacusi et magnétoscope !
Vous pensez si les gourous de la Scientologie sautent sur l’occasion !
Du jour au lendemain la surpopulation carcérale française croît de + 0,2 % !
Novembre 2016
La surpopulation carcérale accuse une décrue dont se félicite la Garde des Sceaux, Rachida Dati, toujours en poste malgré un nombre incalculable de critiques par jours : 851,5 de diatribesl par journées !
La cause ?
Dans les prisons, où ont été accueillis les gourous scientologues, se développent des ateliers de remise en forme neurologique, de relaxation destructurante , des séances de lavage cérébral à la sauce carcéral, sous le regard bienveillant des matons.
Couper la tête ne suffit pas ! Il faut éradiquer les racines !
Mais l’administration pénitentiaire est trop contente de pouvoir utiliser les talents des scientologues pour soigner les plaies morales des détenus de trop longues peines. Les prisons font alors penser à ces dictatures sud-américaines des années 60-70 qui savaient si bien employer les compétences de nazis réfugiés, pour d’excellents séances de tortures et d’interrogatoire performant.
Résultats attendus : au lieu de soigner les blessures de l’âme l’Eglise maudite, derrière les barreaux, distille son venin nauséabond ainsi qu’elle le faisait lorsqu’elle avait pignon sur rue, dans le monde libre.
Le taux de suicide augmente dans les geôles ! Mais on ne peut plus condamner la Scientologie : elle est déjà sous les verrous !!
Janvier 2017
Le chef des Scientologues finit par se tirer une balle dans la tête au fond de la cellule 547 de la Prison de la Santé.
Mars 2018
LUc Besson, plus en forme que jamais, décide de réaliser le film qui retrace tous ces tristes évènements. Le casting est plus que conséquent : Tapie, Delon, Cantona, Dieudonné, Charlotte Gainsbourg….
Mai 2020
Besson obtient la palme du Festival de Cannes pour ce film exceptionnel
Rideau !
PS : Et Besson ? Et mes droits d’auteur ?
mardi 19 mai 2009
LAIT DANS LA MELEE
Les producteurs de lait mettent les bouchées doubles dans les actions revendicatrices et ce, dès ce mardi 19 mai. 09
Ils protestent contre une chute du prix pays aux producteurs et exigent une nouvelle copie de la politique laitière européenne. Rien que cela ! Mais d’où vient tant de véhémence ?
Les éleveurs de bovins dénoncent une baisse de 30% sur un an du prix du lait !
Ils touchent la misérable somme de 205 euros quand ils réussissent à vendre 1.000 litres à la coopérative du coin, moyennant des respects de normes fixées par la Commission de Bruxelles.
Et qui sait si le respect de ces normes n’est pas déjà un coût prohibitif pour le petit éleveur !
Excédés d’être des vaches à lait et aigris de ne pouvoir payer des traites pour les tiers créanciers, les exploitants ont manifesté devant les préfectures car le pré fait la vache !!
A Nantes, environ 300 producteurs ont déclenché un tohu-bohu des familles pour réveiller le préfet vers 05h00 du matin ! Ils ont utilisé un canon à corbeaux, soit un instrument imitant le grondement du tonnerre.
Les producteurs ont fini par être reçus par le préfet dont les ouïes étaient en complète capilotade en dépit de boules « quies » administrées en triple dose ! Ils ont réclamé la nomination d'un médiateur dans les négociations avec les transformateurs de la filière, actuellement à l'arrêt, et la création d'un "observatoire des marges".
Car les marges commerciales sont faramineuses !
Le consommateur achète 0,86 euro son litre de lait entier, alors qu'il est payé 0,20 euro au producteur !
Avec de tels profits le problème il est entier !
Qu’a lait ? Il ne faut pas être calé pour s’apercevoir qu’à Calais (comme partout en France où paissent les vaches) les charges des éleveurs ont augmenté !!
Et oui, il faut cotiser pour la Sécurité Sociale et sans délai ! On vous retire aussi des euros pour financer les assurances chômage et la caisse de retraite complémentaire !
Il faut payer les baux (pluriel de bail) et on voit les baux vider l’épargne !
- Cela m’émeut, m’émeut, dit Michel Barnier le Ministre de l’Agriculture, et je vais mettre en place une médiation pour renouer le dialogue entre producteurs et grandes surfaces. Enfin, quand j’aurai le temps ! Oui parce qu’avec les campagnes européennes je suis sur tous les fronts, la vache !! Je dois prendre le taureau par les cornes et ce n’est pas Rachida Dati qui m’épaule (de bœuf !) ! Dès qu’il y aura accord entre exploitants et commerçants il faudra l’acter !
Mais les producteurs de lait n’en peuvent plus d’attendre.
En Bretagne, des rassemblements ont eu lieu à Quimper (Finistère), Vannes (Morbihan) et Rennes (Ille-et-Vilaine), en présence à chaque fois de 400 à 500 producteurs équipés de tracteurs et de camions de collectes de lait autour du bagad de Lan Bihoué :
- Je ne la voyais pas comme ça ma vie, s’est lamenté un propriétaire de pies noirs qui meuglent bêtement.
A Rennes, les manifestants sont retournés sur les six plates-formes de distribution bloquées depuis lundi midi.
Cela va de mal en pis !! De vache !
Méfions nous car sans lait plus de yaourt !
On devra importer des bulgares ! On avait déjà eu les infirmières (grâce à Cécilia) mais cela n’avait eu aucune incidence sur notre flore intestinale !
Alors que là !!
Ils protestent contre une chute du prix pays aux producteurs et exigent une nouvelle copie de la politique laitière européenne. Rien que cela ! Mais d’où vient tant de véhémence ?
Les éleveurs de bovins dénoncent une baisse de 30% sur un an du prix du lait !
Ils touchent la misérable somme de 205 euros quand ils réussissent à vendre 1.000 litres à la coopérative du coin, moyennant des respects de normes fixées par la Commission de Bruxelles.
Et qui sait si le respect de ces normes n’est pas déjà un coût prohibitif pour le petit éleveur !
Excédés d’être des vaches à lait et aigris de ne pouvoir payer des traites pour les tiers créanciers, les exploitants ont manifesté devant les préfectures car le pré fait la vache !!
A Nantes, environ 300 producteurs ont déclenché un tohu-bohu des familles pour réveiller le préfet vers 05h00 du matin ! Ils ont utilisé un canon à corbeaux, soit un instrument imitant le grondement du tonnerre.
Les producteurs ont fini par être reçus par le préfet dont les ouïes étaient en complète capilotade en dépit de boules « quies » administrées en triple dose ! Ils ont réclamé la nomination d'un médiateur dans les négociations avec les transformateurs de la filière, actuellement à l'arrêt, et la création d'un "observatoire des marges".
Car les marges commerciales sont faramineuses !
Le consommateur achète 0,86 euro son litre de lait entier, alors qu'il est payé 0,20 euro au producteur !
Avec de tels profits le problème il est entier !
Qu’a lait ? Il ne faut pas être calé pour s’apercevoir qu’à Calais (comme partout en France où paissent les vaches) les charges des éleveurs ont augmenté !!
Et oui, il faut cotiser pour la Sécurité Sociale et sans délai ! On vous retire aussi des euros pour financer les assurances chômage et la caisse de retraite complémentaire !
Il faut payer les baux (pluriel de bail) et on voit les baux vider l’épargne !
- Cela m’émeut, m’émeut, dit Michel Barnier le Ministre de l’Agriculture, et je vais mettre en place une médiation pour renouer le dialogue entre producteurs et grandes surfaces. Enfin, quand j’aurai le temps ! Oui parce qu’avec les campagnes européennes je suis sur tous les fronts, la vache !! Je dois prendre le taureau par les cornes et ce n’est pas Rachida Dati qui m’épaule (de bœuf !) ! Dès qu’il y aura accord entre exploitants et commerçants il faudra l’acter !
Mais les producteurs de lait n’en peuvent plus d’attendre.
En Bretagne, des rassemblements ont eu lieu à Quimper (Finistère), Vannes (Morbihan) et Rennes (Ille-et-Vilaine), en présence à chaque fois de 400 à 500 producteurs équipés de tracteurs et de camions de collectes de lait autour du bagad de Lan Bihoué :
- Je ne la voyais pas comme ça ma vie, s’est lamenté un propriétaire de pies noirs qui meuglent bêtement.
A Rennes, les manifestants sont retournés sur les six plates-formes de distribution bloquées depuis lundi midi.
Cela va de mal en pis !! De vache !
Méfions nous car sans lait plus de yaourt !
On devra importer des bulgares ! On avait déjà eu les infirmières (grâce à Cécilia) mais cela n’avait eu aucune incidence sur notre flore intestinale !
Alors que là !!
JUSTE UN PEU PLUS DE TOLERANCE...
Alors que la journée internationale contre l'homophobie s’est déroulée le 17 mai, deux faits très à l’opposé dans leur contexte ont été relatés par la Presse.
D’un côté des hommes qui signent un Pacs dans l’enceinte d’une prison et, de l’autre, deux policiers victimes de ségrégation homophobique de la part de leurs collègues de travail.
Souvenons-nous, il n’y a pas si longtemps, un homme de Noeux-Les-Mines (62) avait été brûlé vif parce qu’il était homosexuel !
Tant que de telles horreurs demeureront, un tel poème conservera (hélas !) son utilité.
Que l’on soit flic ou prisonnier
Incarcérant ou détenu
Qu’on nous donne le droit d’aimer
Sans jugement ou pré-conçus !
Dans la petite prison d’Eysses
Ancien clos de bénédictins
Deux écroués se font promesse
De se pacser pour longs demains.
Cellule « double » à partager
Est désormais le quotidien
L’union vit même incarcérée
Malgré les regards des gardiens.
Deux hommes qui s’aiment malgré
La jalousie du purgatoire
Celui de ces hommes mariés
Qui se contentent d’un parloir.
Pour autant leur faut-il jeter
L’opprobre en guise d’anathème
Est ce leur faute si rien n’est fait
Pour les hommes et femmes qui s’aiment ?
De l’autre côté de ces grilles
Et bien plus loin, vers les Palais
Où le cinéma clinque et brille (*)
X et Y s’avoueront gay…
Cela ne regarderait qu’eux
S’il n’avaient, un jour, épousé
Le métier souvent dangereux
De policiers, gardiens de paix.
Car dans la cercle des poulets
Ces justiciers sous l’uniforme
Règnent des êtres sans pitié
Pour les amours classés « hors norme »
X et Y auront bien bu
Jusqu’à la nausée les ragots
Les méchancetés de bon crû
Les quolibets « anti-homo ».
Harcèlement, vilain cancer
Te voilà traîné en justice
X et Y foudroient le ver
Dans cette pomme de Police.
Comment de tels agissements
Dans ce pays civilisé
Réapparaissent fréquemment
Au cœur de l’actualité ?
Malgré les lois et les décrets
Il nous faudra garder patience
Pour qu’évoluent mentalités
Et règne un « droit à différence » !
(*) Vous avez deviné, c’est Cannes !!
D’un côté des hommes qui signent un Pacs dans l’enceinte d’une prison et, de l’autre, deux policiers victimes de ségrégation homophobique de la part de leurs collègues de travail.
Souvenons-nous, il n’y a pas si longtemps, un homme de Noeux-Les-Mines (62) avait été brûlé vif parce qu’il était homosexuel !
Tant que de telles horreurs demeureront, un tel poème conservera (hélas !) son utilité.
Que l’on soit flic ou prisonnier
Incarcérant ou détenu
Qu’on nous donne le droit d’aimer
Sans jugement ou pré-conçus !
Dans la petite prison d’Eysses
Ancien clos de bénédictins
Deux écroués se font promesse
De se pacser pour longs demains.
Cellule « double » à partager
Est désormais le quotidien
L’union vit même incarcérée
Malgré les regards des gardiens.
Deux hommes qui s’aiment malgré
La jalousie du purgatoire
Celui de ces hommes mariés
Qui se contentent d’un parloir.
Pour autant leur faut-il jeter
L’opprobre en guise d’anathème
Est ce leur faute si rien n’est fait
Pour les hommes et femmes qui s’aiment ?
De l’autre côté de ces grilles
Et bien plus loin, vers les Palais
Où le cinéma clinque et brille (*)
X et Y s’avoueront gay…
Cela ne regarderait qu’eux
S’il n’avaient, un jour, épousé
Le métier souvent dangereux
De policiers, gardiens de paix.
Car dans la cercle des poulets
Ces justiciers sous l’uniforme
Règnent des êtres sans pitié
Pour les amours classés « hors norme »
X et Y auront bien bu
Jusqu’à la nausée les ragots
Les méchancetés de bon crû
Les quolibets « anti-homo ».
Harcèlement, vilain cancer
Te voilà traîné en justice
X et Y foudroient le ver
Dans cette pomme de Police.
Comment de tels agissements
Dans ce pays civilisé
Réapparaissent fréquemment
Au cœur de l’actualité ?
Malgré les lois et les décrets
Il nous faudra garder patience
Pour qu’évoluent mentalités
Et règne un « droit à différence » !
(*) Vous avez deviné, c’est Cannes !!
dimanche 17 mai 2009
PATIENCE, QUI DIT DALO DIT DELAIS !!!
C’est le retour des don quichotte
Et le campement des meurtris
En plein Paris, avant griottes
Et le temps des cerises aussi.
Entre Pont de Solferino
Et celui qu’on nomme Royal
Les Quechua firent un très beau
Chapelet de vert intégral.
Menés par Augustin Legrand
Le chevalier des nobles causes
Et chantre du droit au logement
Les sans abris prenaient la pose !
Ils se faisaient photographier
Devant les tentes de fortune
Les journalistes indignés
Défendraient leur cause à la Une.
Mais la nuit venait de tomber
Sur le grand quai des Tuileries
Quand des gendarmes très musclés
Ont dit bonsoir aux sans-abris
Bonsoir et fichez nous le camp
Vos tentes gênent le quartier
Démontez ce chambardement
Ce foutoir, ce fichu merdier !!
Pas de heurts ni de violence
Dira-t-on à la Préfecture
On est humain quoi qu’on en pense
On a même tenté l’ouverture.
On leur a proposé des lits
Dans des centres d’hébergement
Ils ont refusé ! Quel folie !
Tant pis pour ces vilains manants !
A quoi sert-il de s’échiner
A vouloir trouver solution
Ces Don Quichotte sont bornés
Et leur patience fait faux bond !
S’ils savaient attendre deux ans
Trois petits ans pour obtenir
Un logement plus que décent
Qu’on est en train de leur construire !
Mais oui, depuis la loi Dalo
Le droit au logement s’est fait
Opposable pour ces nigauds
Pour ces ingrats, insatisfaits !
Ah c’est vraiment le « tout tout d’suite ! »
Ces gens abhorrent toute attente
Il leur faudrait un grand F8
D’une chiquenaude dessous la tente !
Il ne valent pas qu’on se plie
A leurs caprices de gamins
Moi je suis endetté à vie
Pour mes deux mas azuréens.
C’est le moins pour afin gagner
Un confort durant les vacances
Ma Quechua, elle, commençait
A sentir quelque peu le rance !
Et le campement des meurtris
En plein Paris, avant griottes
Et le temps des cerises aussi.
Entre Pont de Solferino
Et celui qu’on nomme Royal
Les Quechua firent un très beau
Chapelet de vert intégral.
Menés par Augustin Legrand
Le chevalier des nobles causes
Et chantre du droit au logement
Les sans abris prenaient la pose !
Ils se faisaient photographier
Devant les tentes de fortune
Les journalistes indignés
Défendraient leur cause à la Une.
Mais la nuit venait de tomber
Sur le grand quai des Tuileries
Quand des gendarmes très musclés
Ont dit bonsoir aux sans-abris
Bonsoir et fichez nous le camp
Vos tentes gênent le quartier
Démontez ce chambardement
Ce foutoir, ce fichu merdier !!
Pas de heurts ni de violence
Dira-t-on à la Préfecture
On est humain quoi qu’on en pense
On a même tenté l’ouverture.
On leur a proposé des lits
Dans des centres d’hébergement
Ils ont refusé ! Quel folie !
Tant pis pour ces vilains manants !
A quoi sert-il de s’échiner
A vouloir trouver solution
Ces Don Quichotte sont bornés
Et leur patience fait faux bond !
S’ils savaient attendre deux ans
Trois petits ans pour obtenir
Un logement plus que décent
Qu’on est en train de leur construire !
Mais oui, depuis la loi Dalo
Le droit au logement s’est fait
Opposable pour ces nigauds
Pour ces ingrats, insatisfaits !
Ah c’est vraiment le « tout tout d’suite ! »
Ces gens abhorrent toute attente
Il leur faudrait un grand F8
D’une chiquenaude dessous la tente !
Il ne valent pas qu’on se plie
A leurs caprices de gamins
Moi je suis endetté à vie
Pour mes deux mas azuréens.
C’est le moins pour afin gagner
Un confort durant les vacances
Ma Quechua, elle, commençait
A sentir quelque peu le rance !
samedi 16 mai 2009
EN V'LA DU KASS, EN V'LA !!
Ca y est ! Comme chaque année à la même période on nous ressort le Concours de l'Eurovision !
Une sorte de radio crochet comme l'émission "La nouvelle star" mais sans nouvelle star car la plupart des participants, pour ne pas dire la majorité, sont déjà connus du grand public !
C'est comme "La nouvelle star" mais ouvert à toute l'Europe ! Et encore ! L'Europe à géométrie variable car la Turquie et Israël y participent !!
Depuis quand Israël fait-elle partie de l'espace européen ? Hum ? Faudrait peut être revoir la géographie ?
Depuis quand la Turquie musulmane et laïque appartient-elle à l'Europe ? C'est le petit Nicolas qui doit sentir les cheveux se dresser sur la tête ! Lui qui refuse de voir l'ancien empire ottoman adhérer à l'espace commun européen !
Il se consolera en prenant connaissance de l'identité de la chanteuse qui défendra les couleurs de la France : Patricia Kaas !!
Patricia Kaas ! Celle qui fut lancée par Didier Barbelivien, son grand ami de toujours ! Ca fait plaisir !
Barbelivien qui avait écrit sur mesure "Mademoiselle chante le blues". La demoiselle de l'Est avait aussitôt adopté ce chef-d'oeuvre de la chanson française, cette envolée de lyrisme barbelivide pour en faire un tube (1987).
Mais depuis les affaires allaient mal. La petite Patricia, bercée de musique classique et qui aimait fort Bach, quitta Forbach !
C'est comme dans la chanson de Brel : t'as voulu voir Anvers on a revu Hambourg !
Patricia quitte Forbach, sa ville natale, et erre. Elle galère en ne vendant que 2,5 millions de disques de son tube "je te dis vous". Une misère au regard de ce que vend Jean Jacques Goldman (l'homme en or) ou Jhonny Hallyday !
Les années 2000 sont encore plus pénibles ! Elle fait un fiasco au cinéma en voulant tourner avec Le Louche. Ecoeurée, elle va chanter ailleurs. Ainsi elle découvre New-York puis se rend en Russie dès novembre 2008. Mais quand elle chante en russe le public pouffe ! Ca ressemble à de l'allemand à la sauce écossaise surmontée d'un zeste de javanais ! C'est particulièrement inaudible ! Elle est obligée de brader ses disques en les offrant à des clients qui achètent des produits de beauté qu'elle cherche à sponsoriser ! Une déchéance !
Elle devient Miss Kass-Prix et veut tout plaquer ! C'est alors qu'on lui propose de relancer sa carrière grâce à ce tournoi de l'Eurovision ! Chiche !
Mais attention ! Le défi est lourd à relever ! La France n'a pas gagné le titre depuis 1977 ! Cette année là c'est Marie Myriam (MM) qui avait décroché la timbale grâce à "L'oiseau et l'enfant", chanson dans laquelle elle jouait à la fois le rôle de l'oiseau (mais pas un aigle noir, pas assez de talent !) et celui de l'enfant ! Une belle prouesse !
En plus MM n'avait même pas été contrôlée positive à la cocaïne après une analyse d'urine. Ce n'est pas comme certains ! Suivez mon regard !
Espérons que Patricia saura défendre nos couleurs. Si elle réussit à ne pas être dernière ce sera déjà cela ! Patricia c'est un peu une prime à la Kass en matière de chanson française : avec du vieux on va tenter de faire du neuf !! C'est une sorte de développement durable showbizznétique ! Rien ne se perd et tout se recycle !
Si on voit Kass houler tant tempête est forte dans sa tête, ne lui en tenons pas rigueur ! Mettons cela sur le coup de l'émotion !
Si, en revanche, elle arrive en tête, on verra une effervescence de téléchargements de ses titres et la loi Hadopi risque d'être rapidement déclenchée ! Christine Albanel en est toute émoustillée.
Une sorte de radio crochet comme l'émission "La nouvelle star" mais sans nouvelle star car la plupart des participants, pour ne pas dire la majorité, sont déjà connus du grand public !
C'est comme "La nouvelle star" mais ouvert à toute l'Europe ! Et encore ! L'Europe à géométrie variable car la Turquie et Israël y participent !!
Depuis quand Israël fait-elle partie de l'espace européen ? Hum ? Faudrait peut être revoir la géographie ?
Depuis quand la Turquie musulmane et laïque appartient-elle à l'Europe ? C'est le petit Nicolas qui doit sentir les cheveux se dresser sur la tête ! Lui qui refuse de voir l'ancien empire ottoman adhérer à l'espace commun européen !
Il se consolera en prenant connaissance de l'identité de la chanteuse qui défendra les couleurs de la France : Patricia Kaas !!
Patricia Kaas ! Celle qui fut lancée par Didier Barbelivien, son grand ami de toujours ! Ca fait plaisir !
Barbelivien qui avait écrit sur mesure "Mademoiselle chante le blues". La demoiselle de l'Est avait aussitôt adopté ce chef-d'oeuvre de la chanson française, cette envolée de lyrisme barbelivide pour en faire un tube (1987).
Mais depuis les affaires allaient mal. La petite Patricia, bercée de musique classique et qui aimait fort Bach, quitta Forbach !
C'est comme dans la chanson de Brel : t'as voulu voir Anvers on a revu Hambourg !
Patricia quitte Forbach, sa ville natale, et erre. Elle galère en ne vendant que 2,5 millions de disques de son tube "je te dis vous". Une misère au regard de ce que vend Jean Jacques Goldman (l'homme en or) ou Jhonny Hallyday !
Les années 2000 sont encore plus pénibles ! Elle fait un fiasco au cinéma en voulant tourner avec Le Louche. Ecoeurée, elle va chanter ailleurs. Ainsi elle découvre New-York puis se rend en Russie dès novembre 2008. Mais quand elle chante en russe le public pouffe ! Ca ressemble à de l'allemand à la sauce écossaise surmontée d'un zeste de javanais ! C'est particulièrement inaudible ! Elle est obligée de brader ses disques en les offrant à des clients qui achètent des produits de beauté qu'elle cherche à sponsoriser ! Une déchéance !
Elle devient Miss Kass-Prix et veut tout plaquer ! C'est alors qu'on lui propose de relancer sa carrière grâce à ce tournoi de l'Eurovision ! Chiche !
Mais attention ! Le défi est lourd à relever ! La France n'a pas gagné le titre depuis 1977 ! Cette année là c'est Marie Myriam (MM) qui avait décroché la timbale grâce à "L'oiseau et l'enfant", chanson dans laquelle elle jouait à la fois le rôle de l'oiseau (mais pas un aigle noir, pas assez de talent !) et celui de l'enfant ! Une belle prouesse !
En plus MM n'avait même pas été contrôlée positive à la cocaïne après une analyse d'urine. Ce n'est pas comme certains ! Suivez mon regard !
Espérons que Patricia saura défendre nos couleurs. Si elle réussit à ne pas être dernière ce sera déjà cela ! Patricia c'est un peu une prime à la Kass en matière de chanson française : avec du vieux on va tenter de faire du neuf !! C'est une sorte de développement durable showbizznétique ! Rien ne se perd et tout se recycle !
Si on voit Kass houler tant tempête est forte dans sa tête, ne lui en tenons pas rigueur ! Mettons cela sur le coup de l'émotion !
Si, en revanche, elle arrive en tête, on verra une effervescence de téléchargements de ses titres et la loi Hadopi risque d'être rapidement déclenchée ! Christine Albanel en est toute émoustillée.
vendredi 15 mai 2009
QUI GOUVERNERA L'HOPITAL EN TOUTE SECURITE SOCIALE ??
Quand Nicolas ne dit pas ce qu’annonçait Dame Bachelot
C’est une amorce de fissures et le gouvernement prend l’eau
Quand la Dame de la Santé se sent soudain désavouée
Elle voudrait déposer séant son envie de démissionner.
Pourquoi le fourbe Nicolas dans un hôpital de Nancy
A promis devant médecins de revoir toute la copie
D’une réforme défendue par la Ministre de tutelle ?
Il a prôné l’amendement pour apaiser bien des querelles !
En l’occurrence il s’est senti investi d’un nouveau pouvoir :
Défigurer tout un projet défendu à coup de butoirs
Par la pugnace Roselyne drapée de légitimité
Il a cru bon détricoter une réforme contestée.
La Bachelot voulait donner le plein pouvoir au Directeur
Il aurait géré, souverain, les hôpitaux avec froideur
Conditionné par la puissance de lois de rentabilité
Il aurait rayé des services qui n’eussent pas d’activité !
Car dans le plan de modernisme on considère l’hôpital
Comme une entreprise marchande qui vise un profit optimal
La maternité qui déclare trop peu d’actes d’accouchement :
Allez du vent, oui, tu dégages, tu coûtes trop assurément !!
Sans trop parler de ce principe de tarification à l’acte
Nicolas mouilla sa chemise pour engager un pseudo pacte :
Plutôt qu’un Directeur unique qui ferait la pluie, le beau temps
Un triumvirat, en principe, remplacerait le tout puissant.
Trois âmes tirées du cénacle hospitalier, pour décider !
Le Directeur, un médecin, le Doyen de la Faculté
Trois hommes pour se partager la gestion de l'hospitalier
Et tant pis si la Roselyne se sent trahie, visons la Paix !!
Mais le plus gros de cette histoire, vous allez rire assurément
C’est qu’il faut emmener sans gloire pour honorer le Président
Des amendements de la Droite, que saisiront les députés
Un gros travail législatif qui laisse la Gauche médusée !
C’est le monde à l’envers, en somme, mais il faut garder la santé !!
C’est une amorce de fissures et le gouvernement prend l’eau
Quand la Dame de la Santé se sent soudain désavouée
Elle voudrait déposer séant son envie de démissionner.
Pourquoi le fourbe Nicolas dans un hôpital de Nancy
A promis devant médecins de revoir toute la copie
D’une réforme défendue par la Ministre de tutelle ?
Il a prôné l’amendement pour apaiser bien des querelles !
En l’occurrence il s’est senti investi d’un nouveau pouvoir :
Défigurer tout un projet défendu à coup de butoirs
Par la pugnace Roselyne drapée de légitimité
Il a cru bon détricoter une réforme contestée.
La Bachelot voulait donner le plein pouvoir au Directeur
Il aurait géré, souverain, les hôpitaux avec froideur
Conditionné par la puissance de lois de rentabilité
Il aurait rayé des services qui n’eussent pas d’activité !
Car dans le plan de modernisme on considère l’hôpital
Comme une entreprise marchande qui vise un profit optimal
La maternité qui déclare trop peu d’actes d’accouchement :
Allez du vent, oui, tu dégages, tu coûtes trop assurément !!
Sans trop parler de ce principe de tarification à l’acte
Nicolas mouilla sa chemise pour engager un pseudo pacte :
Plutôt qu’un Directeur unique qui ferait la pluie, le beau temps
Un triumvirat, en principe, remplacerait le tout puissant.
Trois âmes tirées du cénacle hospitalier, pour décider !
Le Directeur, un médecin, le Doyen de la Faculté
Trois hommes pour se partager la gestion de l'hospitalier
Et tant pis si la Roselyne se sent trahie, visons la Paix !!
Mais le plus gros de cette histoire, vous allez rire assurément
C’est qu’il faut emmener sans gloire pour honorer le Président
Des amendements de la Droite, que saisiront les députés
Un gros travail législatif qui laisse la Gauche médusée !
C’est le monde à l’envers, en somme, mais il faut garder la santé !!
UN MILIEU D'HOMMES INIQUES "STRASS-CANNES" ?
Le festival de Cannes nous replonge, une fois de plus, dans le star système, les paillettes, le snobisme, le grand tralala...
En ce temps de crise et de morosité, bon sang, que cela fait du bien !!
On quitte les affres du Pâle-Emploi, les séquestrations qui sont des séquelles-tractions. On ne pense plus aux futurs licenciements que nappent d'habiles plans sociaux mais peu soucieux de reconversion. On gomme, le temps de quelques jours, la pénible impression que la planète tourne à l'envers voire à l'enfer !
- On plonge dans le féérique, fait Eric, mon pote remercié par sa boutique en déconfiture. On oublie la dureté de la vie ! N'empêche, qui va me trouver un nouveau job ?
Tu as raison Eric : tout le monde ne peut pas faire du cinéma !!
J'ai un cousin qui voulait faire du cinoch ; mais il avait des problèmes de pellicules ! Il a été recalé à son premier casting ! Son rêve d'être acteur c'était vraiment tiré par les cheveux !
J'ai une nièce qui souhaitait être Star ! Mais à force de s'appliquer un écran total elle ne fut pas assez bronzée pour paraître à l'écran ! Depuis elle vit dans l'ombre !
Ah oui, c'est dur de percer dans ce métier. Ils sont peu nombreux à gravir les marches du Palais de Cannes. Ils sont encore plus restreints les heureux lauréats qui se gloussent d'obtenir des oscars !
Cannes adhère à l'ostracisme : elle éteint le feu qui s'anime dans la tête de jeunes assoiffés de gloire ! Ne restent que des élus qui se reproduisent entre eux ! Des divinités ! Les autres pendent lamentablement à la corde de la désillusion et à Cannes y ballent !
Cannes hisse une haie de protection pour protéger ses intérêts.
Cannes honnit si t'es pas dans sa canonicité !
Et tu peux vite plonger dans la drogue, en désespoir de cause, pour avoir tes rêves brisés. Tu plonges alors dans "Cannes-abysses" !
Donc sois réaliste : tu ne peux être une star de cinéma ! Alors sois une star à ta façon, comme le dit si bien Cabrel. Prends ta place dans le trafic et use de chemins de traverse !
Quand Cannes cancane sous les flash des paparazzi c'est du vent, de la frivolité, de l'éphémère. En revanche, il demeure des films, parfois des chefs-d'oeuvre, qui nous parlent de nous, de nos misères, de notre pauvre condition humaine. C'est la toute la noblesse du cinéma et c'est bien l'essence même du 7ème art ! Le reste n'est que littérature pour combler les trous de Gala, Paris Match et autres canards qui se regardent dans le miroir aux alouettes !
En ce temps de crise et de morosité, bon sang, que cela fait du bien !!
On quitte les affres du Pâle-Emploi, les séquestrations qui sont des séquelles-tractions. On ne pense plus aux futurs licenciements que nappent d'habiles plans sociaux mais peu soucieux de reconversion. On gomme, le temps de quelques jours, la pénible impression que la planète tourne à l'envers voire à l'enfer !
- On plonge dans le féérique, fait Eric, mon pote remercié par sa boutique en déconfiture. On oublie la dureté de la vie ! N'empêche, qui va me trouver un nouveau job ?
Tu as raison Eric : tout le monde ne peut pas faire du cinéma !!
J'ai un cousin qui voulait faire du cinoch ; mais il avait des problèmes de pellicules ! Il a été recalé à son premier casting ! Son rêve d'être acteur c'était vraiment tiré par les cheveux !
J'ai une nièce qui souhaitait être Star ! Mais à force de s'appliquer un écran total elle ne fut pas assez bronzée pour paraître à l'écran ! Depuis elle vit dans l'ombre !
Ah oui, c'est dur de percer dans ce métier. Ils sont peu nombreux à gravir les marches du Palais de Cannes. Ils sont encore plus restreints les heureux lauréats qui se gloussent d'obtenir des oscars !
Cannes adhère à l'ostracisme : elle éteint le feu qui s'anime dans la tête de jeunes assoiffés de gloire ! Ne restent que des élus qui se reproduisent entre eux ! Des divinités ! Les autres pendent lamentablement à la corde de la désillusion et à Cannes y ballent !
Cannes hisse une haie de protection pour protéger ses intérêts.
Cannes honnit si t'es pas dans sa canonicité !
Et tu peux vite plonger dans la drogue, en désespoir de cause, pour avoir tes rêves brisés. Tu plonges alors dans "Cannes-abysses" !
Donc sois réaliste : tu ne peux être une star de cinéma ! Alors sois une star à ta façon, comme le dit si bien Cabrel. Prends ta place dans le trafic et use de chemins de traverse !
Quand Cannes cancane sous les flash des paparazzi c'est du vent, de la frivolité, de l'éphémère. En revanche, il demeure des films, parfois des chefs-d'oeuvre, qui nous parlent de nous, de nos misères, de notre pauvre condition humaine. C'est la toute la noblesse du cinéma et c'est bien l'essence même du 7ème art ! Le reste n'est que littérature pour combler les trous de Gala, Paris Match et autres canards qui se regardent dans le miroir aux alouettes !
jeudi 14 mai 2009
DIX VISIONS EUROPEENNES POUR LA GAUCHE
D'après le tableau d'Eugène De la Croix (1830) - La liberté guidant le peuple (Louvres)
La Ségolène guidant la gauche
Pour gagner les européennes
Malgré la crise qui s’ébauche
Et le H1N1 si teigne !
La Ségolène guidant la gauche
Entre deux pardons spontanés
Sur son flanc droit le p’tit Gavroche
Un Mélanchon très remonté !
La Ségolène guidant la gauche
Brandissant l’étendard sanglant
Pour bouter l’UMP si moche
Mais quelle pagaille dans les rangs !
Besancenot, fusil aux poings
Semble jouer le franc-tireur
Et son regard se perd au loin
Vers des glorioles en point d’honneur.
Tout à sa droite, la mère Buffet
Sabre au clair, bifurque sans peur
Mais cet assaut désordonné
S’expose aux feux des tirailleurs.
A la peur de tomber aux bris
Du champ d’horreur des désunions
La maréchal Martine Aubry
Gémit par terre à profusion.
Son regard douloureux se pose
Sur l’intrépide Ségolène
Comme pour supplier qu’elle repose
Les armes vaines de la haine.
Mais Ségolène guidant la cause
Ne voit pas tableau de la Croix
Que porte en fardeau chaque rose
Du socialisme en désarroi.
Et Ségolène guidant la gauche
S’aveugle de ses projets flous
Auxquels, ici, nul ne s’accroche :
Le chacun pour soi avant tout !
Et Ségolène guidant la gauche
En allégorie qui s’effrite
Ne pourra que sonner les cloches
Du tocsin des grandes faillites.
La Ségolène guidant les troupes
D’une gauche trop divisée
Boira à l’hallali la soupe
Amère des contrariétés.
mercredi 13 mai 2009
LE PETIT COQ A HYMNE NE FERA PLUS COCORICO
Richard Gasquet éliminait rapidement ses adversaires ces derniers temps.
Quelques coups de raquette, une petite montée au filet, mignon ! Ah le cochon ! Il éliminait le type de l’autre côté du cour ! Un vrai talent !
Quelques coups de raquette, une petite montée au filet, mignon ! Ah le cochon ! Il éliminait le type de l’autre côté du cour ! Un vrai talent !
Il pensait qu’il allait éliminer tout aussi rapidement des traces de cocaïne dans son organisme ! Bernique !
Il s’est fait contrôler !
Il était positif !
Il s’est fait contrôler !
Il était positif !
Il a présenté un taux de drogue de 151 ng/ml (*) d’urine.
Les normes autorisées sont de 50 ng/ml !
Y’avait réellement un malaise !
Avec la Fédération Française de Tennis il n’est plus ami-ami ! Forcément, à Miami (Floride) il dit avoir usé de la cocaïne mais à l’insu de son plein gré. Il incrimine son ami, un certain Virenque, cycliste sur le retour, qui l’aurait abusé en lui disant que c’était un mélange de sucre en poudre et de glace vanillée !
Je t’en foutrais moi du mélange de sucre en poudre et de glace vanillée !!
C’était bien de la cocaïne !
Et Richard Gasquet va plonger !
Il risque une suspension de 2 ans !
Deux ans sans jouer au pénis de trop, heu..au tennis de pro !
La bite est roi..heu, le Biterrois en aura plein les C… de devoir faire banquette tandis que ses petits camarades, les Tsonga, les Simon, se glorifieront à Roland Garros !
Il s’est fait prendre comme un rat !
A présent le rat quête la clémence de ses juges !
(*) nanogramme par millilitre
VIREZ MOI CES VIRUS !!!
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé, mercredi 6 mai 2009,près de 500 cas supplémentaires de grippe porcine dans le monde .
- En ce 6 mai le virus s’y met, a lancé laconiquement le porte parole de l’OMS qui portait un magnifique masque bleu-ciel et des gants en latex du plus bel effet !
Le sympathique virus H1N1 peut donc se vanter d’avoir contaminé quelque 6.000 personnes dans le monde, avec une majorité de patients recensés aux Etats-Unis.
Selon l'OMS, 33 pays - dont Cuba, la Finlande et la Thaïlande depuis mardi - sont désormais ravagés par l'épidémie provoquée par le virus mutant, pour lequel il n'existe actuellement pas de vaccin.
A l'échelle mondiale, on dénombre 5.728 malades dont :
- 5 % ne savent pas qu’ils ont le H1N1 et sont persuadés avoir la scarlatine. Car, comme dit la chanson : « ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine… »
- 18 % savent qu’ils ont le H1N1 mais ont misé, en moyenne, l’équivalent de 15,57 $ per capita, qu’un nouveau vaccin serait découvert dans les 2 mois. Chiche !
- 37 % savent qu’ils sont tenaillés par le virus mais croient que c’est le H5N1, c’est à dire l’aviaire ! Ils en sont persuadés car ils ont mangé des canards mexicains arrosés de tequila !
- 48 % savent que c’est le H1N1 qui vient du porc et de la volaille. Et ils flippent pour leur vie !
Les ventes de chapelets sont donc en hausse notamment au Mexique !
Comment ? La somme des pourcentages fait 108 % ? Et alors ? Y’a un problème ? Si tu me cherches je te refile un H1N1 vite fait ! Non mais, sans blague !!
Bon, on se calme ! Revenons au problème !
Il y aurait 60 décès dans le monde. C’est finalement peu à comparer avec :
- les 6.500 morts du Sri Lanka (l’ex Ceylan mais loin de l’excellence en matière des droits de l’homme) : victimes Tamouls d’une guerre qui vire au massacre !
- les 332 morts sur nos belles routes de France au cours du mois d’avril ! Ben alors, à quoi ça sert que le petit Nicolas nous sème des radars tous les 100 km ? Hum ?
- 140 personnes qui ont été tuées dans de récents combats entre les forces américaines et les talibans dans l'ouest de l'Afghanistan.
Et je ne vous parle pas des derniers combats issus d’une offensive lancée par l’armée pakistanaise pour, justement, annihiler d’autres talibans ! Cette offensive fait fuir quelque 150 000 civils qui, sans vivres et sans eau, risquent aussi de mourir de faim. Une catastrophe humanitaire s’annonce au Pakistan qui me fait bien plus frémir que la menace H1N1 !
On devrait, logiquement, trouver un vaccin !
Mais les scientifiques trouveront-ils un jour les vaccins contre le :
- VAR : Virus de l’Armement Républicain
- VER : Virus de l’Enfermement Répressif
- VAL : Virus de l’Affirmation par la Lutte
- VIN : Virus de l’Incompréhension des Nations...
Et biens d’autres virus mutant pas encore matés par de beaux matins qui nous rendraient moutons, plutôt que loups !
Mais quand même pas des moutons de Panurge ! Des moutons intelligents ! Des moutons dignes d’être dessinés par St Exupéry à la demande du petit Prince (pas celui de LU !!)
Mais puisque le virus H1N1 joue les vedettes médiatiques j’ai cru bon lui rendre hommage avec ce petit poème atteint du virus de l’allitération :
Les virus sans rivaux nous ravilissent vie
Qu’on soit russe viril ou véreux de varices
Les virus avérés voraces errent en vos rues
Et vies râlent, envahies de virales verrues.
Les virus ravalent les ravins des revers
De rêves avariés et de renvois divers
Des virus en varans dévorants vont durer
Dans vos reins dérivants, loin des rives rêvées…
Les virus ont rivé dans des verrous d’enfer
La vie roulant en vain sur des voies d’airs ravis
Le virus savourant son vice roué se voit
Raviver l’arrivée d’avaries de tous bois.
- En ce 6 mai le virus s’y met, a lancé laconiquement le porte parole de l’OMS qui portait un magnifique masque bleu-ciel et des gants en latex du plus bel effet !
Le sympathique virus H1N1 peut donc se vanter d’avoir contaminé quelque 6.000 personnes dans le monde, avec une majorité de patients recensés aux Etats-Unis.
Selon l'OMS, 33 pays - dont Cuba, la Finlande et la Thaïlande depuis mardi - sont désormais ravagés par l'épidémie provoquée par le virus mutant, pour lequel il n'existe actuellement pas de vaccin.
A l'échelle mondiale, on dénombre 5.728 malades dont :
- 5 % ne savent pas qu’ils ont le H1N1 et sont persuadés avoir la scarlatine. Car, comme dit la chanson : « ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine… »
- 18 % savent qu’ils ont le H1N1 mais ont misé, en moyenne, l’équivalent de 15,57 $ per capita, qu’un nouveau vaccin serait découvert dans les 2 mois. Chiche !
- 37 % savent qu’ils sont tenaillés par le virus mais croient que c’est le H5N1, c’est à dire l’aviaire ! Ils en sont persuadés car ils ont mangé des canards mexicains arrosés de tequila !
- 48 % savent que c’est le H1N1 qui vient du porc et de la volaille. Et ils flippent pour leur vie !
Les ventes de chapelets sont donc en hausse notamment au Mexique !
Comment ? La somme des pourcentages fait 108 % ? Et alors ? Y’a un problème ? Si tu me cherches je te refile un H1N1 vite fait ! Non mais, sans blague !!
Bon, on se calme ! Revenons au problème !
Il y aurait 60 décès dans le monde. C’est finalement peu à comparer avec :
- les 6.500 morts du Sri Lanka (l’ex Ceylan mais loin de l’excellence en matière des droits de l’homme) : victimes Tamouls d’une guerre qui vire au massacre !
- les 332 morts sur nos belles routes de France au cours du mois d’avril ! Ben alors, à quoi ça sert que le petit Nicolas nous sème des radars tous les 100 km ? Hum ?
- 140 personnes qui ont été tuées dans de récents combats entre les forces américaines et les talibans dans l'ouest de l'Afghanistan.
Et je ne vous parle pas des derniers combats issus d’une offensive lancée par l’armée pakistanaise pour, justement, annihiler d’autres talibans ! Cette offensive fait fuir quelque 150 000 civils qui, sans vivres et sans eau, risquent aussi de mourir de faim. Une catastrophe humanitaire s’annonce au Pakistan qui me fait bien plus frémir que la menace H1N1 !
On devrait, logiquement, trouver un vaccin !
Mais les scientifiques trouveront-ils un jour les vaccins contre le :
- VAR : Virus de l’Armement Républicain
- VER : Virus de l’Enfermement Répressif
- VAL : Virus de l’Affirmation par la Lutte
- VIN : Virus de l’Incompréhension des Nations...
Et biens d’autres virus mutant pas encore matés par de beaux matins qui nous rendraient moutons, plutôt que loups !
Mais quand même pas des moutons de Panurge ! Des moutons intelligents ! Des moutons dignes d’être dessinés par St Exupéry à la demande du petit Prince (pas celui de LU !!)
Mais puisque le virus H1N1 joue les vedettes médiatiques j’ai cru bon lui rendre hommage avec ce petit poème atteint du virus de l’allitération :
Les virus sans rivaux nous ravilissent vie
Qu’on soit russe viril ou véreux de varices
Les virus avérés voraces errent en vos rues
Et vies râlent, envahies de virales verrues.
Les virus ravalent les ravins des revers
De rêves avariés et de renvois divers
Des virus en varans dévorants vont durer
Dans vos reins dérivants, loin des rives rêvées…
Les virus ont rivé dans des verrous d’enfer
La vie roulant en vain sur des voies d’airs ravis
Le virus savourant son vice roué se voit
Raviver l’arrivée d’avaries de tous bois.
lundi 11 mai 2009
LE RIRE DES ENFANTS
Il y a dans le rire des enfants
Des matins de rêveries et des nuages blancs
Un azur inondé de rayons fous
Et de vagues au bleu d'océan.
Il y a dans le rire des enfants
Le magique voile fin de nos brumes d'antan
L'éternité des souvenirs du vent
Qui soulevait les jupons blancs
Des grands-mamans.
Il y a dans la joie des enfants
Le soleil et son manteau brûlant
L'arc en ciel et ses chemins troublants
Le jardin au parfum de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
Les reflets scintillants de l’étang
Que survolent des plumages blancs
Dans le crépuscule du couchant.
Il y a dans le rire des petits
L’innocente gravité des premiers pas de vie
Un chemin jalonné de féerie
Qui rejoint les plaines de la nuit.
Il y a dans le rire des petits
L’inavouable secret de quelques embellies
Qui savent féconder comme à l’ envi
Quelques instants d’éternité jamais taris.
Il y a dans le rire de l’enfant
La simplicité de nos élans
L’insouciante errance des passants
Dans un matin léger de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
L’instantanément au cœur du temps
Un feu d’or accroché aux versants
Des montagnes endormies sous le blanc.
Il y a dans le rire des enfants
Un ruisseau entre les rochers polis par le temps
Des chevaux galopant dans la Camargue
Fougue folle et crinière à tous vents
Il y a dans le rire des enfants
L’indicible évanescence des parfums d'antan
Le souvenir de nos ravissements
Que partageaient en leurs vingt ans nos grand-mamans.
Il y a dans le rire des enfants
Le désir de tout enfantement
Cette envie de prolonger le temps
Au delà de nos chemins d’errants
Il y a dans le rire des enfants
La poésie à la fleur de chant
La mélodie de tout sentiment
Des matins de rêveries et des nuages blancs
Un azur inondé de rayons fous
Et de vagues au bleu d'océan.
Il y a dans le rire des enfants
Le magique voile fin de nos brumes d'antan
L'éternité des souvenirs du vent
Qui soulevait les jupons blancs
Des grands-mamans.
Il y a dans la joie des enfants
Le soleil et son manteau brûlant
L'arc en ciel et ses chemins troublants
Le jardin au parfum de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
Les reflets scintillants de l’étang
Que survolent des plumages blancs
Dans le crépuscule du couchant.
Il y a dans le rire des petits
L’innocente gravité des premiers pas de vie
Un chemin jalonné de féerie
Qui rejoint les plaines de la nuit.
Il y a dans le rire des petits
L’inavouable secret de quelques embellies
Qui savent féconder comme à l’ envi
Quelques instants d’éternité jamais taris.
Il y a dans le rire de l’enfant
La simplicité de nos élans
L’insouciante errance des passants
Dans un matin léger de printemps.
Il y a dans le rire des enfants
L’instantanément au cœur du temps
Un feu d’or accroché aux versants
Des montagnes endormies sous le blanc.
Il y a dans le rire des enfants
Un ruisseau entre les rochers polis par le temps
Des chevaux galopant dans la Camargue
Fougue folle et crinière à tous vents
Il y a dans le rire des enfants
L’indicible évanescence des parfums d'antan
Le souvenir de nos ravissements
Que partageaient en leurs vingt ans nos grand-mamans.
Il y a dans le rire des enfants
Le désir de tout enfantement
Cette envie de prolonger le temps
Au delà de nos chemins d’errants
Il y a dans le rire des enfants
La poésie à la fleur de chant
La mélodie de tout sentiment
Qui recule un peu plus le néant.
jeudi 7 mai 2009
UN SOL
Un sol d’amis aux chants donneurs
Donneurs de paix et de chaleur
Un sol où germent légers mots
D’humour, d’amour, d’âmes en rameaux.
Un sol d’amis saouls, les eaux bues
Eaux-de-vie, chimères tout en cru
Un sol où coulent les culots
De braves brèves et de bravos.
Un sol d’assemblée d’aise armée
Reine sereine des pensées
Un sol où vit la liberté
Sans censure au serres ulcérées.
Un sol dont j’ai rêvé, j’errais !
Rêve est dérive, dévoré.
Ils ne tueront pas l’utopique
Dessein de l’âme, ma lutte épique.
Un sol s’isole dans ma pensée
Et sait par ses mots plaies panser.
Donneurs de paix et de chaleur
Un sol où germent légers mots
D’humour, d’amour, d’âmes en rameaux.
Un sol d’amis saouls, les eaux bues
Eaux-de-vie, chimères tout en cru
Un sol où coulent les culots
De braves brèves et de bravos.
Un sol d’assemblée d’aise armée
Reine sereine des pensées
Un sol où vit la liberté
Sans censure au serres ulcérées.
Un sol dont j’ai rêvé, j’errais !
Rêve est dérive, dévoré.
Ils ne tueront pas l’utopique
Dessein de l’âme, ma lutte épique.
Un sol s’isole dans ma pensée
Et sait par ses mots plaies panser.
mercredi 6 mai 2009
CES DEUX ANS SE DISENT COURTS QUE REELLEMENT SARKO ANIME !!
- Happy birthday to you, Monsieur le Président, voilà le gâteau !
- Mais, il y a deux bougies ! Je n’ai pas deux ans quand même ! Bon d’accord je ne suis pas grand mais…deux ans ?
- Hé bien oui, Monsieur le Président, vous avez deux ans d’Elysée ! Vous êtes élu depuis deux ans ! Rappelez vous, il y a deux ans : les Fouquet’s, Mireille Matthieu et ses mille colombes, Cécilia qui téléphone sur son portable à son futur mari…
- Ah oui, mon Dieu, que c’est loin tout cela !! J’ai l’impression que c’était une autre vie ! Bon je vais souffler ! Attention ! Pfffff !!
- Bravo ! Du premier coup !
- Bah, c’est facile ! J’entretiens mon souffle tous les jours avec le cross et les cours de chant avec Carla !
- Ne mangez pas maintenant, Mr Le Président, on ne parle pas la bouche pleine ! Vous n’oubliez pas que vous avez un discours à tenir dans 1 minute !
- Bon sang, c’est vrai ! Mon fameux discours de Nîmes. Bourré de fautes d’orthographe comme d’habitude mais à la lecture ça ne s’entend pas ! Mais faudra quand même que je dise à Henri Guaino de suivre une remise à niveau dans un centre de formation. Bon, elle est où la salle avec le micro ?
- Vous n’avez qu’à me suivre Monsieur le Président !
Et c’est ainsi que le petit Nicolas, sans avoir eu le temps de savourer son gâteau d’anniversaire, se lança dans une lecture fastidieuse d’un discours écrit par son nègre blanc, à Nîmes, dans le Gard.
Gare dans le Gard ! Nîmes s’anime d’animosité ! Comme partout en France ! On bouffe du sarkozisme comme, jadis, on bouffait du curé ! Il faut que le discours redore mon blason. J’ai boosté Guaino pour que le discours soit une suite d’éloges et de dithyrambes à l'égard de mon auguste personne. Bon, jetons un petit coup d’œil sur ce torchon…Hum, pas mal ! Il a bien compris la consigne ! Et en plus le con signe « Sarkozy » comme si c’était moi qui pouvait prétendre à la paternité de cette production rédactionnelle de petite teneur littéraire !! Enfin bon ! On y va !
Nicolas lut. Il se délecta des paragraphes qui le mettaient sur un piédestal européen : il avait sauvé la Géorgie, éteint les braises rougies de la bande de Gaza, géré comme un grand le G20, tout cela avec son habit tout neuf de Président européen, un job de 6 mois...
Il sentit sa cheville droite se gonfler en lisant les paragraphes tout acquis à la noblesse et à l’allure chevaleresque de sa lutte contre la crise ! Il cita avec des trémolos de jubilation dans la voix quelques actes de bravoure allant de la réforme des universités à la loi Hadopi en passant par le plan de relance de 26 milliards d’euros que doit gérer cet incapable de Devedjan !
Il ressentit une satisfaction à la lecture du paragraphe suivant : Guaino avait vraiment respecté les consignes ! Les phrases s’enroulaient autour de l’idée que la Turquie n’a pas vocation à devenir membre de l’Union Européenne. Par contre, une porte s’entrouvrait pour proposer aux habitants de l’ancien empire ottoman « un espace économique et de sécurité commun ».
Il tressaillit de joie dans les paragraphes ultérieurs. C’était du pure Guaino cent pour cent sauce Sarkozy. Angela Merkel, Chancelière allemande, chancelait de son pinacle, accusée d’avoir été trop lente à réagir à la crise financière. Son prédécesseur, le vieux, le Jacquot, en prenait aussi pour son grade. Il le représenta drapé dans le manteau de menteur mental qui promet aux Turcs des consultations dans 15 ans alors que dans 15 ans le Jacquot ne sera peut-être plus de ce monde !
Ah, quel festival d’autosatisfaction étayé de diatribes à l’encontre des petits camarades de l’Union Européenne !
Tu as raison Nicolas : tes voisins européens ne méritent pas d’appartenir à un ensemble que toi seul sais diriger avec tant de maestria et d’expertise ! Ils ne sont qu’un ramassis de rats massés ou de morts assis qui en ont marre assez de l’Europe. Alors que toi, ô astre vénérable, ô lumière des justes causes, tu éclaires de tes idéaux libéraux les ombres sournoises de 27 pays qui se traînent économiquement !
Nîmes a applaudi ! Nicolas a trouvé, à Nîmes, alliés.
C’est une ville très UMP. Elle en veut, Nîmes ! Quel poison pour le parti socialiste !
Mais déjà Nicolas se magne à Nîmes. Il signe quelques autographes pour des Nîmois aux doux minois !
Elle est pas belle la vie ! Aux Nîmois qui mal y pense !!
- Mais, il y a deux bougies ! Je n’ai pas deux ans quand même ! Bon d’accord je ne suis pas grand mais…deux ans ?
- Hé bien oui, Monsieur le Président, vous avez deux ans d’Elysée ! Vous êtes élu depuis deux ans ! Rappelez vous, il y a deux ans : les Fouquet’s, Mireille Matthieu et ses mille colombes, Cécilia qui téléphone sur son portable à son futur mari…
- Ah oui, mon Dieu, que c’est loin tout cela !! J’ai l’impression que c’était une autre vie ! Bon je vais souffler ! Attention ! Pfffff !!
- Bravo ! Du premier coup !
- Bah, c’est facile ! J’entretiens mon souffle tous les jours avec le cross et les cours de chant avec Carla !
- Ne mangez pas maintenant, Mr Le Président, on ne parle pas la bouche pleine ! Vous n’oubliez pas que vous avez un discours à tenir dans 1 minute !
- Bon sang, c’est vrai ! Mon fameux discours de Nîmes. Bourré de fautes d’orthographe comme d’habitude mais à la lecture ça ne s’entend pas ! Mais faudra quand même que je dise à Henri Guaino de suivre une remise à niveau dans un centre de formation. Bon, elle est où la salle avec le micro ?
- Vous n’avez qu’à me suivre Monsieur le Président !
Et c’est ainsi que le petit Nicolas, sans avoir eu le temps de savourer son gâteau d’anniversaire, se lança dans une lecture fastidieuse d’un discours écrit par son nègre blanc, à Nîmes, dans le Gard.
Gare dans le Gard ! Nîmes s’anime d’animosité ! Comme partout en France ! On bouffe du sarkozisme comme, jadis, on bouffait du curé ! Il faut que le discours redore mon blason. J’ai boosté Guaino pour que le discours soit une suite d’éloges et de dithyrambes à l'égard de mon auguste personne. Bon, jetons un petit coup d’œil sur ce torchon…Hum, pas mal ! Il a bien compris la consigne ! Et en plus le con signe « Sarkozy » comme si c’était moi qui pouvait prétendre à la paternité de cette production rédactionnelle de petite teneur littéraire !! Enfin bon ! On y va !
Nicolas lut. Il se délecta des paragraphes qui le mettaient sur un piédestal européen : il avait sauvé la Géorgie, éteint les braises rougies de la bande de Gaza, géré comme un grand le G20, tout cela avec son habit tout neuf de Président européen, un job de 6 mois...
Il sentit sa cheville droite se gonfler en lisant les paragraphes tout acquis à la noblesse et à l’allure chevaleresque de sa lutte contre la crise ! Il cita avec des trémolos de jubilation dans la voix quelques actes de bravoure allant de la réforme des universités à la loi Hadopi en passant par le plan de relance de 26 milliards d’euros que doit gérer cet incapable de Devedjan !
Il ressentit une satisfaction à la lecture du paragraphe suivant : Guaino avait vraiment respecté les consignes ! Les phrases s’enroulaient autour de l’idée que la Turquie n’a pas vocation à devenir membre de l’Union Européenne. Par contre, une porte s’entrouvrait pour proposer aux habitants de l’ancien empire ottoman « un espace économique et de sécurité commun ».
Il tressaillit de joie dans les paragraphes ultérieurs. C’était du pure Guaino cent pour cent sauce Sarkozy. Angela Merkel, Chancelière allemande, chancelait de son pinacle, accusée d’avoir été trop lente à réagir à la crise financière. Son prédécesseur, le vieux, le Jacquot, en prenait aussi pour son grade. Il le représenta drapé dans le manteau de menteur mental qui promet aux Turcs des consultations dans 15 ans alors que dans 15 ans le Jacquot ne sera peut-être plus de ce monde !
Ah, quel festival d’autosatisfaction étayé de diatribes à l’encontre des petits camarades de l’Union Européenne !
Tu as raison Nicolas : tes voisins européens ne méritent pas d’appartenir à un ensemble que toi seul sais diriger avec tant de maestria et d’expertise ! Ils ne sont qu’un ramassis de rats massés ou de morts assis qui en ont marre assez de l’Europe. Alors que toi, ô astre vénérable, ô lumière des justes causes, tu éclaires de tes idéaux libéraux les ombres sournoises de 27 pays qui se traînent économiquement !
Nîmes a applaudi ! Nicolas a trouvé, à Nîmes, alliés.
C’est une ville très UMP. Elle en veut, Nîmes ! Quel poison pour le parti socialiste !
Mais déjà Nicolas se magne à Nîmes. Il signe quelques autographes pour des Nîmois aux doux minois !
Elle est pas belle la vie ! Aux Nîmois qui mal y pense !!
mardi 5 mai 2009
RACYSTEME DE DEFENSE DES FAIBLES
Contrairement au sport la musique adoucit les mœurs. On pourrait méditer mille fois cette phrase que j’utilise comme introduction à mon petit texte militant mais aussi méritant.
A Lagnieu, petite ville de l’Ain (6 643 habitants) s’exprime régulièrement, sur une pelouse qu’ignorent les chèvres googleliennes, (voir article précédent) une équipe de football. L’équipe défend ses couleurs mais parfois les coups leurrent le public. Car le vrai coup franc peut cacher un coup vil et mesquin. Derrière un corner peut se dissimuler un con sur les nerfs. Derrière une touche peut se tapir un «pas touche sale nég..... ! »
Et oui, vous l’aurez deviné : certains joueurs de Lagnieu sont racistes !
Aussi, par un joli Dimanche 25 janvier, alors que le curé de la paroisse avait prêché sur la Conversion de St Paul le long du chemin de Damas, un match opposait l’équipe locale à celle de Rossillon.
Rossillon, ville de l’Ain (elle aussi) connue pour son château du XVème siècle, peut s’enorgueillir de posséder également une superbe équipe de football ouverte au métissage. En effet, dans cette équipe rossillonaise évoluent pas moins de sept joueurs de couleur !
Sept sur onze c’est moins que dans certaines compositions du onze tricolore que sait nous concocter Sieur Domenech.
- Il est regrettable que l’équipe de France de football compte neuf blacks sur onze, avait déploré Georges Frêche, le président socialiste de la région Languedoc-Roussillon, en 2006.
Il avait, pour ces propos, été poursuivi en justice…
A croire que ça dérange beaucoup de gens que des équipes françaises soient formées de gens de couleur !
Certains idiots, face à des joueurs noirs, se rengorgent de saillies, et s'ingénient en trésors de quolibets racistes. Le propos de ces gars lasse mais ils continuent de tels écart en boeufs qu'ils sont.
Mais revenons à notre match Lagnieu-Rossillon.
Les Lagnolans dominent de la tête et des épaules la petite équipe de Rossillon. Très vite le score de 5-0 s’affiche sur le vieux panneau en bois qui jouxte la petite tribune. Les Rossillonais ne semblent pas en forme. On les voit, pauvres héros, sillonner la pelouse, l’âme en peine, cherchant le ballon.
- Ah tiens ! Il est déjà dans nos filets. Ca fait combien ? 5 – 0 ! Diantre !
- Hé oui, sale n…..(censure), on vient de t’en foutre 5 dans ton c…(censure) ! Et c’est pas fini s…..(censure) n………(censure) on va t’en foutre plein dans ta gueule de s…..(censure) n…..(censure).
C’est un supporter lagnolan qui lance de telles insanités du haut de cette petite tribune ?
Que nenni ! C’est un joueur du club local ! Non content de mener par un score aussi flatteur, qui devrait le satisfaire tant il humilie l’adversaire, il pousse le bouchon jusqu’à insulter le pauvre Rossillonais dont le grand tord est d’être né en Afrique et de présenter au public un visage un peu moins blanc que le standard local !
Makam Traoré, pleure de tout son saoul ! Il est inconsolable ! Son entraîneur lui dit :
- Porte plainte ! La loi française te protège contre ce genre de propos indigne de notre République ! Il faut le tacler en justice, c’est ta clé ! La clé de la défense légitime ! Va droit au but ! On va lui mettre le carton rouge de l’infamie ! Il ne s’en remettra pas !
Et c’est ainsi que ce mardi 5 mai 2009 le vilain raciste comparaît devant le Tribunal Correctionnel de Belley. Il risque jusqu'à six mois de prison et 22 000 euros d'amende.
Makam qui pensait retourner au Sénégal, pays de sa naissance, restera en France jusqu’à nouvel ordre : un ordre intime qui pourrait émaner d’une nouvelle insulte d’un inconditionnel du football imbécile et raciste.
Le pseudo humoriste Dieudonné suit l’affaire de très près car, lui aussi, comparaîtra le 22 septembre devant le tribunal correctionnel de Paris pour "injures raciales" après avoir remis sur la scène du Zénith, le 26 décembre 2008, "le prix de l'infréquentabilité" à l'historien révisionniste Robert Faurisson.
Heureusement, Dieu nous en préserve, que Dieudonné ne joue pas aussi au football !
A Lagnieu, petite ville de l’Ain (6 643 habitants) s’exprime régulièrement, sur une pelouse qu’ignorent les chèvres googleliennes, (voir article précédent) une équipe de football. L’équipe défend ses couleurs mais parfois les coups leurrent le public. Car le vrai coup franc peut cacher un coup vil et mesquin. Derrière un corner peut se dissimuler un con sur les nerfs. Derrière une touche peut se tapir un «pas touche sale nég..... ! »
Et oui, vous l’aurez deviné : certains joueurs de Lagnieu sont racistes !
Aussi, par un joli Dimanche 25 janvier, alors que le curé de la paroisse avait prêché sur la Conversion de St Paul le long du chemin de Damas, un match opposait l’équipe locale à celle de Rossillon.
Rossillon, ville de l’Ain (elle aussi) connue pour son château du XVème siècle, peut s’enorgueillir de posséder également une superbe équipe de football ouverte au métissage. En effet, dans cette équipe rossillonaise évoluent pas moins de sept joueurs de couleur !
Sept sur onze c’est moins que dans certaines compositions du onze tricolore que sait nous concocter Sieur Domenech.
- Il est regrettable que l’équipe de France de football compte neuf blacks sur onze, avait déploré Georges Frêche, le président socialiste de la région Languedoc-Roussillon, en 2006.
Il avait, pour ces propos, été poursuivi en justice…
A croire que ça dérange beaucoup de gens que des équipes françaises soient formées de gens de couleur !
Certains idiots, face à des joueurs noirs, se rengorgent de saillies, et s'ingénient en trésors de quolibets racistes. Le propos de ces gars lasse mais ils continuent de tels écart en boeufs qu'ils sont.
Mais revenons à notre match Lagnieu-Rossillon.
Les Lagnolans dominent de la tête et des épaules la petite équipe de Rossillon. Très vite le score de 5-0 s’affiche sur le vieux panneau en bois qui jouxte la petite tribune. Les Rossillonais ne semblent pas en forme. On les voit, pauvres héros, sillonner la pelouse, l’âme en peine, cherchant le ballon.
- Ah tiens ! Il est déjà dans nos filets. Ca fait combien ? 5 – 0 ! Diantre !
- Hé oui, sale n…..(censure), on vient de t’en foutre 5 dans ton c…(censure) ! Et c’est pas fini s…..(censure) n………(censure) on va t’en foutre plein dans ta gueule de s…..(censure) n…..(censure).
C’est un supporter lagnolan qui lance de telles insanités du haut de cette petite tribune ?
Que nenni ! C’est un joueur du club local ! Non content de mener par un score aussi flatteur, qui devrait le satisfaire tant il humilie l’adversaire, il pousse le bouchon jusqu’à insulter le pauvre Rossillonais dont le grand tord est d’être né en Afrique et de présenter au public un visage un peu moins blanc que le standard local !
Makam Traoré, pleure de tout son saoul ! Il est inconsolable ! Son entraîneur lui dit :
- Porte plainte ! La loi française te protège contre ce genre de propos indigne de notre République ! Il faut le tacler en justice, c’est ta clé ! La clé de la défense légitime ! Va droit au but ! On va lui mettre le carton rouge de l’infamie ! Il ne s’en remettra pas !
Et c’est ainsi que ce mardi 5 mai 2009 le vilain raciste comparaît devant le Tribunal Correctionnel de Belley. Il risque jusqu'à six mois de prison et 22 000 euros d'amende.
Makam qui pensait retourner au Sénégal, pays de sa naissance, restera en France jusqu’à nouvel ordre : un ordre intime qui pourrait émaner d’une nouvelle insulte d’un inconditionnel du football imbécile et raciste.
Le pseudo humoriste Dieudonné suit l’affaire de très près car, lui aussi, comparaîtra le 22 septembre devant le tribunal correctionnel de Paris pour "injures raciales" après avoir remis sur la scène du Zénith, le 26 décembre 2008, "le prix de l'infréquentabilité" à l'historien révisionniste Robert Faurisson.
Heureusement, Dieu nous en préserve, que Dieudonné ne joue pas aussi au football !
lundi 4 mai 2009
LES CHEVRES SANS GOÛT GUEULENT !!
Le Moteur de Recherche Google (MRG) vient d’embaucher près de 200 chèvres car vient d’émerger de MRG l’idée géniale de remplacer les tondeuses par les caprins !
L'idée d'embaucher des chèvres en guise de tondeuse à gazon s'inscrit la ligne politique de développement durable de la société.
Jean Louis Borloo suit l’affaire de très près car il souhaiterait tenter l’expérience sur les pelouses de l’Elysée. Pelouses dont l’épaisseur intense dénote une certaine aversion à la tonte que partagent les deux époux Sarkozy !
Les pelouses et pâturages qui jouxtent les établissements Google seront donc tondus par les mâchoires hyperactives des ruminants !
Ces herbivores ont le mérite de ne pas recracher de CO² dans l’atmosphère, contrairement aux tondeuses de Google, consommatrices d’essence. Mais pourquoi Google n’avait-il pas opté pour des tondeuses électriques.
- Trop de rallonges, rétorque un préposé aux espaces verts googliens. Et nous nous prenions les pieds dans les fils électriques quand nous ne les sectionnions pas, par mégarde !
Donc les 200 chèvres sont arrivées sur les terres du MRG. Très vite elles ont déchanté et ont fait grève. Face à l’incompréhensible comportement des animaux les dirigeants de Google ont cherché à connaître les revendications. Mais, pour connaître le langage de ces bestioles, il fallait des interprètes.
On fit appel à la spécialiste des voix chevrotantes. Marie Laforêt fut très contente de reprendre du service et utilisa ses compétences pour traduire les revendications des chèvres paresseuses.
- Elles veulent triple dose de granulés, dit la chanteuse sur le retour. Du moins, c’est ce que j’ai compris !
Le travail put reprendre ! Mais, foi de Fabiano, une question me hante : est-on sûr que, lorsqu’elles pètent, les chèvres n’émettent pas du méthane, ainsi que le font leurs cousines bovines ?
Car le méthane (CH4) est un gaz à effet de serre ! Donc méfiance !
Il faudrait que les scientifiques se penchent sur la question. Il n’est pas sûr que le MRG ait eu la bonne main en optant pour les caprins et cela pourrait le faire devenir chèvre !
L'idée d'embaucher des chèvres en guise de tondeuse à gazon s'inscrit la ligne politique de développement durable de la société.
Jean Louis Borloo suit l’affaire de très près car il souhaiterait tenter l’expérience sur les pelouses de l’Elysée. Pelouses dont l’épaisseur intense dénote une certaine aversion à la tonte que partagent les deux époux Sarkozy !
Les pelouses et pâturages qui jouxtent les établissements Google seront donc tondus par les mâchoires hyperactives des ruminants !
Ces herbivores ont le mérite de ne pas recracher de CO² dans l’atmosphère, contrairement aux tondeuses de Google, consommatrices d’essence. Mais pourquoi Google n’avait-il pas opté pour des tondeuses électriques.
- Trop de rallonges, rétorque un préposé aux espaces verts googliens. Et nous nous prenions les pieds dans les fils électriques quand nous ne les sectionnions pas, par mégarde !
Donc les 200 chèvres sont arrivées sur les terres du MRG. Très vite elles ont déchanté et ont fait grève. Face à l’incompréhensible comportement des animaux les dirigeants de Google ont cherché à connaître les revendications. Mais, pour connaître le langage de ces bestioles, il fallait des interprètes.
On fit appel à la spécialiste des voix chevrotantes. Marie Laforêt fut très contente de reprendre du service et utilisa ses compétences pour traduire les revendications des chèvres paresseuses.
- Elles veulent triple dose de granulés, dit la chanteuse sur le retour. Du moins, c’est ce que j’ai compris !
- Si ce n’est que cela ! On va remédier au problème !
Après maints calculs, il s’avéra que, même avec triple dose, on avait une opération rentable et oh combien écologique !
Cependant, entre-temps, une chèvre dissidente avait fait du zèle en chapardant une tondeuse et en l’utilisant, à bon escient. Elle avait déjà tondu 10 m² quand les grévistes lui sont tombées dessus en vociférant :
- Tu nous gâches la grève, c’est antisyndical ! Arrête cela tout de suite !
La pauvrette dut obtempérer pour ne pas servir de bouc émissaire ! Quand elle sut qu’elle aurait, elle aussi, triple ration elle fit de superbes bons de cabri !
Le travail put reprendre après quelques négociations touchant, en vrac : les RTT caprins, la prime d’assiduité, la possibilité d’allaiter les petits durant les heures de travail, la pause du midi, les 8 semaines de congés payés, la prime de licenciement en cas de délocalisation de Google dans des zones asiatiques où le yack est moins rémunéré que la chèvre …
Après maints calculs, il s’avéra que, même avec triple dose, on avait une opération rentable et oh combien écologique !
Cependant, entre-temps, une chèvre dissidente avait fait du zèle en chapardant une tondeuse et en l’utilisant, à bon escient. Elle avait déjà tondu 10 m² quand les grévistes lui sont tombées dessus en vociférant :
- Tu nous gâches la grève, c’est antisyndical ! Arrête cela tout de suite !
La pauvrette dut obtempérer pour ne pas servir de bouc émissaire ! Quand elle sut qu’elle aurait, elle aussi, triple ration elle fit de superbes bons de cabri !
Le travail put reprendre après quelques négociations touchant, en vrac : les RTT caprins, la prime d’assiduité, la possibilité d’allaiter les petits durant les heures de travail, la pause du midi, les 8 semaines de congés payés, la prime de licenciement en cas de délocalisation de Google dans des zones asiatiques où le yack est moins rémunéré que la chèvre …
Le travail put reprendre ! Mais, foi de Fabiano, une question me hante : est-on sûr que, lorsqu’elles pètent, les chèvres n’émettent pas du méthane, ainsi que le font leurs cousines bovines ?
Car le méthane (CH4) est un gaz à effet de serre ! Donc méfiance !
Il faudrait que les scientifiques se penchent sur la question. Il n’est pas sûr que le MRG ait eu la bonne main en optant pour les caprins et cela pourrait le faire devenir chèvre !
DIVORCE A L'ITALIENNE ALITA LIENS !
Après dix-neuf plombes de mariage, trente ans de vie commune et trois enfants ensemble, Véronica, âgée de 53 ans, va demander le divorce !
Véronica c’est Madame Berlusconi ! Elle est l’épouse de Silvio Berlusconi, dit le « Cavaliere » !
Vous savez c’est ce type qui dirige notre voisin, ce beau pays : l’Italie !
J’ai parlé de lui, dernièrement : il téléphonait sur son portable tandis que Angela Merkel cherchait désespérément à le faire venir vers le groupe G20 ! Quel mufle !
Et bien, figurez-vous que Véronica n’en peut plus de ce mari qui découche ! Elle en a plus qu’assez et veut casser ! Trop c’est trop ! Trop de ce type qui a vingt ans de plus qu’elle et qui se permet de draguer des « soubrettes » tout juste majeures, quand elles ne sont pas mineures !
Majeur ou mineur, le ton est donné : celui du divorce ! Et pas moderato !
Mais connaissant la bête politique qu’est Berlusconi, mesurant son pouvoir médiatique, on est en droit de penser que Véronica n’a pas gagné d’avance !!
Il a plus d’un tour dans son sac ce Don Juan qui se fait nommer « Papounet » par les petites jeunes auxquelles il déclare sa flamme.
Ainsi Berlusconi le vieux beau relooké
Se voit, par son épouse, au divorce acculé !
Lui qui semblait jouir d’immunité pérenne
En matière d’adultère, le voilà sous la peine !
Sous la peine infamante et surmédiatisée
Un terrible revers à vouloir s’exposer
Dans les médias ritaux qu’il régit sous sa botte :
Véronica, sa mie, va porter la culotte !
Elle va, fortissimo, le divorce engager !
Lassée du libertin mari « Cavaliere »
Chevalier sans panache et coureur de jupons :
Courtisans de mineures, incurable bouffon !
Elle va porter, presto, devant dame Justice
Son besoin de rupture qui n’est pas un caprice
Car Capri c’est fini, et Venise, et Florence
Ne reste qu’un dégoût et parfois des flots rances.
Elle va rompre le pont sous lequel dix neuf ans
De flots tumultueux avaient coulé, séant !
Elle va couper le fil d’hypocrites appels
De fallacieux discours en pardons éternels.
Silvio pourra toujours se draper dans l’outrage
Imposer des excuses à la maître d’ouvrage
Il s’enfoncera tant dans la fange des tords
Que l’Italie verra, en lui, l’être retors.
Sous le vernis factice viendront se craqueler
Cette morgue nourrie par la faim de lauriers.
La cassure d’un mariage touchera droit au cœur
Le Don Juan flétri aux misérables fleurs.
A moins, qu’en un sursaut de féroce félin
Berlusconi, piano, ne reprenne la main
Pour accrocher au dos de sa Véronica
Le poids de l’infamie en ce piètre combat !
Véronica c’est Madame Berlusconi ! Elle est l’épouse de Silvio Berlusconi, dit le « Cavaliere » !
Vous savez c’est ce type qui dirige notre voisin, ce beau pays : l’Italie !
J’ai parlé de lui, dernièrement : il téléphonait sur son portable tandis que Angela Merkel cherchait désespérément à le faire venir vers le groupe G20 ! Quel mufle !
Et bien, figurez-vous que Véronica n’en peut plus de ce mari qui découche ! Elle en a plus qu’assez et veut casser ! Trop c’est trop ! Trop de ce type qui a vingt ans de plus qu’elle et qui se permet de draguer des « soubrettes » tout juste majeures, quand elles ne sont pas mineures !
Majeur ou mineur, le ton est donné : celui du divorce ! Et pas moderato !
Mais connaissant la bête politique qu’est Berlusconi, mesurant son pouvoir médiatique, on est en droit de penser que Véronica n’a pas gagné d’avance !!
Il a plus d’un tour dans son sac ce Don Juan qui se fait nommer « Papounet » par les petites jeunes auxquelles il déclare sa flamme.
Ainsi Berlusconi le vieux beau relooké
Se voit, par son épouse, au divorce acculé !
Lui qui semblait jouir d’immunité pérenne
En matière d’adultère, le voilà sous la peine !
Sous la peine infamante et surmédiatisée
Un terrible revers à vouloir s’exposer
Dans les médias ritaux qu’il régit sous sa botte :
Véronica, sa mie, va porter la culotte !
Elle va, fortissimo, le divorce engager !
Lassée du libertin mari « Cavaliere »
Chevalier sans panache et coureur de jupons :
Courtisans de mineures, incurable bouffon !
Elle va porter, presto, devant dame Justice
Son besoin de rupture qui n’est pas un caprice
Car Capri c’est fini, et Venise, et Florence
Ne reste qu’un dégoût et parfois des flots rances.
Elle va rompre le pont sous lequel dix neuf ans
De flots tumultueux avaient coulé, séant !
Elle va couper le fil d’hypocrites appels
De fallacieux discours en pardons éternels.
Silvio pourra toujours se draper dans l’outrage
Imposer des excuses à la maître d’ouvrage
Il s’enfoncera tant dans la fange des tords
Que l’Italie verra, en lui, l’être retors.
Sous le vernis factice viendront se craqueler
Cette morgue nourrie par la faim de lauriers.
La cassure d’un mariage touchera droit au cœur
Le Don Juan flétri aux misérables fleurs.
A moins, qu’en un sursaut de féroce félin
Berlusconi, piano, ne reprenne la main
Pour accrocher au dos de sa Véronica
Le poids de l’infamie en ce piètre combat !
dimanche 3 mai 2009
HALDE AU JEUNISME !
Tous les mardi soirs, sur M6, la Nouvelle Star frise les records d’audimat !
Cette émission, sorte de radio crochet des temps modernes, a pour but de dénicher l’oiseau rare : celui ou celle qui remplacera une âme de la chanson française qui s’est éteinte. Il s’agit donc de puiser une nouvelle voix avec un filet dont les mailles se resserrent d’émission en émission. Une sorte de coupe de France de la nouvelle chanson française avec ses aller sans retour et malheur aux vaincus. Seul(e) un(e) jeune finira premier(ère) et verra s’ouvrir devant lui (elle) l’allée royale qui mène à la célébrité !
J’ai bien parlé de jeunes ! Et c’est là que le bat blesse.
La Halde (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations) vient d’épingler sérieusement l’émission de M6 pour « jeunisme exacerbé » !
En effet, dans le règlement de l’émission « La nouvelle Star » un article stipule qu’un candidat de plus de 34 ans peut aller se faire voir chez Nana Mouskouri et Demis Roussos réunis !
La Halde aurait été saisie par un certain VGE de Chamalières qui se serait vu refuser le ticket de participation sous prétexte qu’il jouait de l’accordéon comme une vache limousine qui aurait contacté le H1N1 ! Tu parles d’un prétexte ! En fait c’est son âge avancé qui fut la cause de la discrimination !!
Il se pourrait que ce monsieur ait gain de cause et que, dès l’édition 2010, la « Nouvelle Star » soit acculée d’accepter toutes les personnes de 7 à 77 ans voire plus.
Après tout, en Grande-Bretagne, l’équivalent de notre « Nouvelle Star » a bien été le tremplin d’une extraordinaire Susan Boyle, chanteuse écossaise, au look de cooker décoiffé mélangé à du bouledogue de Cornouaille ! Et cette chanteuse improbable a soufflé ses 47 bougies !
Alors, en place, les Seniors !!
Cette émission, sorte de radio crochet des temps modernes, a pour but de dénicher l’oiseau rare : celui ou celle qui remplacera une âme de la chanson française qui s’est éteinte. Il s’agit donc de puiser une nouvelle voix avec un filet dont les mailles se resserrent d’émission en émission. Une sorte de coupe de France de la nouvelle chanson française avec ses aller sans retour et malheur aux vaincus. Seul(e) un(e) jeune finira premier(ère) et verra s’ouvrir devant lui (elle) l’allée royale qui mène à la célébrité !
J’ai bien parlé de jeunes ! Et c’est là que le bat blesse.
La Halde (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations) vient d’épingler sérieusement l’émission de M6 pour « jeunisme exacerbé » !
En effet, dans le règlement de l’émission « La nouvelle Star » un article stipule qu’un candidat de plus de 34 ans peut aller se faire voir chez Nana Mouskouri et Demis Roussos réunis !
La Halde aurait été saisie par un certain VGE de Chamalières qui se serait vu refuser le ticket de participation sous prétexte qu’il jouait de l’accordéon comme une vache limousine qui aurait contacté le H1N1 ! Tu parles d’un prétexte ! En fait c’est son âge avancé qui fut la cause de la discrimination !!
Il se pourrait que ce monsieur ait gain de cause et que, dès l’édition 2010, la « Nouvelle Star » soit acculée d’accepter toutes les personnes de 7 à 77 ans voire plus.
Après tout, en Grande-Bretagne, l’équivalent de notre « Nouvelle Star » a bien été le tremplin d’une extraordinaire Susan Boyle, chanteuse écossaise, au look de cooker décoiffé mélangé à du bouledogue de Cornouaille ! Et cette chanteuse improbable a soufflé ses 47 bougies !
Alors, en place, les Seniors !!
samedi 2 mai 2009
IL EST REVENU LE TEMPS DU M.U.G.U.E.T
(Double cliquer sur l'image pour mieux apprécier la réaction de chaque membre du MUGUET)
- It is very exceptionnel, dira Aschieri en singeant Nelson Montfort, nous avons réussi notre G8 en ce 1° mai 2009.
Oui, exceptionnel. Pour la première fois dans l’histoire du syndicalisme français, un 1° mai unitaire a rassemblé les 8 principales forces sociales : CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, UNSA, FSU et Solidaires !
- Il faut arroser cela, lance Thibaut le Cégétiste à la coupe PlayMobil !
- Arroser c’est baptiser, remarque Voisin, le chef des travailleurs chrétiens (CFTC) comment va-t-on baptiser notre unité ?
- Ben, le G8, dit goguenard Chérèque, le CDDTiste !
- Non, cela ressemble trop au G7 ou au G20 des chefs d’Etat, remarque Mailly de FO, ils faut se singulariser !
- Hum, ça sent bon, remarque Aschieri, le chef de la FSU, d’où provient cette fragrance qui m’échoit ?
- C’est un brin de muguet que j’arbore sur ma veste, fait remarquer Vancraeynest de la CGC, il vient de mon jardin !
- Mais c’est ça le symbole : le Muguet ! clame Chérèque, on aura notre symbole comme au rugby : le trèfle c’est l’Irlande, le chardon c’est…
- C’est l’Ecosse, oui on sait, interrompt Mahieux le grand barbu de « Solidaires », arrête avec tes références ovalisques !
- N’empêche que défiler avec chacun un brin de muguet, le premier mai, ça le fait bien, remarque Mailly !
- Et j’ai mieux, jubile Thibaut, le Muguet pourrait être aussi notre acronyme !
- Notre quoi ? s’interroge Mahieux dubitatif.
- Notre acronyme : notre sigle dont les lettres formeraient le mot MUGUET !
- Ah, génial, lance tonitruant Marouani de l’UNSA, très discret jusque là.
- La première lettre M ne pourra être que le M de Mouvement, c’est quasiment inévitable, remarque Mailly.
- Il ne pourrait en être autrement, renchérit Aschieri.
Je vous ferai grâce de la progression neurointellectuelle de nos huit compagnons qui a mené à l’adoption de l’acronyme suivant :
Mouvement Unitaire pour la Grève Unique Expression des Travailleurs
Retenons de cet acronyme :
- Qu’il réhabilite la procédure de grève. Le choix du mot a le mérite d’être clair : la grève doit demeurer la seule, l’unique expression des travailleurs en colère. Donc, sus aux séquestrations ou harcèlement de tous genres qui sont indignes du mouvement syndical.
- Qu’il replace sur un piédestal le mot « Travailleur » si cher à Arlette Laguiller. Il fallait, en effet, replacer le débat autour de ce mot qui cristallise à la fois le grand projet de Sarkozy (Travailler plus pour gagner plus) tout en caressant dans le sens du poil les défenseurs du travail face aux affronts du grand capital ! C’est finement joué !
Le MUGUET a donc défilé dans les rues de maintes grandes villes de France, en ce premier mai 2009.
Les huit du MUGUET brandissaient le brin symbolique en criant :
- Nous allons foutre le brin dans le capitalisme en crise ! A mort les délocalisations ! La société va opérer une mue, une révolution pas triste ! Ce sera une mue gaie !
Certains membres de la communauté homosexuelle ont pris le message à leur compte et sont venus se grouper au MUGUET. Des CRS, découragés par leurs conditions de travail ont gonflé les rangs en brandissant, eux aussi, un brin de muguet en guise de matraque pacifique !
C’était un joli tableau de solidarité ! On pouvait vraiment sortir les Kleenex !
Tellement sublime et universel que les traditionnelles polémiques sur le taux de participation ont, pour une fois, fait flop : FLOP !
En effet, selon la police le nombre de manifestants étaient de 1 201 698, pour toute la France, alors que le MUGUET annonçait un nombre de 1 201 695 !
Mais comment expliquer cette différence ?
La Police des Polices doit mener l’enquête.
- It is very exceptionnel, dira Aschieri en singeant Nelson Montfort, nous avons réussi notre G8 en ce 1° mai 2009.
Oui, exceptionnel. Pour la première fois dans l’histoire du syndicalisme français, un 1° mai unitaire a rassemblé les 8 principales forces sociales : CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, UNSA, FSU et Solidaires !
- Il faut arroser cela, lance Thibaut le Cégétiste à la coupe PlayMobil !
- Arroser c’est baptiser, remarque Voisin, le chef des travailleurs chrétiens (CFTC) comment va-t-on baptiser notre unité ?
- Ben, le G8, dit goguenard Chérèque, le CDDTiste !
- Non, cela ressemble trop au G7 ou au G20 des chefs d’Etat, remarque Mailly de FO, ils faut se singulariser !
- Hum, ça sent bon, remarque Aschieri, le chef de la FSU, d’où provient cette fragrance qui m’échoit ?
- C’est un brin de muguet que j’arbore sur ma veste, fait remarquer Vancraeynest de la CGC, il vient de mon jardin !
- Mais c’est ça le symbole : le Muguet ! clame Chérèque, on aura notre symbole comme au rugby : le trèfle c’est l’Irlande, le chardon c’est…
- C’est l’Ecosse, oui on sait, interrompt Mahieux le grand barbu de « Solidaires », arrête avec tes références ovalisques !
- N’empêche que défiler avec chacun un brin de muguet, le premier mai, ça le fait bien, remarque Mailly !
- Et j’ai mieux, jubile Thibaut, le Muguet pourrait être aussi notre acronyme !
- Notre quoi ? s’interroge Mahieux dubitatif.
- Notre acronyme : notre sigle dont les lettres formeraient le mot MUGUET !
- Ah, génial, lance tonitruant Marouani de l’UNSA, très discret jusque là.
- La première lettre M ne pourra être que le M de Mouvement, c’est quasiment inévitable, remarque Mailly.
- Il ne pourrait en être autrement, renchérit Aschieri.
Je vous ferai grâce de la progression neurointellectuelle de nos huit compagnons qui a mené à l’adoption de l’acronyme suivant :
Mouvement Unitaire pour la Grève Unique Expression des Travailleurs
Retenons de cet acronyme :
- Qu’il réhabilite la procédure de grève. Le choix du mot a le mérite d’être clair : la grève doit demeurer la seule, l’unique expression des travailleurs en colère. Donc, sus aux séquestrations ou harcèlement de tous genres qui sont indignes du mouvement syndical.
- Qu’il replace sur un piédestal le mot « Travailleur » si cher à Arlette Laguiller. Il fallait, en effet, replacer le débat autour de ce mot qui cristallise à la fois le grand projet de Sarkozy (Travailler plus pour gagner plus) tout en caressant dans le sens du poil les défenseurs du travail face aux affronts du grand capital ! C’est finement joué !
Le MUGUET a donc défilé dans les rues de maintes grandes villes de France, en ce premier mai 2009.
Les huit du MUGUET brandissaient le brin symbolique en criant :
- Nous allons foutre le brin dans le capitalisme en crise ! A mort les délocalisations ! La société va opérer une mue, une révolution pas triste ! Ce sera une mue gaie !
Certains membres de la communauté homosexuelle ont pris le message à leur compte et sont venus se grouper au MUGUET. Des CRS, découragés par leurs conditions de travail ont gonflé les rangs en brandissant, eux aussi, un brin de muguet en guise de matraque pacifique !
C’était un joli tableau de solidarité ! On pouvait vraiment sortir les Kleenex !
Tellement sublime et universel que les traditionnelles polémiques sur le taux de participation ont, pour une fois, fait flop : FLOP !
En effet, selon la police le nombre de manifestants étaient de 1 201 698, pour toute la France, alors que le MUGUET annonçait un nombre de 1 201 695 !
Mais comment expliquer cette différence ?
La Police des Polices doit mener l’enquête.
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